ULM Ernest et ULM Helmuth

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Je recherce des rensei­gne­ments sur mes 2 oncles qui ne sont pas reve­nus de la guerre. Ernest Ulm est décédé lors du débarque­ment en Norman­die et Helmuth Ulm (* Stras­bourg 2.9.1920) en Letto­nie à Baltini. Le corps de mon oncle Ernest a été remis à la famille et enterré au cime­tière St-Urbain à Stras­bourg-Neudorf. Quant à mon oncle Helmuth son corps n’a jamais été retouvé et il semble avoir été mis dans une fosse commune à Baltini en Letto­nie

Merci pour toute aide.

Mireille Doer­flin­ger – mimi­de­nie­der@o­range.fr

 

Tombe d’Er­nest Ulm. Photo Mireille Doer­flin­ger

 


  • Docu­ments commu­niqués par Claude Herold

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2 Responses to ULM Ernest et ULM Helmuth

  1. kayser dit :

    D’après Mémoire des Hommes (n’est pas dans la base VDK) :
    Aufklärer/éclaireur ULM Ernest
    Né le 10/12/1926 à Strasbourg (67 – Bas-Rhin, France)
    Mort pour la France, mort au combat le 9/7/1944 près de Millières (50 – Manche, France) et inhumé en juillet 1944 dans la tombe n°6, 2e rangée du cimetière de Millières, village situé 3km à l’ouest de Périers, 15km au nord de Coutances, 21km au sud-ouest de Carentan-les-Marais et 27km au nord-ouest de Saint Lô dans le Cotentin.
    Sa photo est consultable ici: https://www.geneanet.org/registres/view/217970/53?individu_filter=154012
    Le secteur postal FPN 41940 E mentionné sur sa fiche DRK correspond à la 5. Kompanie de la SS-Panzer-Aufklärungs-Abteilung 2 de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich ».
    La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est créée le 22 octobre 1943 par changement de nom de la SS-Panzergrenadier-Division « Das Reich » dans la région de Kanew/Kanev en Russie. Après la percée soviétique près de Kiev, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est transférée dans la région de Fastow/Fastov le 6 novembre 1943. Le 21 novembre 1943, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est retirée du front et déployée au sein du XXXXVIII. Panzer-Korps à l’est de Shitomir/Jytomyr afin de repousser les soviétiques vers Kiev. En raison de lourdes pertes, certaines unités de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » sont retirées du front le 17 décembre 1943 et transférées au camp d’entraînement de Stablack/Stabławki à 30km de Königsberg/Kaliningrad et 9km à l’ouest de Preußisch Eylau/Bagrationovsk en Prusse orientale pour y être réorganisées; seule une Kampfgruppe de la taille d’une Brigade demeure sur le front au sud-est de Radomyschl/Radomyshl. Ce groupement tactique ou Kampfgruppe fort de 6.398 hommes participe aux violents combats défensifs à l’ouest de Berditschew/Berditchev.
    À la mi-février 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est transférée dans la région de Starokonstantinov. Du 4 au 9 mars 1944, de violents combats défensifs eurent lieu autour de Starokonstantinow/Starokonstantinov pour contrer l’offensive de printemps soviétique.
    Les éléments résiduels de ce groupement tactique ou Kampfgruppe sont ensuite subordonnés au XXIV. Panzer-Korps le 18 mars 1944. Le 25 mars 1944, le groupement tactique ou Kampfgruppe « Das Reich » ayant perdu la quasi-totalité des véhicules restants progresse vers Kamenez-Podolsk/Kamianets-Podilskyï au cours des jours suivants. Au sein de cette « Poche mobile » créée, les éléments résiduels de la Kampfgruppe « Das Reich » rejoignent finalement les lignes allemands et sont immédiatement transférés vers l’ouest vers le sud-ouest de la France.
    Le 2 février 1944, les unités de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » stationnées à Stablack/Stabławki sont transférées dans la région de Bordeaux en France pour y être régénérées, rejoints par les éléments de la division transférés de Russie.
    Le 9 avril 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » d’un effectif d’environ 12.000 hommes est transférée dans la région de Montauban-Toulouse.
    Fin mai 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » retrouve son effectif complet, les renforts envoyés restant alors insuffisamment entraînés.
    Après le débarquement allié en Normandie le 6 juin 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est mise en alerte et reçoit l’ordre de se rendre dans la région de Limoges-Tulle 200km plus au nord. Harcelée sur les itinéraires par la résistance, les unités de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » commettent de nombreux crimes de guerre contre la population civile française.
    Le 9 juin 1944 à Tulle, des membres de la SS-Pionier-Zug de la SS-Aufklärungs-Abteilung 2 de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » pendent 99 otages déclarés « partisans présumés » après la découverte d’une centaine de soldats allemands exécutés dans la ville et ses environs, dont certains mutilés.
    Le 10 juin 1944 vers midi, environ 120 hommes de la 3. Kompanie du I. Bataillon du SS-Panzergrenadier-Regiment 4 « Der Führer » de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » arrivent à Oradour-sur-Glane, 30km au nord-ouest de Limoges. Sur ordre du SS-Obersturmbannführer August Dieckmann, les villageois sont rassemblés sur la place du marché, tandis que les hommes, divisés en cinq groupes, sont fusillés dans des granges; les SS enferment les femmes et les enfants dans l’église du village, qu’ils incendient. Des unités postées à l’extérieur abattent les femmes et les enfants qui tentent d’échapper aux flammes. Les SS pénétrent ensuite dans l’église pour achever les survivants. Après avoir pillé le village, les SS le réduisent en cendres. Au total, ce sont 642 villageois français qui périssent dans ce massacre, dont 245 femmes et 207 enfants; seuls quelques habitants échappent au massacre.
    Le 12 juin 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » se déplace via Poitiers et Tours vers le sud du Mans. Le 26 juin 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » reçoit l’ordre de transférer un groupement tactique ou Kampfgruppe de la taille d’un Regiment au sud-ouest de Caen. Ce groupement tactique baptisé Kampfgruppe «Weidinger» est engagé dans les violents combats défensifs autour de Caen.
    Le 2 juillet 1944, la Kampfgruppe « Weidinger » compte 846 morts et blessés, ce qui nécessite son retrait du front, les survivants sont réintégrés à la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich », encore en formation dans la région de Saint-Lô et parachevant son entraînement. La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est alors engagée sous forme de groupements tactiques ou Kampfgruppen. Le 6 juillet 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » prend en compte son secteur du front au nord-est de Périers et se replie le 27 juillet 1944 après de violents combats sur une ligne de défense située au sud de Périers, village situé 15km au nord de Coutances, 17km au sud-ouest de Carentan-les-Marais et 25km au nord-ouest de Saint-Lô. Afin d’éviter un encerclement imminent par les Alliés, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » reçoit le 29 juillet 1944 l’ordre de se déplacer vers le sud pour tenter une percée vers Avranches près de Granville, 21km au nord d’Avranches et 25km au sud de Coutances.
    Renforcée par un groupement tactique ou Kampfgruppe de la 17. SS-Panzergrenadier-Division « Götz von Berlichingen », la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » a pour objectif de s’emparer pour le 7 août 1944 de Mortain, 30km à l’est d’Avranches et 21km au sud de Vire. Cette attaque échoue sous un feu défensif intense américain. Le 11 août 1944, après de violentes contre-attaques américaines, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » se replie sur ses positions de départ initiales. Le 15 août 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » reçoit l’ordre de se rendre dans la région d’Argentan, située 20km au sud de Falaise, 68km à l’est de Mortain et 55km au sud de Caen,où elle subit des bombardements aériens alliés continus. Le 16 août 1944, tandis que des éléments de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » sont engagés dans de violents combats contre les Américains près de Trun 20km au nord d’Argentan, les éléments restants se rassemblent au sud de Vimoutiers en tant que réserve de groupe d’armées ou Heeresgruppen-Reserve. La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » se retrouve ainsi fortuitement hors de la Poche de Falaise bouclée par les Américains le 19 août 1944. Le 20 août 1944, les unités allemandes lancent l’offensive pour percer la Poche au sud de Trun. Sous un feu nourri d’artillerie et de chars, seule une partie des troupes allemandes encerclées parvient à s’échapper. La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » assure le repli de ces troupes et se dirige ensuite vers la région de l’Elbeuf, 97km au nord-est d’Argentan et 18km au sud de Rouen le 24 août 1944. De violents combats éclatent le 25 août 1944 avec les troupes alliées tentant d’interdire le franchissement de la Seine par les troupes allemandes en retraite. Durant ces combats, la majorité des véhicules restants de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » sont neutralisés principalement lors des raids aériens. Le 28 août 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » abandonne sa tête de pont entre Rouen et l’Elbeuf et se replie à l’est de Rouen. Le 31 août 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » atteint la région d’Hierson/Hirson, 56km à l’est de Saint-Quentin, 73km au nord de Reims et 40km au sud de Maubeuge à la frontière belge.
    Début septembre 1944, les éléments résiduels de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » prennent position sur la Meuse près de Givet, 15km au sud-ouest de Dinant. Ces positions défensives sont vite abandonnées dès le 7 septembre 1944, au profit d’autres positions mieux aménagées sur l’Ourthe au sud de Liège. La retraite qui suit mène la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » via Stavelot jusqu’au Westwall / Mur de l’Ouest ou Ligne Siegfried à l’ouest de Prüm. Le 20 septembre 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » compte encore 12.357 hommes sur un effectif théorique de 17.797 hommes.
    Fin octobre 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est retirée de la ligne de défense principale et transférée au sud de Paderborn pour se rééquiper en préparation de l’offensive des Ardennes.
    Le 13 décembre 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » se déplace à l’ouest de Köln/Cologne; elle compte alors plus de 14.000 hommes et est exceptionnellement bien équipée. Le 15 décembre 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » rejoint sa zone de rassemblement près d’Euskirchen et forme la réserve de la 5. Panzer-Armee avec la 9. SS-Panzer-Division « Hohenstaufen ». Le 21 décembre 1944, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » franchit la frontière luxembourgeoise près de Dasburg via Jünkerath. Le 23 décembre 1944, les premiers combats d’envergure ont lieu près de la Baraque de Fraiture, suivis de violents combats près de Grandmeril et de Saint-Vith. L’amélioration des conditions météorologiques permet alors aux Alliés de rétablir pleinement leur supériorité aérienne.
    Lorsque la contre-offensive américaine débute le 4 janvier 1945, de nouveaux combats acharnés et très coûteux contraignent la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » à se replier derrière le Westwall / Mur de l’Ouest ou Ligne Siegfried à l’est de Prüm dès le 17 janvier 1945.
    Faute de rééquipement suffisant, le transport des troupes en vue de l’offensive allemande imminente en Hongrie ne commence qu’en début février 1945. La 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est alors rassemblée dans la région de Farad-Csorna et renforcée sur place par des recrues mal entraînées ainsi que par du personnel issu de la Luftwaffe et de la Kriegsmarine.
    Le 1er mars 1945, les effectifs réalisés de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » atteignent 19.542 hommes. Le 3 mars 1945, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » se déplace via Raab/Győr vers sa zone de rassemblement située au sud-est de Stuhlweißenburg/Székesfehérvár. Le 7 mars 1945, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » lance finalement une attaque au sud-est entre Seregélyes et Aba sans aucun appui d’artillerie. L’offensive allemande s’enlise après quelques jours seulement.
    Suite au début de la contre-offensive soviétique, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est retirée de ses positions et transférée dans une zone située au sud-ouest de Stuhlweißenburg/Székesfehérvár en Hongrie. Ses effectifs ont alors chuté à environ 5.000 hommes. Le 20 mars 1945, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » se déplace vers la région située entre Nagy Igmánd et Kis-Bér afin de combler cette brèche ouverte dans la ligne de défense allemande. Le 24 mars 1945, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » reçoit des renforts supplémentaires à hauteru de 2.800 hommes issus de la Kriegsmarine. Le 28 mars 1945, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est engagée dans de violents combats défensifs dans la région de Kapuvar et le 2 avril 1945 à l’est du lac de Neusiedl près de Bruck an der Leitha.
    De là, les unités de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » pénétrent dans la zone de défense de Vienne et traversent le canal du Danube en menant une offensive de retardement. Après une brève résistance au nord-est de Stockerau, la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » est décimée et marche sur Melk via Krems.
    Les survivants de la 2. SS-Panzer-Division « Das Reich » parviennent à se replier jusqu’à Passau et Pilsen/Plzen en début mai 1944.

  2. Kayser dit :

    Kanonier/canonnier Helmuth/Hellmuth ULM
    Né le 02.09.1920 à Strasbourg-Neudorf
    Mort pour la France, tué par éclats de bombe reçus à la colonne vertébrale, au fessier et à la cuisse le 26/8/1944 à 12h45 à Baltiņi en Lettonie et inhumé en août 1944 dans le cimetière de Baltiņi (d’après le site MdH) dans la 2e tombe de gauche, 2e rangée du cimetière du poste de secours principal de la 329. Infanterie-Division situé à l’ouest de l’église, 1km au sud de Kipeni (d’après la fiche de décès supra).
    Baltiņi est situé 87km à l’est de Riga et Kipeni 15km au nord-ouest de Baltiņi.
    Le 1er juillet 1944, la 329. Infanterie-Division combat de part et d’autre de la voie ferrée à l’ouest de Pustoschka 130km au sud-est d’Ostrow/Ostrov et 180km au sud-est de Pleskau/Pskov en Russie au sein du X. Armee-Korps de la 16. Armee.
    Le 1er août 1944, une Kampfgruppe de la 329. Infanterie-Division combat en Lettonie sur la voie ferrée entre les gares de Warklani/Varakļāni et d’Atašiene, 45km à l’est de Jakobstadt/Jēkabpils et 150km au sud-est de Riga au sein du X. Armee-Korps de la 18. Armee. Le 1er août 1944, l’Armée rouge perce les lignes de la 263. Infanterie-Division, contraignant la 329. Infanterie-Division à se replier 30km plus au nord à travers une zone marécageuse et boisée jusqu’à la rivière Ewst/Awex/Aquiste/Aiviekste, où elle établit une tête de pont 17km au sud de Laudona; les violents combats qui suivent nécessitent de nouveaux replis de la 329. Infanterie-Division. Le 5 août 1944, les restes de la 329. Infanterie-Division sont déployés pour défendre la tête de pont de Laudona sur la rive est de l’Ewst/Awex/Aquiste/Aiviekste. La 329. Infanterie-Division est ensuite déployée près de Mareiena/Mārciena, 11km au sud-ouest de Madona 40km au sud-ouest de Laudona. Le 17 août 1944, la 329. Infanterie-Division est contrainte de se replier à nouveau, établissant une nouvelle position défensive à l’est et au sud de Bērzaune, 5km au nord-est de Mareiena/Mārciena et 12km au sud-ouest de Madona. Cependant, cette position est percée par des unités soviétiques le 17 août 1944, coupant les communications entre la 16. Armee et la 18. Armee. Le point clé de cette percée se situe 25 km plus au nord-ouest dans le village d’Ērgļi à l’ouest de la rivière Orge/Ogre. Les éléments de la 329. Infanterie-Division forment deux groupements tactiques ou Kampfgruppen et reprennent Ērgļi le 20 août. La 329. Infanterie-Division se retranche alors entre trois lacs à l’ouest d’Ērgļi, où elle trouve un peu de répit. Cependant, tout renfort est impossible compte tenu de ses effectifs fortement réduits. Le 18 septembre 1944, la position de « Schwanenburg » ne peut plus être tenue et la 329. Infanterie-Division se replie par la position de « Wenden » située 75km au nord-est de Riga et celle de « Segewold ». Le 1er octobre 1944, une Kampfgruppe de la 329. Infanterie-Division combat dans le secteur de Sidgunda/Sigulda 50km à l’est de Riga.
    Le secteur postal FPN 16682 mentionné sur sa fiche DRK correspond à la 6. Batterie du Flak-Regiment 23.
    D’après la fiche de décès supra :
    Numéro matricule : 2435
    Instruit au sein de la Stammkompanie de la Flak-Ersatz-Abteilung 25 stationnée à Mährisch-Ostrau/Ostrava en Tchéquie.
    Formé au sein de la Flak-Ersatz-Abteilung 19 stationnée à Gotha en Thüringen.
    Muté au sein de la 6. Batterie de la II. Abteilung du Flak-Regiment 23 (gem. mot.) de la 2. Flak-Division de la Luftflotte 1.
    Le 1er février 1944, la II. Abteilung du Flak-Regiment 23 (gem. mot.) est rattachée à l’état-major ou Stab du Flak-Regiment 125 au sein de la 23. Flak-Division.
    Jusqu’au 18 février 1944, l’état-major de la Luftflotte 1 est établit à Ostrow/Ostrov en Russie; du 18 février au 27 septembre 1944, il stationne à Mālpils en Lettonie.
    Le 1er mars 1944, la II. Abteilung du Flak-Regiment 23 (gem. mot.) est rattachée à l’état-major ou Stab du Flak-Regiment 182 au sein de la 2. Flak-Division dans le nord de la Russie. L’état-major de la 2. Flak-Division est transféré dès février 1944 de Luga au sud de Leningrad vers Pleskau/Pskov dans le nord de la Russie.
    Du 1er avril au 1er août 1944, la II. Abteilung du Flak-Regiment 23 (gem. mot.) est rattachée à l’état-major ou Stab du Flak-Regiment 164 au sein de la 2. Flak-Division. L’état-major de la 2. Flak-Division est déplacé dès l’été 1944 de Pleskau/Pskov vers Dorpat/Tartu en Estonie.
    Le 1er août 1944, la II. Abteilung du Flak-Regiment 23 (gem. mot.) est rattachée à l’état-major ou Stab du Flak-Regiment 41 au sein de la 6. Flak-Division.
    Du 1er septembre au 1er novembre 1944, la II. Abteilung du Flak-Regiment 23 (gem. mot.) est rattachée directement à l’état-major ou Stab de la 2. Flak-Division.
    Du 27 septembre au 03 octobre 1944, l’état-major de la Luftflotte 1 stationne sur la zone de l’aéroport de Riga-Spilve en Lettonie.
    En octobre 1944, l’état-major de la 2. Flak-Division s’installe à Trier/Trêve en Allemagne.
    Du 03 octobre à novembre 1944, l’état-major de la Luftflotte 1 stationne dans le secteur de Kazdanka/Kazdanga en Lettonie.
    Du 1er novembre 1944 au 1er janvier 1945, la II. Abteilung du Flak-Regiment 23 (gem. mot.) est rattachée à l’état-major ou Stab du Flak-Regiment 164 au sein de la 6. Flak-Division.
    De novembre 1944 à février 1945, l’état-major de la Luftflotte 1 stationne dans le secteur de Zara en Lettonie.
    De février au 16 avril 1945, l’état-major de la Luftflotte 1 stationne dans le secteur de Haserpoth/Hasenpoth/Aizpute en Lettonie.
    En mars 1945, l’état-major de la Luftflotte 1 stationne dans le secteur de Kazdanka/Kazdanga et le secteur de Haserpoth/Hasenpoth/Aizpute en Lettonie.
    En 1945, la II. Abteilung du Flak-Regiment 23 (gem. mot.) combat en Kurland/Courlande.
    Le 16 avril 1945, l’état-major de la Luftflotte 1 est renommé Luftwaffenkommando « Kurland » à Haserpoth/Hasenpoth/Aizpute en Lettonie.
    Le 08 mai 1945, les éléments résiduels de la 6. Flak-Division sont capturés par les soviétiques dans le secteur de Libau/Liepāja en Lettonie.

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