D’après la base VDK: Albert Hahn Geburtsdatum: 08.09.1926 Geburtsort: – Todes-/Vermisstendatum: – Todes-/Vermisstenort: Nordabschnitt Dienstgrad: – Nach den uns vorliegenden Informationen ist Albert Hahn seit vermisst. In dem Gedenkbuch des Friedhofes Sologubowka haben wir den Namen und die persönlichen Daten von Albert Hahn verzeichnet. Sie können gern einen Auszug bei uns bestellen.
D’après Mémoire des Hommes: SS-Panzergrenadier Georges Albert HAHN Né le 08-09-1926 à Schiltigheim (67 – Bas-Rhin, France) Mort pour la France tué par éclats d’obus le 01-07-1944 à Rouvray, 14 – Calvados, France Le secteur postal FPN 15807 B mentionné sur le site et sur sa fiche DRK correspond à la 1. Kompanie du I. Bataillon du SS-Panzergrenadier-Regiment 4 « Der Führer » de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich ».
D’après la base VDK: Robert Heinrich Geburtsdatum: 13.05.1923 Geburtsort: – Todes-/Vermisstendatum: 01.10.1941 Todes-/Vermisstenort: Mittelabschnitt Dienstgrad: – Nach den uns vorliegenden Informationen ist Robert Heinrich seit 01.10.1941 vermisst. In dem Gedenkbuch des Friedhofes Duchowschtschina etwa 60 Kilometer nordöstlich der Oblasthauptstadt Smolensk. haben wir den Namen und die persönlichen Daten von Robert Heinrich verzeichnet. Sie können gern einen Auszug bei uns bestellen.
Non trouvé dans la base Mémoire des Hommes: vue la date de disparition et le type d’unité, il s’agit ici d’un volontaire et non d’un Malgré-nous.
Non trouvé dans la base VDK, d’après Mémoire des Hommes: SS-Panzergrenadier Roger Raymond Marius Jean HUSS Né le 27-03-1926 à Strasbourg (67 – Bas-Rhin, France) Mort pour la France le 02-08-1944 près de Ueri/Vire, 14 – Calvados, France D’après sa fiche DRK, porté disparu dans la région de Sainte Mère l’Eglise alors qu’il servait au sein de la 1. Kompanie du I. Bataillon du SS-Panzergrenadier-Regiment 4 « Der Führer » de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich ».
Non trouvé dans la base VDK, pour Mémoire des Hommes: SS-Panzergrenadier Roger Jules KIEFFER Né le 30-09-1926 à Strasbourg (67 – Bas-Rhin, France) habitant Eckbolsheim Mort pour la France le 01-07-1944 dans les environs Caen, France alors qu’il servait au sein de la 1. Kompanie du I. Bataillon du SS-Panzergrenadier-Regiment 4 « Der Führer » de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich ». Des éléments présents sur la fiche MdH se réfère par homophonie au Soldat Roger Kiffer né le 19.07.1927 à Gavisse en Moselle et mort pour la France le 21.09.1945 près de Czempin en Pologne dans le convoi qui le ramène du camp de prisonnier n°188 de Tambov-Rada.
Le 2 février 1944, les éléments de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » stationnés à Stablack près de Landsberg/Górowo Iławeckie en Prusse orientale sont transférés dans la région de Bordeaux en France pour être régénérés. Le 9 avril 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich », qui atteint alors un effectif d’environ 12.000 hommes, est relocalisée dans la région Montauban-Toulouse. À la fin du mois de mai 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » retrouve son effectif standard sans que le personnel de remplacement soit alors suffisamment formé. Après le débarquement allié en Normandie le 6 juin 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est mise en alerte et envoyée dans la région de Limoges-Tulle, 200km plus au nord. En chemin, des éléments de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » commettent des crimes de guerre massifs contre la population en représailles des actions croissantes de la Résistance française et unités du SOE parachutées à cet effet. Le 9 juin 1944, des membres de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » pendent 99 otages à Tulle. Le 10 juin 1944 vers midi, 120 soldats de la 3. Kompanie du I. Bataillon du SS-Panzergrenadier-Regiment 4 « Der Führer » de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » entrent dans Oradour-sur-Glane, 30km au nord-ouest de Limoges. Aux ordres du SS-Obersturmbannführer August Dieckmann, la 3. Kompanie du I. Bataillon du SS-Panzergrenadier-Regiment 4 « Der Führer » rassemblent les villageois d’Oradour sur la place du marché. Séparés des femmes et des enfants, technique déjà employée par cette division sur le front russe, les hommes sont répartis en cinq groupes et fusillés dans des granges d’Oradour et les femmes et les enfants enfermés dans l’église du village, mitraillée et incendiée. Les sections de la 3. Kompanie déployées à l’extérieur de l’église tirent sur les femmes et les enfants qui tentent d’échapper aux flammes puis entrent dans l’église pour achever les derniers survivants. Après avoir pillé le village, le village d’Oradour-sur-Glane est incendié. Au total, 642 villageois sont massacrés, dont 245 femmes et 207 enfants, seuls quelques habitants ont pu s’échapper. Le 9 juin 1944, des soldats de la section du Génie/Pionierzug du SS-Aufklärungs-Abteilung 2 de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » pendent à Tulle 99 civils présumés Résistants après la décourverte de centaine de soldats allemands retrouvés assassinés et en partie mutilés dans et autour de la ville. Le 11 juin 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » se déplace via Poitiers et Tours vers une zone de déploiement assignée au sud du Mans. Le 26 juin 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » reçoit l’ordre de déplacer un groupe de combat/Kampfgruppe de la taille d’un régiment dans une zone d’action située au sud-ouest de Caen. Cette Kampfgruppe prend le nom de son chef Otto Weidinger et devient la Kampfgruppe « Weidinger » participant aux rudes batailles défensives autour de Caen. Au 2 juillet 1944, ce groupe de combat/Kampfgruppe perd 846 hommes, morts ou blessés et est alors retiré du front normand et les éléments résiduels renvoyés à la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich », qui se rassemble encore dans la région de Saint-Lô et complète son entraînement. La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est alors envoyée au front en groupes de combat/Kampfgruppen déployés au profit et en renfort des autres divisions allemandes déjà engagée sur la ligne de front. La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » prend également à sa charge un secteur du front au nord-est de Périers le 6 juillet 1944 et, après de violents combats contre les Alliés, se retire sur une ligne située au sud de Périers le 27 juillet 1944. Pour échapper à la menace d’encerclement par les Alliés, la La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » reçoit l’ordre de se déplacer vers le sud pour forcer le dispositif et percer vers Avranches près de Granville le 29 juillet 1944. Renforcée par un groupe de combat/Kampfgruppe de la 17. SS-Panzergrenadier-Division « Götz von Berlichingen », la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » doit occuper Mortain le 7 août 1944, mais son attaque échoue en raison de tirs défensifs américains nourris. Le 11 août 1944, après de lourdes contre-attaques américaines, le repli vers les positions de départ commence pour la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich ». Le 15 août 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est envoyée dans la région d’Argentan, où elle est soumise à des raids aériens continus. Alors que certaines unités de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » sont engagées dans de violents combats contre les Américains près de Trun, 20km au nord d’Argentan, le 16 août 1944, les éléments résiduels de la division tentent de se rassembler au sud de Vimoutiers pour former une unité de réserve pour le groupe d’armées/Heeresgruppe. La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » se trouve ainsi à l’extérieur de la Poche de Falaise fermée par les Américains le 19 août 1944. Le 20 août 1944, les unités de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » commencent à brêcher la Poche dans le secteur au sud de Trun. En raison de tirs nourris de l’artillerie et des chars, seule une partie des troupes allemandes piégées dans la Poche de Falaise réussit à s’échapper, certains appelleront les combats de Falaise le « Stalingrad en Normandie » de l’armée allemande. La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » assure le retrait de ces troupes et se déplace vers la région d’Elbeuf le 24 août 1944. Le 25 août 1944, de violents combats éclatent autour d’Elbeuf avec les troupes alliées qui veulent empêcher les troupes allemandes de traverser la Seine. La majorité des véhicules encore présents dans la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » sont abandonnés sur la rive occidentale de la Seine ou perdus en raison de raids aériens alliés continus. Le 28 août 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » abandonne la tête de pont qu’elle tenait entre Rouen et Elbeuf et se déplace vers une zone de déploiement située à l’est de Rouen. Le 31 août 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » atteint la région de Hierson à la frontière belge.
D’après la base VDK:
Albert Hahn
Geburtsdatum: 08.09.1926
Geburtsort: –
Todes-/Vermisstendatum: –
Todes-/Vermisstenort: Nordabschnitt
Dienstgrad: –
Nach den uns vorliegenden Informationen ist Albert Hahn seit vermisst. In dem Gedenkbuch des Friedhofes Sologubowka haben wir den Namen und die persönlichen Daten von Albert Hahn verzeichnet. Sie können gern einen Auszug bei uns bestellen.
D’après Mémoire des Hommes:
SS-Panzergrenadier Georges Albert HAHN
Né le 08-09-1926 à Schiltigheim (67 – Bas-Rhin, France)
Mort pour la France tué par éclats d’obus le 01-07-1944 à Rouvray, 14 – Calvados, France
Le secteur postal FPN 15807 B mentionné sur le site et sur sa fiche DRK correspond à la 1. Kompanie du I. Bataillon du SS-Panzergrenadier-Regiment 4 « Der Führer » de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich ».
D’après la base VDK:
Robert Heinrich
Geburtsdatum: 13.05.1923
Geburtsort: –
Todes-/Vermisstendatum: 01.10.1941
Todes-/Vermisstenort: Mittelabschnitt
Dienstgrad: –
Nach den uns vorliegenden Informationen ist Robert Heinrich seit 01.10.1941 vermisst. In dem Gedenkbuch des Friedhofes Duchowschtschina etwa 60 Kilometer nordöstlich der Oblasthauptstadt Smolensk. haben wir den Namen und die persönlichen Daten von Robert Heinrich verzeichnet. Sie können gern einen Auszug bei uns bestellen.
Non trouvé dans la base Mémoire des Hommes: vue la date de disparition et le type d’unité, il s’agit ici d’un volontaire et non d’un Malgré-nous.
Non trouvé dans la base VDK, d’après Mémoire des Hommes:
SS-Panzergrenadier Roger Raymond Marius Jean HUSS
Né le 27-03-1926 à Strasbourg (67 – Bas-Rhin, France)
Mort pour la France le 02-08-1944 près de Ueri/Vire, 14 – Calvados, France
D’après sa fiche DRK, porté disparu dans la région de Sainte Mère l’Eglise alors qu’il servait au sein de la 1. Kompanie du I. Bataillon du SS-Panzergrenadier-Regiment 4 « Der Führer » de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich ».
Non trouvé dans la base VDK, pour Mémoire des Hommes:
SS-Panzergrenadier Roger Jules KIEFFER
Né le 30-09-1926 à Strasbourg (67 – Bas-Rhin, France) habitant Eckbolsheim
Mort pour la France le 01-07-1944 dans les environs Caen, France alors qu’il servait au sein de la 1. Kompanie du I. Bataillon du SS-Panzergrenadier-Regiment 4 « Der Führer » de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich ».
Des éléments présents sur la fiche MdH se réfère par homophonie au Soldat Roger Kiffer né le 19.07.1927 à Gavisse en Moselle et mort pour la France le 21.09.1945 près de Czempin en Pologne dans le convoi qui le ramène du camp de prisonnier n°188 de Tambov-Rada.
Le 2 février 1944, les éléments de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » stationnés à Stablack près de Landsberg/Górowo Iławeckie en Prusse orientale sont transférés dans la région de Bordeaux en France pour être régénérés.
Le 9 avril 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich », qui atteint alors un effectif d’environ 12.000 hommes, est relocalisée dans la région Montauban-Toulouse.
À la fin du mois de mai 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » retrouve son effectif standard sans que le personnel de remplacement soit alors suffisamment formé.
Après le débarquement allié en Normandie le 6 juin 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est mise en alerte et envoyée dans la région de Limoges-Tulle, 200km plus au nord.
En chemin, des éléments de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » commettent des crimes de guerre massifs contre la population en représailles des actions croissantes de la Résistance française et unités du SOE parachutées à cet effet.
Le 9 juin 1944, des membres de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » pendent 99 otages à Tulle. Le 10 juin 1944 vers midi, 120 soldats de la 3. Kompanie du I. Bataillon du SS-Panzergrenadier-Regiment 4 « Der Führer » de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » entrent dans Oradour-sur-Glane, 30km au nord-ouest de Limoges. Aux ordres du SS-Obersturmbannführer August Dieckmann, la 3. Kompanie du I. Bataillon du SS-Panzergrenadier-Regiment 4 « Der Führer » rassemblent les villageois d’Oradour sur la place du marché. Séparés des femmes et des enfants, technique déjà employée par cette division sur le front russe, les hommes sont répartis en cinq groupes et fusillés dans des granges d’Oradour et les femmes et les enfants enfermés dans l’église du village, mitraillée et incendiée. Les sections de la 3. Kompanie déployées à l’extérieur de l’église tirent sur les femmes et les enfants qui tentent d’échapper aux flammes puis entrent dans l’église pour achever les derniers survivants. Après avoir pillé le village, le village d’Oradour-sur-Glane est incendié. Au total, 642 villageois sont massacrés, dont 245 femmes et 207 enfants, seuls quelques habitants ont pu s’échapper.
Le 9 juin 1944, des soldats de la section du Génie/Pionierzug du SS-Aufklärungs-Abteilung 2 de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » pendent à Tulle 99 civils présumés Résistants après la décourverte de centaine de soldats allemands retrouvés assassinés et en partie mutilés dans et autour de la ville.
Le 11 juin 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » se déplace via Poitiers et Tours vers une zone de déploiement assignée au sud du Mans. Le 26 juin 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » reçoit l’ordre de déplacer un groupe de combat/Kampfgruppe de la taille d’un régiment dans une zone d’action située au sud-ouest de Caen. Cette Kampfgruppe prend le nom de son chef Otto Weidinger et devient la Kampfgruppe « Weidinger » participant aux rudes batailles défensives autour de Caen.
Au 2 juillet 1944, ce groupe de combat/Kampfgruppe perd 846 hommes, morts ou blessés et est alors retiré du front normand et les éléments résiduels renvoyés à la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich », qui se rassemble encore dans la région de Saint-Lô et complète son entraînement.
La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est alors envoyée au front en groupes de combat/Kampfgruppen déployés au profit et en renfort des autres divisions allemandes déjà engagée sur la ligne de front. La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » prend également à sa charge un secteur du front au nord-est de Périers le 6 juillet 1944 et, après de violents combats contre les Alliés, se retire sur une ligne située au sud de Périers le 27 juillet 1944.
Pour échapper à la menace d’encerclement par les Alliés, la La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » reçoit l’ordre de se déplacer vers le sud pour forcer le dispositif et percer vers Avranches près de Granville le 29 juillet 1944.
Renforcée par un groupe de combat/Kampfgruppe de la 17. SS-Panzergrenadier-Division « Götz von Berlichingen », la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » doit occuper Mortain le 7 août 1944, mais son attaque échoue en raison de tirs défensifs américains nourris.
Le 11 août 1944, après de lourdes contre-attaques américaines, le repli vers les positions de départ commence pour la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich ». Le 15 août 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est envoyée dans la région d’Argentan, où elle est soumise à des raids aériens continus. Alors que certaines unités de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » sont engagées dans de violents combats contre les Américains près de Trun, 20km au nord d’Argentan, le 16 août 1944, les éléments résiduels de la division tentent de se rassembler au sud de Vimoutiers pour former une unité de réserve pour le groupe d’armées/Heeresgruppe.
La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » se trouve ainsi à l’extérieur de la Poche de Falaise fermée par les Américains le 19 août 1944. Le 20 août 1944, les unités de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » commencent à brêcher la Poche dans le secteur au sud de Trun. En raison de tirs nourris de l’artillerie et des chars, seule une partie des troupes allemandes piégées dans la Poche de Falaise réussit à s’échapper, certains appelleront les combats de Falaise le « Stalingrad en Normandie » de l’armée allemande. La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » assure le retrait de ces troupes et se déplace vers la région d’Elbeuf le 24 août 1944.
Le 25 août 1944, de violents combats éclatent autour d’Elbeuf avec les troupes alliées qui veulent empêcher les troupes allemandes de traverser la Seine. La majorité des véhicules encore présents dans la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » sont abandonnés sur la rive occidentale de la Seine ou perdus en raison de raids aériens alliés continus. Le 28 août 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » abandonne la tête de pont qu’elle tenait entre Rouen et Elbeuf et se déplace vers une zone de déploiement située à l’est de Rouen.
Le 31 août 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » atteint la région de Hierson à la frontière belge.