ZIMMERMANN Gustave et Aloyse

Commentaires (3) Les incorporés de force face à leur destin

 

Zimmermann_Gustave.jpgGustave Zimmer­mann est né à Dabo (Moselle) le 2 septembre 1923. Il était buche­ron avant d’être enrôlé dans la Wehr­macht le 17.05.1943 et envoyé sur le front russe. Il a déserté lors d’une permis­sion.

Après la guerre, mon père s’est engagé dans la 1ère Compa­gnie de CRS (la 101) à Stras­bourg (aujourd’­hui appelé la CRS 37). Il a parti­cipé, avec sa Compa­gnie, du main­tien de l’ordre lors des événe­ments pendant la Guerre d’Al­gé­rie, puis a demandé sa muta­tion dans la Police urbaine à Stras­bourg jusqu’à son décès en janvier 1976.

Zimmermann_Aloyse.jpgLe témoi­gnage ci-joint est celui de son compa­gnon d’armes Aloyse Zimmer­mann, de Dabo-Schaef­fe­rhoff, décédé en 1992.

* Sur le groupe FFI « Char­le­magne » que rejoi­gnit Gustave Zimmer­mann, voir la biogra­phie du comman­dant Joseph Klock (* Brou­der­dorff, Moselle, 4.2.1908 + Stras­bourg 18.4.1967) : http://www.assem­blee-natio­nale.fr/histoire/biogra­phies/IVRe­pu­blique/klock-joseph-04021908.asp

Voir aussi le portrait de Joseph Lingen­held, par son fils Georges Lingen­held, publié sur notre site.

  • Zimmermann_G_Wast
  • Kameraden_chant

Texte de Martine Cuya­laa, fille de Gustave Zimmer­mann

3 Responses to ZIMMERMANN Gustave et Aloyse

  1. Martine CUYALAA dit :

    Je tiens à remercier de tout cœur Monsieur Nicolas MENGUS,pour ce devoir de mémoire, et de souffrances pour tout ces Malgrés-Nous !!!..Ils ont été souvent les oubliés de l’HISTOIRE,pour avoir été blessés PHYSIQUEMENT ET SURTOUT MORALEMENT et grâce à une personne comme vous, vous les faites revivre , encore MERCI pour eux…Si mon Père était encore de ce monde, il en serait très fier ,de savoir que quelqu’un s’intéresse à son HISTOIRE et ses « plaies » se refermeraient j’en suis sure, car il faut le dire ,ce fut un lourd fardeau à porter..Martine CUYALAA …

  2. Zimmermann dit :

    Madame CUYALLA,
    Étant le petit fils de Alois, il me semble que personne ne vous a autorisé à divulguer son témoignage de cette période si douloureuse pour lui.
    Vous en avez bien oublié des parties, et lors de votre première publication, vous disiez que c’était le témoignage de votre père. (Impression a l’appui)
    Si vous étiez tellement impliqué, vous auriez cherché à nous rencontrer pour en discuter.
    Vous êtes sans respect!

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