KOESTLER Georges, Adieu Galina. Incorporé de force à 18 ans dans l’Armée allemande, un jeune Mosellan découvre sur le front russe la souffrance, l’horreur et l’amour, Metz, 1993.
* Précision de Gérard Schutz : J’ai bien connu Georges Koestler. Nous étions au 151e Régiment d’Infanterie Mécanisé. Il était capitaine. C’était un type formidable et un chef apprécié. A l’époque j’avais entendu parler de son passage chez les malgré-Nous mais sans plus, car il était très discret.