(* Eckwersheim, Bas-Rhin, 31.10.1914). Marié à Marthe Heinrich, remariée Warren ; un fils : Gilbert Roth (* Strasbourg 23.4.1941). Incorporé de force le 21.12.1943 (n° d’incorporation : 5523) dans l’Inf. Pio. Ersatz und Ausbildungs Komp. 211. Sa dernière adresse au 8.11.1944 à Altdingelau : Sicherungs-Battallion 1223 (O) 2° Komp : Insterburg (Ost-Preußen) FPN : 40454C.
Il a été été aperçu la dernière fois avec son unité, le 6.2.1945 dans le village du nom de Schwetz (Swiecie), prés de Thorn (Torun). Altdingelau se trouve dans le Landkreiss Angerapp, entre Gumbinnen et Goldap, et s’appelle Borok en Russe (Insterburg = Chernyakovsk).
Le nom de Michel Roth figurait sur une liste de l’Hôpital des PG de Sighet (Roumanie) début 1946, mais sans autre confirmation ou renseignements sur la personne. Le régiment était originaire de Herford (Westfalen).
Renseignements transmis par Michel Roth, neveu du disparu.
* La fiche du Volksbund nous a été aimablement communiquée par Claude Herold :
Nachname: Roth
Vorname: Michel
Dienstgrad:
Geburtsdatum: 31.10.1914
Geburtsort: Eckwersheim
Todes-/Vermisstendatum:
Todes-/Vermisstenort: Thorn
Nach den uns vorliegenden Informationen ist die o. g. Person seit vermißt.
* A propos du Sicherungs-Bataillon 1223 (O)
Feldpostnummern ab dem 10. August 1944: Die Einheit wurde in der Feldpostübersicht nie gestrichen.
Einheit Feldpostnummer
Stab 40454 A
1. Kompanie 40454 B
2. Kompanie 40454 C
3. Kompanie 40454 D
4. Kompanie 40454 E
Das Bataillon wurde aus Ohrenkranken zu 4 Kompanien aufgestellt. Das Bataillon wurde nach der Aufstellung nach Osten verlegt. Dort wurde das Bataillon in Russland der Heeresgruppe Mitte unterstellt. Im Januar 1945 erlitt das Bataillon beim Einsatz in Thorn starke Verluste. Es hatte 178 Vermisste zu verzeichnen. Danach wurde das Bataillon offiziell aufgelöst.
Bonjour. Une lueur d’espoir vient de me parvenir, par un courrier du Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge, que des ouvriers Polonais, en creusant le sol ont découvert environ 3000 victimes de la guerre , à Thorn. Un premier travail a consisté à mettre ces dépouilles dans des cercueils individuel, numérotés, afin de pouvoir commencer l’identification de chaque victime. Mon oncle était à Thorn en 1945 et c’est là-bas qu’on a perdu sa trace. J’ai bon espoir.