Non trouvé dans la base VDK, pour Mémoire des Hommes: HITTLER Auguste Né le 18/7/1912 à Strasbourg (67 – Bas-Rhin, France) Mort pour la France le 22/5/1945 au Lazaret / hôpital militaire de dismerberg/Pinneberg, près de Kice/Kiel (Allemagne) et inhumé en mai 1945 dans le section EC du cimetière militaire de Pinneberg, situé alors en zone britannique. Sa fiche DRK indique comme zone de disparition Binneberg/Pinneberg. Pinneberg se situe 77km au sud de Kiel et 17km au nord-ouest d’Hamburg. Instruit au sein de la Stammkompanie du Grenadier-Ersatz-Bataillon 358 stationné à Altkirch en Alsace. Sans doute muté au sein de la 1. Kompanie de la Panzerjäger-Abteilung 268 (FPN 30811) de la 268. Infanterie-Division. Le 03 novembre 1943, les éléments résiduels de la Panzerjäger-Abteilung 268 servent à former la Panzerjäger-Abteilung 36 de la 36. Infanterie-Division. En juin 1944, la Panzerjäger-Abteilung 36 de la 36. Infanterie-Division est anéantie à Bobruisk en Biélorussie. Le 03 août 1944, les éléments résiduels de la 36. Infanterie-Division sont rassemblés au camp d’entraînement de Baumholder pour former la 36. Grenadier-Division renommée 36. Volksgrenadier-Division le 09 octobre 1944. En début octobre 1944, la 36. Volksgrenadier-Division est déployée dans la région de Grevenmacher au Luxembourg, ville abandonnée le 17 octobre 1944. Dans la nuit du 13 novembre, la 36. Volksgrenadier-Division est relevée par la 212. Volksgrenadier-Division et relocalisée dans la région de Saint-Avold, où de violents et meurtriers combats suivent autour de Suisse-Haute, Thonville et Eincheville. Suite aux lourdes pertes, le Feldersatz-Bataillon 36 est dissous. Les 17 et 18 novembre 1944, les éléments résiduels de la 48. Infanterie-Division ainsi que le personnel éparpillé sont intégrés à la 36. Volksgrenadier-Division. Le 20 novembre 1944, la 36. Volksgrenadier-Division se replie sur la Position dite de « Falkenberg ». Après de violents combats dans la région de Falkenberg, de violents combats éclatent également autour de Saint-Avold vers le 23 novembre 1944. Fin novembre 1944, la 36. Volksgrenadier-Division a perdu 50% de son effectif lors des combats en Lorraine. Le 5 décembre 1944, la Position « Forbach » est occupée. Bien qu’épuisée, la 36. Volksgrenadier-Division reçoit l’ordre le 25 décembre 1944 de quitter la région de Sarrebruck pour rejoindre des positions aménagées dans la région de Saint-Ingbert – Blieskastel à l’est de la Sarre, d’où la 36. Volksgrenadier-Division est en mesure de traverser la Ligne Maginot en direction du sud. La 36. Volksgrenadier-Division participe ainsi à une attaque dans les basses Vosges pour soulager l’offensive des Ardennes enlisée plus au nord; cette attaque débute à 23h le 31 décembre 1944. La 36. Volksgrenadier-Division ne peut atteindre ses objectifs les jours suivants. Dès le 3 janvier 1945, l’ordre de stopper l’attaque est donné et la 36. Volksgrenadier-Division passe en mode défensif sur ses anciennes positions. Dans les semaines qui suivent, la ligne de défense de la 36. Volksgrenadier-Division reste relativement calme. Des renforts sont envoyés à la 36. Volksgrenadier-Division de sorte qu’au 3 février 1945, elle compte un effectif de combat de 3.165 hommes. En mars 1945, la 36. Volksgrenadier-Division combat le long du Westwall ou Ligne Siegfried et, à la fin du mois de mars 1945, elle s’installe dans le Spessart, un massif montagneux de faible altitude situé dans le nord-ouest de la Bavière et le sud de la Hesse. Début avril 1945, les survivants de la 36. Volksgrenadier-Division tiennent la rive ouest de Lohr à Burgsinn en passant par Gemünden; l’état-major divisionnaire se situe à Höllrich le 3 avril 1945. Le 6 avril 1945, les survivants de la 36. Volksgrenadier-Division combattent dans la région de Hammelburg et le 11 avril 1945, ils défendent une faible tête de pont près de Baunach au nord de Bamberg. Après la chute de Bamberg le 13 avril 1945, les survivants de la 36. Volksgrenadier-Division sont écrasés le 14 avril 1945 lors des combats pour Heiligenstadt. Des groupes de combat individuels se regroupent près de Hersbruck. Le 18 avril 1945, ces survivants augmentés des traînards sont reformés en un groupe de combat 36, la Kampfgruppe 36. Volksgrenadier-Division et participe à de violents combats des deux côtés d’Amberg le 20 avril 1945. Dans la nuit du 25 avril 1945, les survivants de la 36. Volksgrenadier-Division traversent le Danube près de Straubing et se retirent de l’autre côté de l’Isar le 29 avril 1945. Début mai 1945, ces derniers survivants de la 36. Volksgrenadier-Division se trouvent à l’est de l’Inn près de Mühldorf et Waldkraiburg; ils sont capturés autour du 8 mai 1945 par les Américains près de Traunstein et Teisendorf.
HITTLER Auguste Mort pour la France le/en 22/5/1945 Grade: soldat Mention : Mort pour la France Lieu de sépulture: Montauville Département de sépulture: 54 – Meurthe-et-Moselle Pays de sépulture: France Nom du site de sépulture: nécropole nationale ‘Le Pétant’ Type de sépulture: tombe individuelle Carré de la sépulture: 39/45-C Numéro de la sépulture: 118
Non trouvé dans la base VDK, pour Mémoire des Hommes:
HITTLER Auguste
Né le 18/7/1912 à Strasbourg (67 – Bas-Rhin, France)
Mort pour la France le 22/5/1945 au Lazaret / hôpital militaire de dismerberg/Pinneberg, près de Kice/Kiel (Allemagne) et inhumé en mai 1945 dans le section EC du cimetière militaire de Pinneberg, situé alors en zone britannique.
Sa fiche DRK indique comme zone de disparition Binneberg/Pinneberg.
Pinneberg se situe 77km au sud de Kiel et 17km au nord-ouest d’Hamburg.
Instruit au sein de la Stammkompanie du Grenadier-Ersatz-Bataillon 358 stationné à Altkirch en Alsace.
Sans doute muté au sein de la 1. Kompanie de la Panzerjäger-Abteilung 268 (FPN 30811) de la 268. Infanterie-Division.
Le 03 novembre 1943, les éléments résiduels de la Panzerjäger-Abteilung 268 servent à former la Panzerjäger-Abteilung 36 de la 36. Infanterie-Division.
En juin 1944, la Panzerjäger-Abteilung 36 de la 36. Infanterie-Division est anéantie à Bobruisk en Biélorussie.
Le 03 août 1944, les éléments résiduels de la 36. Infanterie-Division sont rassemblés au camp d’entraînement de Baumholder pour former la 36. Grenadier-Division renommée 36. Volksgrenadier-Division le 09 octobre 1944.
En début octobre 1944, la 36. Volksgrenadier-Division est déployée dans la région de Grevenmacher au Luxembourg, ville abandonnée le 17 octobre 1944.
Dans la nuit du 13 novembre, la 36. Volksgrenadier-Division est relevée par la 212. Volksgrenadier-Division et relocalisée dans la région de Saint-Avold, où de violents et meurtriers combats suivent autour de Suisse-Haute, Thonville et Eincheville. Suite aux lourdes pertes, le Feldersatz-Bataillon 36 est dissous. Les 17 et 18 novembre 1944, les éléments résiduels de la 48. Infanterie-Division ainsi que le personnel éparpillé sont intégrés à la 36. Volksgrenadier-Division. Le 20 novembre 1944, la 36. Volksgrenadier-Division se replie sur la Position dite de « Falkenberg ». Après de violents combats dans la région de Falkenberg, de violents combats éclatent également autour de Saint-Avold vers le 23 novembre 1944. Fin novembre 1944, la 36. Volksgrenadier-Division a perdu 50% de son effectif lors des combats en Lorraine.
Le 5 décembre 1944, la Position « Forbach » est occupée. Bien qu’épuisée, la 36. Volksgrenadier-Division reçoit l’ordre le 25 décembre 1944 de quitter la région de Sarrebruck pour rejoindre des positions aménagées dans la région de Saint-Ingbert – Blieskastel à l’est de la Sarre, d’où la 36. Volksgrenadier-Division est en mesure de traverser la Ligne Maginot en direction du sud. La 36. Volksgrenadier-Division participe ainsi à une attaque dans les basses Vosges pour soulager l’offensive des Ardennes enlisée plus au nord; cette attaque débute à 23h le 31 décembre 1944. La 36. Volksgrenadier-Division ne peut atteindre ses objectifs les jours suivants. Dès le 3 janvier 1945, l’ordre de stopper l’attaque est donné et la 36. Volksgrenadier-Division passe en mode défensif sur ses anciennes positions. Dans les semaines qui suivent, la ligne de défense de la 36. Volksgrenadier-Division reste relativement calme. Des renforts sont envoyés à la 36. Volksgrenadier-Division de sorte qu’au 3 février 1945, elle compte un effectif de combat de 3.165 hommes.
En mars 1945, la 36. Volksgrenadier-Division combat le long du Westwall ou Ligne Siegfried et, à la fin du mois de mars 1945, elle s’installe dans le Spessart, un massif montagneux de faible altitude situé dans le nord-ouest de la Bavière et le sud de la Hesse.
Début avril 1945, les survivants de la 36. Volksgrenadier-Division tiennent la rive ouest de Lohr à Burgsinn en passant par Gemünden; l’état-major divisionnaire se situe à Höllrich le 3 avril 1945. Le 6 avril 1945, les survivants de la 36. Volksgrenadier-Division combattent dans la région de Hammelburg et le 11 avril 1945, ils défendent une faible tête de pont près de Baunach au nord de Bamberg. Après la chute de Bamberg le 13 avril 1945, les survivants de la 36. Volksgrenadier-Division sont écrasés le 14 avril 1945 lors des combats pour Heiligenstadt. Des groupes de combat individuels se regroupent près de Hersbruck. Le 18 avril 1945, ces survivants augmentés des traînards sont reformés en un groupe de combat 36, la Kampfgruppe 36. Volksgrenadier-Division et participe à de violents combats des deux côtés d’Amberg le 20 avril 1945. Dans la nuit du 25 avril 1945, les survivants de la 36. Volksgrenadier-Division traversent le Danube près de Straubing et se retirent de l’autre côté de l’Isar le 29 avril 1945.
Début mai 1945, ces derniers survivants de la 36. Volksgrenadier-Division se trouvent à l’est de l’Inn près de Mühldorf et Waldkraiburg; ils sont capturés autour du 8 mai 1945 par les Américains près de Traunstein et Teisendorf.
HITTLER Auguste
Mort pour la France le/en 22/5/1945
Grade: soldat
Mention : Mort pour la France
Lieu de sépulture: Montauville
Département de sépulture: 54 – Meurthe-et-Moselle
Pays de sépulture: France
Nom du site de sépulture: nécropole nationale ‘Le Pétant’
Type de sépulture: tombe individuelle
Carré de la sépulture: 39/45-C
Numéro de la sépulture: 118