ETTER Jean Louis

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ETTER_Jean-Louis.jpg Nous sommes à la recherche de rensei­gne­ments, en parti­cu­lier du lieu de sépul­ture s’il en existe un, de notre frère et beau-frère Jean Louis ETTER, né le 28 septembre 1926 à Mollau (Haut-Rhin), porté disparu alors qu’il était incor­poré depuis le 6 février 1944 dans l’ar­mée alle­mande et déclaré « Mort pour la France » le 31 août 1944 par le Tribu­nal de Mulhouse en septembre 1968.

A notre connais­sance, il était Panzer Grena­dier à la 11e compa­gnie du 3e bataillon du régi­ment « Der Führer ».

Avec tous nos remer­cie­ments pour toute infor­ma­tion.

Geor­gette et Jean-Mary Schegg

Cour­riel : jean.schegg.2@est­vi­deo.fr

* Fiche du DRK trans­mise par Claude Herold :

ETTER_Ludwig.jpgJean-Louis Etter appar­te­nait au SS Pz. Gren. Rgt. 4 « Der Führer », III. Btl. (FPN 05452)

* Rensei­gne­ments complé­men­taires conte­nus dans le dossier du BAVC de Caen trans­mis par Nicole et Jean Bézard :

SS Panzer­gre­na­dier du régi­ment « Der Führer« , 3e Bataillon.

Dernières nouvelles datées du 1.8.44 à Caen, Calva­dos, et reçues le 9.8.44.

Blessé légè­re­ment lors de la bataille de Caen et hospi­ta­lisé à Paris. Infor­ma­tion rappor­tée par Robert Heitz, de Hagen­bach (Haut-Rhin), dans une lettre adres­sée à Aloyse, père de Jean Louis Etter : « Fin 1945 ou début 1946, ce jeune homme m’a écrit, me faisant connaître qu’il avait été hospi­ta­lisé avec mon fils pendant un certain temps à Paris, mais sans préci­ser dans quel hôpi­tal. Il m’a égale­ment fait savoir qu’il avait été trans­porté en Tché­co­slo­vaquie dans le courant du mois d’août 1944 et que mon fils se trou­vait encore à cette époque dans cet hôpi­tal ».

FPN 05452 D = 11./Pz. Gren.Rgt.4, 2. SS-Panzer­di­vi­sion.

Témoins (avant le 8.5.45) : Marcel Hilde­brand, de Mans­pach près Wesser­ling, Haut-Rhin, et René Sprin­ger, de Mollau, Haut-Rhin.

Marcel Hilde­brand déclare en 1953 avoir vu Louis Etter en en janvier 1944 (et non en mars 1945 comme il disait d’abord) « en gare de Riga avec son unité et atten­dait le départ du train qui devait l’em­me­ner pour une desti­na­tion incon­nue. Je n’ai pour ainsi dire pas lié conver­sa­tion avec lui car, quelques instants après l’avoir vu, je suis parti avec mon unité ». C’est la seule fois qu’il a rencon­tré Jean Louis Etter qu’il ne connais­sait pas aupa­ra­vant et qu’il n’a plus revu par la suite.
René Sprin­ger déclare en 1953 avoir été incor­poré de force au courant de l’an­née 1942 et n’avoir plus revu ni reçu de lettre de Jean-Louis Etter. C’est des parents Etter qu’il a appris que Jean-Louis avait été blessé en 1944, sans pouvoir dire dans quelle région. Lui-même a été prison­nier de guerre en Slovaquie. Dans les deux cas, il y a sans doute confu­sion avec un Louis Etter, égale­ment en Slovaquie, auteur d’une lettre reçue en décembre 44.

Déporté mili­taire.

 

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