L’in­cor­po­ra­tion de force

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une-mag-3.jpgAu début de l’an­née 2005, l’Ami hebdo a publié un maga­zine consa­cré à l’in­cor­po­ra­tion de force des jeunes d’Al­sace et de Moselle dans l’Ar­mée alle­mande pendant la Seconde Guerre mondiale.

La première édition de ce maga­zine de 80 pages s’ac­com­pa­gnait d’un cédé­rom regrou­pant – sur plus de 800 pages/écran – plusieurs dizaines de récits de témoins directs (Malgré-Nous et Malgré-Elles) ou indi­rects, ainsi qu’une biblio­gra­phie et des docu­ments parfois inédits.

Depuis la publi­ca­tion du maga­zine, cette base docu­men­taire n’a cessé de s’en­ri­chir. L’objec­tif du présent site web est de rendre dispo­nible sur Inter­net ces nouveaux docu­ments, ainsi que le contenu inté­gral du cédé­rom, afin de permettre au plus grand nombre de mieux « comprendre l’in­cor­po­ra­tion de force ».

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Mes remer­cie­ments vont à toutes les personnes qui ont accepté de témoi­gner, mais aussi à toutes celles qui mettent à notre dispo­si­tion récits et docu­ments.

Je voudrais expri­mer ici ma grati­tude à Claude Herold, spécia­liste des dispa­rus, Patrick Kautz­mann, spécia­liste de la recherche de sépul­tures et de char­niers – plus parti­cu­liè­re­ment ceux atta­chés à la destruc­tion de la 6e Armée alle­mande – en Rouma­nie, en Molda­vie et en Hongrie, et à Gérard Schutz, spécia­liste des monu­ments aux Morts et contri­bu­teur du site Mémo­rial GenWeb. Ils font beau­coup pour notre site et la recherche d’in­for­ma­tions sur les Alsa­ciens-Mosel­lans tués ou portés dispa­rus.

Un grand merci égale­ment à mes collègues Marie Laem­mel et à Matthieu Hilbert qui ont large­ment contri­bué à faire de ce site l’ou­til de décou­verte, de docu­men­ta­tion et d’échange d’in­for­ma­tions qu’il est aujourd’­hui.

Merci aussi à Marie Goerg-Lieby, Richard Klein – qui nous permet d’éta­blir de précieux contacts avec la Russie -, Chris­tine Meyer – qui travaille sur les non-rentrés de Letto­nie, d’Es­to­nie et de Litua­nie – et Yves Scheeg pour les infor­ma­tions, docu­ments et leur soutien.

Nico­las Mengus

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