
Dans sa dernière lettre en ma possession, qui date du 03.12.1944 et qu’il a écrite à Klum, il regrette de ne pas avoir retrouvé ses camarades du RAD, notamment les trois de Montigny. Il fait état du cafard qu’il a eu et souffre du manque de lectures (livres, journaux, magazines). Pour lui, Noël sera bien triste loin de sa famille. Le ras-le-bol lui a fait envisager de déserter, mais il a finalement renoncé à ce qu’il qualifie lui-même de folie (cf. ci-dessous).
Avec tous mes remerciements pour tout complément d’information.
Patrice Wurckler patrice.wurckler@wanadoo.fr