D’après la base VDK, où il apparaît deux fois: *Emil Ruppert Geburtsdatum: 25.04.1917 Geburtsort: – Todes-/Vermisstendatum: Datum unbekannt Todes-/Vermisstenort: Ostpreussen Dienstgrad: – Nach den uns vorliegenden Informationen ist Emil Ruppert seit vermisst. Bitte beachten Sie, dass auf einigen Friedhöfen (Kaliningrad (früher Königsberg) nördlich des Stadtzentrums an der Alexander-Newski-Straße) nicht die aktuelle Version ausliegt, somit kann der Name Ihres Angehörigen darin evtl. noch nicht verzeichnet sein. *Emil Ruppert Geburtsdatum: 25.04.1917 Geburtsort: – Todes-/Vermisstendatum: Datum unbekannt Todes-/Vermisstenort: Kielce / Lysa Gora Dienstgrad: – Nach den uns vorliegenden Informationen ist Emil Ruppert seit vermisst. Bitte beachten Sie, dass auf einigen Friedhöfen (Siemianowice Śląskie nördlich von Katowice (Kattowitz) an der Straße Nr. 94 zwischen den Ortschaften Bytom und Czeladz) nicht die aktuelle Version ausliegt, somit kann der Name Ihres Angehörigen darin evtl. noch nicht verzeichnet sein.
D’après Mémoire des Hommes: RUPPERT Emile Jean Né le 25/4/1917 à Wissembourg (67 – Bas-Rhin, France) Mort pour la France le 17/1/1945 à Petrekan (Indéterminé) La fiche DRK indique Kielce en Pologne comme zone de disparition. Le secteur postal FPN 42977 B mentionné sur ses fiches DRK et MdH correspond à la 7. Batterie de la III. Abteilung du Panzer-Artillerie-Regiment 16 de la 16. Panzer-Division. Anéantie dans la Poche de Stalingrad en février 1943, une nouvelle 16. Panzer-Division est créée en Bretagne dès janvier 1943 à partir des restes de la division et des éléments du verstärktes Grenadier-Regiment 890 (motorisiert). À la fin du mois de mai 1943, la nouvelle 16. Panzer-Division est déclarée à nouveau opérationnelle et transférée par voie ferrée vers la Toscane en Italie. En juillet 1943, la 16. Panzer-Division se déplace vers Bari sur l’Adriatique. Lors de l’évacuation de la Sicile à la fin du mois d’août 1943, la 16. Panzer-Division sécurise le golfe de Tarente. À partir du 8 septembre 1943, la 16. Panzer-Division participe au désarmement de l’armée italienne. Le 9 septembre 1943, les combats commencent contre les Alliés débarqués près de Salerno/Salerne jusqu’au 18 septembre 1943, date à laquelle la 16. Panzer-Division se replie sur la position défensive aménagée vers Volturno. Le 2 octobre 1943, la 16. Panzer-Division se déplace à marche forcée vers la côte adriatique pour soutenir la 1. Fallschirmjäger-Division à Termoli, puis retraite de Trigno vers la position aménagée de Sangro conformément aux plans. Fin novembre 1943, la 16. Panzer-Division est relevée par la 65. Infanterie-Division et transférée par voie ferrée vers Bobruisk/Babruysk en Ukraine et certaines unités de la 16. Panzer-Division sont rafraîchies près de Vienne. Après son déploiement complet à Bobruisk/Babruysk en décembre 1943, la 16. Panzer-Division est placée en réserve d’alerte de l’AOK 9 pour éteindre les incendies sur l’ensemble du front jusqu’en début 1944. La 16. Panzer-Division se déplace ensuite vers le sud dans la région de Shepetovka-Vinnitsa pour prendre part au désencerclement de la Poche de Tcherkassy. Après la percée de la Poche de Tcherkassy et de violents combats défensifs au nord d’Ouman/Uman en février 1944, la 16. Panzer-Division est brièvement rafraîchie près de Vinnitsa/Vinnytsia au début du mois de mars 1944. Après des batailles défensives entre Proskuroff/Proskurov/Khmelnytskyi et Tarnopol/Ternopil, la division est encerclée dans la Poche de « Hube » et déployée dans la poche pour pouvoir percer vers l’ouest. Après avoir percé et rejoint les lignes allemandes le 16 avril 1944, la 16. Panzer-Division est déployée sur de nouvelles positions défensives dans le haut Dniestr. Fin avril 1944, le ravitaillement commence dans la région de Delatyn, interrompu par des combats défensifs devant Kolomea et le soutien de troupes hongroises. En juillet 1944, la division est déployée contre les troupes russes à l’est du Bug près de Poryck et Rykowicze. Lorsque les têtes de pont blindées soviétiques parviennent à dépasser la 16. Panzer-Division des deux côtés, la tête de pont soviétique de Krystinopol-Sokal sur le Boug est attaquée après un bref désengagement le 20 juillet 1944. Se précipitant contre les positions d’attaque soviétiques, qui s’étaient entre-temps avancées loin à l’ouest, la 16. Panzer-Division atteint la région de Samborg en Galicie via Lemberg/Lviv. Des groupes de combat ou Kamfgruppen défendent la zone au sud de Przemsk jusqu’au col de la Tourka en défense mobile. Le 1er août 1944, la 16. Panzer-Division se déplace vers la région de Krakau/Cracovie pour forcer une tête de pont soviétique située près de Baranow, tentative qui ne connaît qu’un succès partiel. Après avoir établi une position défensive, la zone à l’est de Daleszycze est débarrassée des mouvements de Partisans, puis la 16. Panzer-Division prend position sur la Czarna. Le 16 octobre 1944, la 16. Panzer-Division se dirige vers la zone de ravitaillement de Kielce en Pologne. Après le début de l’offensive soviétique d’hiver le 12 janvier 1945, la 16. Panzer-Division est divisée en plusieurs groupes de combat, déployée dans la région de Baranow à des fins défensives et partiellement encerclée. Les éléments blindés de la 16. Panzer-Division percent vers l’ouest en passant par Kielce le 15 janvier 1945. Le 27 janvier 1945, l’Oder est franchie près de Glogau. Après un reforcement par les unités d’alerte et des Jeunesses hitlériennes, la 16. Panzer-Division est déployée le long de l’Oder sur la tête de pont de Steinau près de Steudelwitz, puis à nouveau près de Glogau. Des combats de tête de pont suivent sur l’Oder, le Bobr et la Neisse. Le 22 février 1945, la 16. Panzer-Division est reconstituée grâce à l’apport de la Panzer-Division « Juterbog ». Après ces quelques jours de régénération, la ville de Lauban est libérée et la 16. Panzer-Division marche ensuite vers Oderberg via Leobschütz. À la mi-mars 1945, la 16. Panzer-Division est engagée dans une intense action défensive au sud-ouest de Schwarzwasser. Du 7 au 9 avril 1945, la 16. Panzer-Division combat autour de Rogau, puis livre des combats près d’Uhilsko, Brünn/Brno, Troppau/Opava et au nord de Grätz. En mai 1945, la 16. Panzer-Division est dissoute et ses derniers survivants tentent de se replier vers l’ouest pour échapper à la captivité soviétique.
Petrekan correspond sans doute à Petrikau/Piotrków Trybunalski, ville polonaise située 82km au nord-ouest de Kielce, 100km à l’ouest de Radom et 128km au sud-ouest de Varsovie.
D’après la base VDK, où il apparaît deux fois:
*Emil Ruppert
Geburtsdatum: 25.04.1917
Geburtsort: –
Todes-/Vermisstendatum: Datum unbekannt
Todes-/Vermisstenort: Ostpreussen
Dienstgrad: –
Nach den uns vorliegenden Informationen ist Emil Ruppert seit vermisst. Bitte beachten Sie, dass auf einigen Friedhöfen (Kaliningrad (früher Königsberg) nördlich des Stadtzentrums an der Alexander-Newski-Straße) nicht die aktuelle Version ausliegt, somit kann der Name Ihres Angehörigen darin evtl. noch nicht verzeichnet sein.
*Emil Ruppert
Geburtsdatum: 25.04.1917
Geburtsort: –
Todes-/Vermisstendatum: Datum unbekannt
Todes-/Vermisstenort: Kielce / Lysa Gora
Dienstgrad: –
Nach den uns vorliegenden Informationen ist Emil Ruppert seit vermisst. Bitte beachten Sie, dass auf einigen Friedhöfen (Siemianowice Śląskie nördlich von Katowice (Kattowitz) an der Straße Nr. 94 zwischen den Ortschaften Bytom und Czeladz) nicht die aktuelle Version ausliegt, somit kann der Name Ihres Angehörigen darin evtl. noch nicht verzeichnet sein.
D’après Mémoire des Hommes:
RUPPERT Emile Jean
Né le 25/4/1917 à Wissembourg (67 – Bas-Rhin, France)
Mort pour la France le 17/1/1945 à Petrekan (Indéterminé)
La fiche DRK indique Kielce en Pologne comme zone de disparition.
Le secteur postal FPN 42977 B mentionné sur ses fiches DRK et MdH correspond à la 7. Batterie de la III. Abteilung du Panzer-Artillerie-Regiment 16 de la 16. Panzer-Division.
Anéantie dans la Poche de Stalingrad en février 1943, une nouvelle 16. Panzer-Division est créée en Bretagne dès janvier 1943 à partir des restes de la division et des éléments du verstärktes Grenadier-Regiment 890 (motorisiert).
À la fin du mois de mai 1943, la nouvelle 16. Panzer-Division est déclarée à nouveau opérationnelle et transférée par voie ferrée vers la Toscane en Italie. En juillet 1943, la 16. Panzer-Division se déplace vers Bari sur l’Adriatique. Lors de l’évacuation de la Sicile à la fin du mois d’août 1943, la 16. Panzer-Division sécurise le golfe de Tarente. À partir du 8 septembre 1943, la 16. Panzer-Division participe au désarmement de l’armée italienne. Le 9 septembre 1943, les combats commencent contre les Alliés débarqués près de Salerno/Salerne jusqu’au 18 septembre 1943, date à laquelle la 16. Panzer-Division se replie sur la position défensive aménagée vers Volturno. Le 2 octobre 1943, la 16. Panzer-Division se déplace à marche forcée vers la côte adriatique pour soutenir la 1. Fallschirmjäger-Division à Termoli, puis retraite de Trigno vers la position aménagée de Sangro conformément aux plans. Fin novembre 1943, la 16. Panzer-Division est relevée par la 65. Infanterie-Division et transférée par voie ferrée vers Bobruisk/Babruysk en Ukraine et certaines unités de la 16. Panzer-Division sont rafraîchies près de Vienne. Après son déploiement complet à Bobruisk/Babruysk en décembre 1943, la 16. Panzer-Division est placée en réserve d’alerte de l’AOK 9 pour éteindre les incendies sur l’ensemble du front jusqu’en début 1944. La 16. Panzer-Division se déplace ensuite vers le sud dans la région de Shepetovka-Vinnitsa pour prendre part au désencerclement de la Poche de Tcherkassy. Après la percée de la Poche de Tcherkassy et de violents combats défensifs au nord d’Ouman/Uman en février 1944, la 16. Panzer-Division est brièvement rafraîchie près de Vinnitsa/Vinnytsia au début du mois de mars 1944.
Après des batailles défensives entre Proskuroff/Proskurov/Khmelnytskyi et Tarnopol/Ternopil, la division est encerclée dans la Poche de « Hube » et déployée dans la poche pour pouvoir percer vers l’ouest. Après avoir percé et rejoint les lignes allemandes le 16 avril 1944, la 16. Panzer-Division est déployée sur de nouvelles positions défensives dans le haut Dniestr. Fin avril 1944, le ravitaillement commence dans la région de Delatyn, interrompu par des combats défensifs devant Kolomea et le soutien de troupes hongroises.
En juillet 1944, la division est déployée contre les troupes russes à l’est du Bug près de Poryck et Rykowicze.
Lorsque les têtes de pont blindées soviétiques parviennent à dépasser la 16. Panzer-Division des deux côtés, la tête de pont soviétique de Krystinopol-Sokal sur le Boug est attaquée après un bref désengagement le 20 juillet 1944. Se précipitant contre les positions d’attaque soviétiques, qui s’étaient entre-temps avancées loin à l’ouest, la 16. Panzer-Division atteint la région de Samborg en Galicie via Lemberg/Lviv. Des groupes de combat ou Kamfgruppen défendent la zone au sud de Przemsk jusqu’au col de la Tourka en défense mobile.
Le 1er août 1944, la 16. Panzer-Division se déplace vers la région de Krakau/Cracovie pour forcer une tête de pont soviétique située près de Baranow, tentative qui ne connaît qu’un succès partiel. Après avoir établi une position défensive, la zone à l’est de Daleszycze est débarrassée des mouvements de Partisans, puis la 16. Panzer-Division prend position sur la Czarna.
Le 16 octobre 1944, la 16. Panzer-Division se dirige vers la zone de ravitaillement de Kielce en Pologne.
Après le début de l’offensive soviétique d’hiver le 12 janvier 1945, la 16. Panzer-Division est divisée en plusieurs groupes de combat, déployée dans la région de Baranow à des fins défensives et partiellement encerclée.
Les éléments blindés de la 16. Panzer-Division percent vers l’ouest en passant par Kielce le 15 janvier 1945.
Le 27 janvier 1945, l’Oder est franchie près de Glogau. Après un reforcement par les unités d’alerte et des Jeunesses hitlériennes, la 16. Panzer-Division est déployée le long de l’Oder sur la tête de pont de Steinau près de Steudelwitz, puis à nouveau près de Glogau. Des combats de tête de pont suivent sur l’Oder, le Bobr et la Neisse.
Le 22 février 1945, la 16. Panzer-Division est reconstituée grâce à l’apport de la Panzer-Division « Juterbog ». Après ces quelques jours de régénération, la ville de Lauban est libérée et la 16. Panzer-Division marche ensuite vers Oderberg via Leobschütz.
À la mi-mars 1945, la 16. Panzer-Division est engagée dans une intense action défensive au sud-ouest de Schwarzwasser.
Du 7 au 9 avril 1945, la 16. Panzer-Division combat autour de Rogau, puis livre des combats près d’Uhilsko, Brünn/Brno, Troppau/Opava et au nord de Grätz. En mai 1945, la 16. Panzer-Division est dissoute et ses derniers survivants tentent de se replier vers l’ouest pour échapper à la captivité soviétique.
Petrekan correspond sans doute à Petrikau/Piotrków Trybunalski, ville polonaise située 82km au nord-ouest de Kielce, 100km à l’ouest de Radom et 128km au sud-ouest de Varsovie.