RUDWILL Charles

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1 Responses to RUDWILL Charles

  1. kayser dit :

    D’après la base VDK:
    Karl Rudwill
    Geburtsdatum: 17.01.1921
    Geburtsort: –
    Todes-/Vermisstendatum: 01.02.1944
    Todes-/Vermisstenort: Raum Tscherkassy
    Dienstgrad: –
    Nach den uns vorliegenden Informationen ist Karl Rudwill seit vermisst. Bitte beachten Sie, dass auf einigen Friedhöfen (Kyjiw, 20 Kilometer südwestlich von Kyjiw, Ukraine) nicht die aktuelle Version ausliegt, somit kann der Name Ihres Angehörigen darin evtl. noch nicht verzeichnet sein. Falls Karl Rudwill mit Ihnen verwandt ist, und Sie von uns über Sachstandsänderungen informiert werden möchten, füllen Sie bitte das folgende Formular aus.

    D’après Mémoire des Hommes:
    RUDWIL Charles
    Né le 17/1/1921 à Bischheim (67 – Bas-Rhin, France) habitant Strasbourg-Bischheim
    Mort pour la France le 15/2/1944 à Tscherkassy (Russie) /Tcherkassy/Cherkassy/Cherkasy en Ukraine durant les combats de la Poche de Tcherkassy autrement appelée Bataille de Korsun.
    Le secteur postal FPN 34827 E mentionné sur ses fiches DRK et MdH correspond au 4. Schwadron du Divisions-Bataillon 72 de la 72. Infanterie-Division.
    En septembre 1941, la 72. Infanterie-Division traverse le fleuve Dniepr près de Beryslav, puis progresse via Ascania-Nova jusqu’à Melitopol, puis de là jusqu’à l’isthme de Perekop. La 72. Infanterie-Division combat ensuite en Crimée et devant Sébastopol.
    En janvier 1942, la 72. Infanterie-Division participe aux combats défensifs près d’Eupatoria/Yevpatoria, puis combat en Crimée.
    Le Radfahr-Abteilung 72 est créé le 15 mai 1942 à 3 Schwadronen à partir d’éléments de l’Infanterie-Regiment 124 de la 72. Infanterie-Division.
    En juin 1942, la 72. Infanterie-Division défend la Forteresse de Sébastopol.
    Le 26 juillet 1942, le 4. Schwadron du Radfahr-Abteilung 72 est créé.
    Après la fin des combats en Crimée, la 72. Infanterie-Division suivant la 11. Armee, est transférée devant Leningrad et combat dans la région de Rshew/Rjev de septembre 1942 à février 1943.
    En mars 1943, la 72. Infanterie-Division est ensuite transférée dans la région d’Orel/Oryol, où des combats ont lieu à l’ouest de Koursk et dans la région de Dmitriev-Ssevsk.
    Le 1er avril 1943, le Radfahr-Abteilung 72 est renommé Aufklärungs-Abteilung 172.
    De juillet à septembre 1943, de violents combats défensifs suivent jusqu’au-delà de la rivière Desna.
    En septembre 1943, la 72. Infanterie-Division participe à la bataille de Briansk.
    En octobre 1943, la 72. Infanterie-Division combat sur le fleuve Dniepr près de Kiev en Ukraine.
    En novembre 1943, la 72. Infanterie-Division combat dans la région de Tscherkassy/Tcherkassy jusqu’en janvier 1944 au sein du III. Panzer-Korps de la 8. Armee.
    Le 23 novembre 1943, l’Aufklärungs-Abteilung 172 est renommé Divisions-Bataillon 72.
    En janvier 1944, la 72. Infanterie-Division est encerclée avec les XI. Armee-Korps et XXXXII. Armee-Korps autour de la ville de Korsun/Korsoun-Chevtchenkivskyï, 58km à l’ouest de Tscherkassy/Cherkasy.
    Le 26 janvier 1944, la 72. Infanterie-Division commandée par l’Oberst Hermann Hohn (1897-1968) défend Smela/Smila, ville située 25km au sud de Tcherkassy/Cherkassy et est renforcée des éléments résiduels de la 389. Infanterie-Division.
    Le matin du 26 janvier 1944, des contre-attaques allemandes sont lancées dans deux directions pour intercepter le Corps blindé soviétique ayant réalisé la percée et redresser la situation critique. Le XXXXVII. Panzer-Korps comprenant trois Panzer-Divisionen attaque également par le sud, mais se heurte immédiatement à une forte résistance de la 5e Armée de la Garde soviétique. À l’ouest, où le 1er Front ukrainien lance son offensive, les troupes soviétiques percent à Boyarka. Les contre-attaques des 3. Panzer-Division, 11. Panzer-Division et 14. Panzer-Division sont appuyées par des unités de la 5. SS-Panzer-Division «Wiking» depuis les forêts à l’ouest de Pastorskoye, ainsi que par des contre-attaques menées par la 72. Infanterie-Division et la 389. Infanterie-Division en direction d’Ositniashka et de Zlatopol et par des unités de la 106. Infanterie-Division en direction d’Ositniashka. Au nord de l’encerclement déjà en cours, des unités des 57. Infanterie-Division et 389. Infanterie-Division attaquent la pénétration soviétique. La Kampfgruppe « Langkeit » de la 14. Panzer-Division contre-attaque sur Ositniashka. Au cours de cette opération, les troupes soviétiques attaquent au sud-est de Rossokhovatka, menaçant de couper la 14. Panzer-Division de la 3. Panzer-Division. Le groupe de combat / Kampfgruppe « Langkeit » fait demi-tour et tente de rétablir le contact perdu avec la 3. Panzer-Division. Le groupe de combat / Kampfgruppe « von Brese », isolé de la 14. Panzer-Division, est en défense ferme des collines à l’ouest d’Ositniashka, mais déjà encerclé par les troupes soviétiques : au lieu de pouvoir stopper l’avancée soviétique, l’Oberst von Brese assiste impuissant à l’avancée du gros de la 5e armée blindée de la Garde vers Tishkovka et Kapitanovka.
    Les troupes allemandes tentent désespérément de briser l’encerclement comprenant environ six Infanterie-Divisionen (88., 82., 72. et 57. Infanterie-Division), la 5. SS-Panzer-Division « Wiking » et la SS-Panzergrenadier-Brigade «Wallonien». Ces unités sont rejointes par des éléments des 198. Infanterie-Division et 389. Infanterie-Division, ainsi que par le Panzergrenadier-Regiment 108 de la 14. Panzer-Division et l’Artillerie-Regiment 108. Des unités du Korps-Abteilung B, de la 112. Infanterie-Division et de la 213. Sicherungs-Division défendent les fronts nord et nord-ouest de la Poche.
    Dès le 15 février 1944, le général Wenck, chef d’état-major de la 1. Panzer-Armee, constate que l’offensive du III. Panzer-Korps est au point mort face aux défenses soviétiques du 1er Front ukrainien. Les Panzer-Divisionen « Frank » et « Bäke » progressent d’une vingtaine de kilomètres et sont alors contraintes de passer en défensive. Au nord-ouest et à l’ouest de Lysyanka, la situation est de plus en plus critique : les 16. Panzer-Division et 17. Panzer-Division ne parviennent plus à repousser efficacement la dangereuse contre-offensive de la 2e Armée Blindée et la 1. SS-Panzergrenadier-Division « Leibstandarte » reste bloquée à Vinograd.
    Lorsque le blocage de l’attaque allemande à quelques kilomètres de la Poche devient une évidence, le maréchal von Manstein autorise la percée sans consultation préalable avec A. Hitler. Faute de véhicules et de carburant, le III. Panzer-Korps ne peut renforcer ses unités dans la région de Lysyanka et d’Oktyabr. Le 15 février à 11 h 05, l’ordre d’attaque est transmis par radio aux troupes encerclées : « La capacité opérationnelle du III. Panzer-Korps est limitée par les conditions météorologiques et les contraintes d’approvisionnement. Le groupe « Stemmermann » doit mener seul la percée décisive vers Dzhurzhentsy et la colline 239, à environ 2km au sud.» Les divisions du III. Panzer-Korps apportent leur soutien en immobilisant les forces soviétiques concentrées dans la région de Pochapintsy – Dzhurzhentsy et en tentant d’absorber les percées sur les hauteurs dominantes au nord-ouest de Pochapintsy. La préparation de la percée reste difficile dans cet espace confiné et ne peut être menée que de nuit en raison de l’artillerie soviétique.
    Les 16 et 17 février 1944, les unités allemandes percent la Poche de Tscherkassy/Cherkasy vers le sud-ouest, la 72. Infanterie-Division subit de lourdes pertes entre Shenderovka/Shenderivka et Lisyanka, 35km au sud-ouest de Korsun/Korsoun-Chevtchenkivskyï.
    À partir du 2 mars 1944, la 72. Infanterie-Division stationne au sein du Gouvernement général polonais pour y être régénérée.
    Dès avril 1944, la 72. Infanterie-Division est transférée dans la région de Kovel – Lemberg/Lviv en Ukraine et combat près de Berdichev et de Rovno, à l’est de Sokal et au nord de Horokhov.
    Le 05 avril 1944, le Divisions-Bataillon 72 est renommé Füsilier-Bataillon 72 au sein de la 72. Infanterie-Division.
    D’autres retraites conduisent la 72. Infanterie-Division à partir de juillet 1944 jusqu’à la tête de pont établie sur la Vistule près de Baranów, où plusieurs mois de guerre de tranchées suivent. En janvier 1945, la 72. Infanterie-Division est anéantie sur la tête de pont de Baranów.
    Des éléments de la 72. Infanterie-Division parviennent à se frayer un chemin jusqu’à Glogau avant d’être transférés en Lusace, où la 72. Infanterie-Division est recréée et incorpore le Grenadier-Führernachwuchs-Regiment 1249.
    La 72. Infanterie-Division combat jusqu’en mai 1945 en Lusace et dans les Monts Métallifères.
    Des éléments de la 72. Infanterie-Division sont repoussés jusqu’à Dresde et un dernier groupe de combat ou Kampfgruppe de la 72. Infanterie-Division atteint Tetschen/Děčín et Leitmeritz/Litoměřice en Tchéquie actuelle.

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