D’après la base VDK: Peter Schlaffhäuser Geburtsdatum: 11.10.1922 Geburtsort: – Todes-/Vermisstendatum: 01.07.1944 Todes-/Vermisstenort: Jaszuni/Jašiūnai – Rudniki bei Wilna/Rūdninkai – Wilna/Vilinius Dienstgrad: – Nach den uns vorliegenden Informationen ist Peter Schlaffhäuser seit vermisst. Bitte beachten Sie, dass auf einigen Friedhöfen (Kaunas im Stadtteil Aukštieji Šanèiai (Oberschanzen), südöstlich des Stadtzentrums, an der Aðmenos gatvë) nicht die aktuelle Version ausliegt, somit kann der Name Ihres Angehörigen darin evtl. noch nicht verzeichnet sein. Falls Peter Schlaffhäuser mit Ihnen verwandt ist, und Sie von uns über Sachstandsänderungen informiert werden möchten, füllen Sie bitte das folgende Formular aus.
D’après Mémoire des Hommes: SCHLAFFHAEUSER Pierre Marcel Né le 11/10/1922 à Strasbourg (67 – Bas-Rhin, France) Mort pour la France le 7/7/1944 à Bohdanow (Pologne) sans doute Bahdanava/Bogdanovas en Biélorussie, 60km au nord-est de Lida et 78km au sud-est de Wilna/Vilnius. Numéro matricule: 275 Instruit au sein de la Stammkompanie du Panzergrenadier-Ersatz-und- Ausbildungs-Bataillon 15 (et non 16) stationné à Kassel (FPN 57395). Muté à la 6. Kompanie du II. Bataillon du Panzergrenadier-Regiment 7 de la 7. Panzer-Division. Le secteur postal FPN 03794 C mentionné sur sa fiche DRK correspond bien à la 6. Kompanie du II. Bataillon du Panzergrenadier-Regiment 7 de la 7. Panzer-Division. Après l’arrêt de l’offensive allemande à la mi-juillet 1943, la 7. Panzer-Division est déployée dans la bataille défensive qui suit à l’ouest de Kharkov. Le 24 août 1943, Akhtyrka doit être abandonnée et la ligne Poltava-Kotelva-Senkoff reste tenue jusqu’au 15 septembre 1943. Lors de la retraite qui suit, la 7. Panzer-Division traverse le fleuve Dniepr près de Krementchoug le 9 septembre 1943. Les combats pour dégager les têtes de pont soviétiques sur le Dniepr se poursuivent jusqu’au 30 septembre 1943, mais échouent. De violents combats défensifs suivent dans la région de Kiev et, à partir de novembre 1943, dans la région de Fastov-Jitomir. Parmi ceux-ci, de violents combats sont menés pour tenter de libérer Korosten, encerclée par l’Armée rouge. En janvier 1944, la 7. Panzer-Division participe à de violents combats défensifs entre Jitomir et Shepetovka. À partir du 1er février 1944, la 7. Panzer-Division est repositionnée après une marche de 130km à la limite sud des marais de Pripiat près de Brody, afin de stopper l’infiltration des troupes soviétiques dans cette zone. Le 15 février 1944, la 7. Panzer-Division est déplacée vers le nord-est et, à la fin du mois de février 1944, la 7. Panzer-Division combat dans la région de Loutsk/Lutsk. À partir du 3 mars 1944, la 7. Panzer-Division passe en réserve de la 4. Panzer-Armee dans la région de Zbaraz, 15km au nord-ouest de Tarnopol/Ternopil. De là, la 7. Panzer-Division participe aux combats autour de Tarnopol/Ternopil et est ensuite encerclée dans la poche de Kamenets-Podolsk. Y subissant de lourdes pertes, la 7. Panzer-Division participe aux combats de percée de la Poche vers l’ouest et est ensuite relocalisée 20km à l’ouest de Buczacz/Buchach au sud de Tarnopol/Ternopil en Ukraine à la mi-avril 1944. Le 21 avril 1944, la 7. Panzer-Division rejoint une zone de régénération située au sud de Stanislaus/Stanisławów/Ivano-Frankivsk en Ukraine. Cependant, dès le 25 avril 1944, la 7. Panzer-Division alors réduite à un simple groupe de combat ou Kampfgruppe doit se replier vers le sud dans les Carpates. La 7. Panzer-Division est alors déployée dans les cols des Carpates jusqu’au 1er juillet 1944 puis embarquée par voie ferrée via Lemberg/Lviv, Radom, Varsovie et Bialystok jusqu’à Lida en Biélorussie 148km à l’ouest de Minsk et 90km au sud de Wilna/Vilnius en Lituanie, les soviétiques ayant réussi à séparer les groupes d’armées Nord et Centre ou Heeresgruppe Nord et Heeresgruppe Mitte. De lourdes et coûteuses retraites suivent au sud de Wilna/Vilnius et lors du franchissement du fleuve Niémen/Neman. Jusqu’à la fin juillet 1944, la 7. Panzer-Division combat sur le fleuve Njemen/Niémen/Neman, puis au nord de Kowno/Kaunas 90km à l’ouest de Wilna/Vilnius, où elle participe à l’ouverture de la liaison terrestre avec la Kurland/Courlande. Le 1er août 1944, la 7. Panzer-Division doit se replier dans le secteur de Dubysa 75km au nord-ouest de Kaunas. À la mi-août 1944, la 7. Panzer-Division se déplace vers la région de Kelme 100km au nord-ouest de Kaunas, d’où elle participe aux combats autour de Schaulen/Shaulia/Šiauliai 42km au nord de Kelme et 137km à l’est de Memel/Klaipeda. Le 21 septembre 1944, la 7. Panzer-Division parcourt plus de 100km jusqu’à l’est de Memel/Klaipeda, où de violents combats ont lieu. Memel/Klaipeda étant devenue intenable, la 7. Panzer-Division est embarquée par voie maritime le 22 octobre 1944. À partir du 7 novembre 1944, les éléments résiduels de la 7. Panzer-Division sont rassemblés au camp d’entraînement militaire d’Arys-Rostken près d’Orzysz en Prusse-Orientale, où la 7. Panzer-Division est partiellement réorganisée. Dès le 15 novembre 1944, la seule division partiellement réorganisée de la zone, la 7. Panzer-Division est envoyée vers la zone d’opérations au nord de la rivière Narew en tant que réserve d’intervention. À la mi-janvier 1945, des combats de repli vers et au-delà de la frontière du Reich dans le sud de la Prusse-Orientale, suivis d’actions d’arrière-garde à l’est de Graudenz/Grudziądz et au sud de Marienwerder/Kwidzyn. La 7. Panzer-Division traverse la Weichsel/Vistule/Visla et combat ensuite autour d’Elbing/Elbląg et de Konitz/Chojnice. À la mi-février 1945, les combats se déplacent vers le nord de la Poméranie, dans la région à l’ouest de Dantzig/Gdansk et à Hela/Hel. En mars 1945, la 7. Panzer-Division combat pour Götenhafen/Gotenhafen/Gdynia et, après son abandon, pour Hela/Hel. À la mi-avril 1945, les survivants de la 7. Panzer-Division sont évacués par voie maritime et rassemblés près d’Usedom. Le 19 avril 1945, la 7. Panzer-Division, revenue de Hela/Hel avec seulement quelques survivants, reçoit l’ordre d’effectuer un bref ravitaillement dans la région de Waren an der Müritz dans le Wehrkreis II jusqu’au 1er mai 1945. Le Panzer-Ausbildungs-Verband Krampnitz près de Potsdam doit fournir le personnel de base à cette régénération. Par conséquent, les survivants de la 7. Panzer-Division sont transférés dans la région de Waren-Prenzlin dans le Mecklembourg et rassemblés dans la région de Penzlin comme réserve d’armée. Fin avril 1945, la 7. Panzer-Division est contrainte de se replier sur Waren et Goldberg. Le 3 mai 1945, les survivants de la 7. Panzer-Division se rendent aux troupes américaines dans la région de Schwerin.
D’après la base VDK:
Peter Schlaffhäuser
Geburtsdatum: 11.10.1922
Geburtsort: –
Todes-/Vermisstendatum: 01.07.1944
Todes-/Vermisstenort: Jaszuni/Jašiūnai – Rudniki bei Wilna/Rūdninkai – Wilna/Vilinius
Dienstgrad: –
Nach den uns vorliegenden Informationen ist Peter Schlaffhäuser seit vermisst. Bitte beachten Sie, dass auf einigen Friedhöfen (Kaunas im Stadtteil Aukštieji Šanèiai (Oberschanzen), südöstlich des Stadtzentrums, an der Aðmenos gatvë) nicht die aktuelle Version ausliegt, somit kann der Name Ihres Angehörigen darin evtl. noch nicht verzeichnet sein. Falls Peter Schlaffhäuser mit Ihnen verwandt ist, und Sie von uns über Sachstandsänderungen informiert werden möchten, füllen Sie bitte das folgende Formular aus.
D’après Mémoire des Hommes:
SCHLAFFHAEUSER Pierre Marcel
Né le 11/10/1922 à Strasbourg (67 – Bas-Rhin, France)
Mort pour la France le 7/7/1944 à Bohdanow (Pologne) sans doute Bahdanava/Bogdanovas en Biélorussie, 60km au nord-est de Lida et 78km au sud-est de Wilna/Vilnius.
Numéro matricule: 275
Instruit au sein de la Stammkompanie du Panzergrenadier-Ersatz-und- Ausbildungs-Bataillon 15 (et non 16) stationné à Kassel (FPN 57395).
Muté à la 6. Kompanie du II. Bataillon du Panzergrenadier-Regiment 7 de la 7. Panzer-Division.
Le secteur postal FPN 03794 C mentionné sur sa fiche DRK correspond bien à la 6. Kompanie du II. Bataillon du Panzergrenadier-Regiment 7 de la 7. Panzer-Division.
Après l’arrêt de l’offensive allemande à la mi-juillet 1943, la 7. Panzer-Division est déployée dans la bataille défensive qui suit à l’ouest de Kharkov.
Le 24 août 1943, Akhtyrka doit être abandonnée et la ligne Poltava-Kotelva-Senkoff reste tenue jusqu’au 15 septembre 1943. Lors de la retraite qui suit, la 7. Panzer-Division traverse le fleuve Dniepr près de Krementchoug le 9 septembre 1943. Les combats pour dégager les têtes de pont soviétiques sur le Dniepr se poursuivent jusqu’au 30 septembre 1943, mais échouent.
De violents combats défensifs suivent dans la région de Kiev et, à partir de novembre 1943, dans la région de Fastov-Jitomir. Parmi ceux-ci, de violents combats sont menés pour tenter de libérer Korosten, encerclée par l’Armée rouge.
En janvier 1944, la 7. Panzer-Division participe à de violents combats défensifs entre Jitomir et Shepetovka. À partir du 1er février 1944, la 7. Panzer-Division est repositionnée après une marche de 130km à la limite sud des marais de Pripiat près de Brody, afin de stopper l’infiltration des troupes soviétiques dans cette zone.
Le 15 février 1944, la 7. Panzer-Division est déplacée vers le nord-est et, à la fin du mois de février 1944, la 7. Panzer-Division combat dans la région de Loutsk/Lutsk.
À partir du 3 mars 1944, la 7. Panzer-Division passe en réserve de la 4. Panzer-Armee dans la région de Zbaraz, 15km au nord-ouest de Tarnopol/Ternopil. De là, la 7. Panzer-Division participe aux combats autour de Tarnopol/Ternopil et est ensuite encerclée dans la poche de Kamenets-Podolsk. Y subissant de lourdes pertes, la 7. Panzer-Division participe aux combats de percée de la Poche vers l’ouest et est ensuite relocalisée 20km à l’ouest de Buczacz/Buchach au sud de Tarnopol/Ternopil en Ukraine à la mi-avril 1944.
Le 21 avril 1944, la 7. Panzer-Division rejoint une zone de régénération située au sud de Stanislaus/Stanisławów/Ivano-Frankivsk en Ukraine. Cependant, dès le 25 avril 1944, la 7. Panzer-Division alors réduite à un simple groupe de combat ou Kampfgruppe doit se replier vers le sud dans les Carpates.
La 7. Panzer-Division est alors déployée dans les cols des Carpates jusqu’au 1er juillet 1944 puis embarquée par voie ferrée via Lemberg/Lviv, Radom, Varsovie et Bialystok jusqu’à Lida en Biélorussie 148km à l’ouest de Minsk et 90km au sud de Wilna/Vilnius en Lituanie, les soviétiques ayant réussi à séparer les groupes d’armées Nord et Centre ou Heeresgruppe Nord et Heeresgruppe Mitte. De lourdes et coûteuses retraites suivent au sud de Wilna/Vilnius et lors du franchissement du fleuve Niémen/Neman.
Jusqu’à la fin juillet 1944, la 7. Panzer-Division combat sur le fleuve Njemen/Niémen/Neman, puis au nord de Kowno/Kaunas 90km à l’ouest de Wilna/Vilnius, où elle participe à l’ouverture de la liaison terrestre avec la Kurland/Courlande.
Le 1er août 1944, la 7. Panzer-Division doit se replier dans le secteur de Dubysa 75km au nord-ouest de Kaunas. À la mi-août 1944, la 7. Panzer-Division se déplace vers la région de Kelme 100km au nord-ouest de Kaunas, d’où elle participe aux combats autour de Schaulen/Shaulia/Šiauliai 42km au nord de Kelme et 137km à l’est de Memel/Klaipeda.
Le 21 septembre 1944, la 7. Panzer-Division parcourt plus de 100km jusqu’à l’est de Memel/Klaipeda, où de violents combats ont lieu. Memel/Klaipeda étant devenue intenable, la 7. Panzer-Division est embarquée par voie maritime le 22 octobre 1944.
À partir du 7 novembre 1944, les éléments résiduels de la 7. Panzer-Division sont rassemblés au camp d’entraînement militaire d’Arys-Rostken près d’Orzysz en Prusse-Orientale, où la 7. Panzer-Division est partiellement réorganisée.
Dès le 15 novembre 1944, la seule division partiellement réorganisée de la zone, la 7. Panzer-Division est envoyée vers la zone d’opérations au nord de la rivière Narew en tant que réserve d’intervention.
À la mi-janvier 1945, des combats de repli vers et au-delà de la frontière du Reich dans le sud de la Prusse-Orientale, suivis d’actions d’arrière-garde à l’est de Graudenz/Grudziądz et au sud de Marienwerder/Kwidzyn. La 7. Panzer-Division traverse la Weichsel/Vistule/Visla et combat ensuite autour d’Elbing/Elbląg et de Konitz/Chojnice.
À la mi-février 1945, les combats se déplacent vers le nord de la Poméranie, dans la région à l’ouest de Dantzig/Gdansk et à Hela/Hel.
En mars 1945, la 7. Panzer-Division combat pour Götenhafen/Gotenhafen/Gdynia et, après son abandon, pour Hela/Hel.
À la mi-avril 1945, les survivants de la 7. Panzer-Division sont évacués par voie maritime et rassemblés près d’Usedom.
Le 19 avril 1945, la 7. Panzer-Division, revenue de Hela/Hel avec seulement quelques survivants, reçoit l’ordre d’effectuer un bref ravitaillement dans la région de Waren an der Müritz dans le Wehrkreis II jusqu’au 1er mai 1945. Le Panzer-Ausbildungs-Verband Krampnitz près de Potsdam doit fournir le personnel de base à cette régénération.
Par conséquent, les survivants de la 7. Panzer-Division sont transférés dans la région de Waren-Prenzlin dans le Mecklembourg et rassemblés dans la région de Penzlin comme réserve d’armée.
Fin avril 1945, la 7. Panzer-Division est contrainte de se replier sur Waren et Goldberg.
Le 3 mai 1945, les survivants de la 7. Panzer-Division se rendent aux troupes américaines dans la région de Schwerin.