WEISS Robert (*1919)

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1 Responses to WEISS Robert (*1919)

  1. Kayser dit :

    D’après la base VDK:
    Robert Weiss
    Geburtsdatum: 08.08.1919
    Geburtsort: Bad Niederbronn
    Todes-/Vermisstendatum: 15.10.1944
    Todes-/Vermisstenort: nicht verzeichnet
    Dienstgrad: Grenadier
    Robert Weiss wurde noch nicht auf einen vom Volksbund errichteten Soldatenfriedhof (Pulawy über die Landstraße von Radom nach Pulawy
    erreichbar, knapp 15 Kilometer vor Pulawy) überführt. Nach den uns vorliegenden Informationen befindet sich sein Grab derzeit noch an folgendem Ort: bei Warszawa / Lublin – Polen
    Der Volksbund ist bemüht, auf der Grundlage von Kriegsgräberabkommen die Gräber der deutschen Soldaten zu finden und ihnen auf Dauer gesicherte Ruhestätten zu geben. Wir hoffen, in nicht allzu ferner Zukunft auch das Grab von Robert Weiss zu finden und die Gebeine auf einen Soldatenfriedhof überführen zu können.

    D’après Mémoire des Hommes:
    Soldat WEISS Robert Louis
    Né le 8/8/1919 à Niederbronn-les-Bains (67 – Bas-Rhin, France)
    Mort pour la France, tué le 15/10/1944 près de Bobi (Russie) : sans doute Boby, sur la rivière Narew, 9km au nord d’Ostenburg/Pułtusk en Pologne.
    D’après sa fiche DRK, la zone de disparition indique le secteur de Boby – Rozan : ce secteur correspond à Różan 77km au nord-est de Varsovie et à Boby 20km au sud-ouest de Różan en Pologne.
    Le secteur postal FPN 10551 D mentionné sur sa fiche DRK correspond à la 11. Kompanie du III. Bataillon du Grenadier-Regiment 61 de la 7. Infanterie-Division.
    Formé le 15 octobre 1942 à partir de l’Infanterie-Regiment 61 et subordonné à la 7. Infanterie-Division, le Grenadier-Regiment 61 est stationné dans le secteur de Gchatsk en Russie à partir de l’hiver 1941-1942.
    En 1943, la 7. Infanterie-Division combat dans la boucle de l’Orel, puis se replie sur Gomel/Homiel en Biélorussie par la rivière Desna et le fleuve Dniepr.
    Le 3 mars 1943, le Grenadier-Regiment 61 commence son repli vers la position « Buffle » ou « Buffel-Stellung »; ces nouvelles positions défensives sont atteintes le 22 mars 1943.
    En raison du raccourcissement du front, la 7. Infanterie-Division est retirée du front et embarquée par voie ferrée à destination d’Orel/Oryol dans la province d’Yelnya/Jelnja en Russie. Après l’attaque soviétique de la nouvelle zone opérationnelle près des positions tenues par la 25. Panzer-Division, les unités du Grenadier-Regiment 61 sont déployées au front immédiatement après leur débarquement. Après avoir repoussé les attaques dans cette zone, la 7. Infanterie-Division est à nouveau retirée du front et déployée pour des opérations contre les formations de partisans dans les forêts de Briansk pendant l’Opération «Baron tsigane» ou « Zigeunerbaron » au nord de Lokot. Durant les violents combats contre les partisans, le Grenadier-Regiment 61 établit plusieurs points d’appui en forêt. À la fin de l’opération, la rivière Desna est atteinte le 4 juin 1943 et franchie le 5 juin 1943.
    La 7. Infanterie-Division se relocalise ensuite dans la région de Kromy pour préparer l’offensive allemande d’été sur Koursk durant l’Opération « Citadelle » ou « Zitadelle ».
    Le 5 juillet 1943, la 7. Infanterie-Division lance son attaque sur Koursk par le nord. Après avoir été maintenu en réserve au début de l’attaque, le Grenadier-Regiment 61 est déployé sur la ligne de front à midi et de violents combats rapprochés suivent sur les positions soviétiques bien fortifiées. Le soir du 5 juillet 1943, le Grenadier-Regiment 61 parvient à s’emparer de Tureika. Après plusieurs autres succès, le Grenadier-Regiment 61 s’empare de la ville de Degtyarny le 10 juillet 1943. À partir du 11 juillet 1943, le Grenadier-Regiment 61 adopte une posture défensive. Dans la nuit du 16 au 17 juillet 1943, le Grenadier-Regiment 61 se retire de la ligne de front et regagne lentement les positions initiales qu’il occupait avant le début de l’opération « Citadelle »; ces positions sont atteintes le 18 juillet 1943. Pour la suite de la retraite, le Grenadier-Regiment 61 est brièvement subordonné à la 102. Infanterie-Division, avec laquelle il retraite vers la position « Hagen ».
    Après avoir atteint cette position, le Grenadier-Regiment 61 rejoint à nouveau la 7. Infanterie-Division.
    La 7. Infanterie-Division est retirée du front le 9 août 1943 et relocalisée dans la région de Lokot en repos jusqu’au 14 août 1943. Le 22 août 1943, le Grenadier-Regiment 61 est mis en alerte et marche vers la région de Ssevsk, derrière la ligne de front. Lorsque la grande offensive soviétique débute le 26 août 1943, le Grenadier-Regiment 61 est affecté à la 251. Infanterie-Division. Le Grenadier-Regiment 61 se retire via Novgorod et Kolmy jusqu’au 25 août 1943 et retourne sur le fleuve Dniepr le 1er septembre 1943 en le franchissant près de Loïev; le Grenadier-Regiment 61 est de nouveau subordonné à la 7. Infanterie-Dvision et occupe de nouvelles positions défensives.
    À partir du 15 octobre 1943, les attaques soviétiques sur le Dniepr reprennent. Le 22 octobre 1943, la 7. Infanterie-Division entame son repli vers l’ouest.
    Le 30 octobre 1943, le Grenadier-Regiment 61 atteint la position de Pochemka, où il bénéficie d’un court répit.
    Après la reprise des attaques soviétiques le 10 novembre 1943, le Grenadier-Regiment 61 doit à nouveau se replier vers l’ouest le 11 novembre 1943.
    En décembre 1943, les marais de Pripiat sont atteints au milieu de violents combats.
    En 1944, la 7. Infanterie-Division se replie par les marais de Pripiat, via Pinsk et Bielsk/Bielsk Podlaski, jusqu’au fleuve Boug/Bug.
    La 7. Infanterie-Division participe aux combats entre le Boug/Bug et la rivière Narew en Pologne.
    Après une brève accalmie, l’Armée rouge lance une lourde attaque contre les divisions voisines la deuxième semaine de janvier 1944, les forçant à se replier. Menacée sur ses flancs, la 7. Infanterie-Division se joint à ce repli.
    Après de violents combats en Russie centrale et en Pologne, le II. Bataillon du Grenadier-Regiment 61 est dissous en février 1944.
    En mars 1944, le Grenadier-Regiment 61 se replie sur des positions proches de Winwicza/Winnica; une accalmie s’installe jusqu’à l’éclatement de la grande offensive soviétique le 22 juin 1944.
    D’avril à juillet 1944, la 7. Infanterie-Division combat en Biélorussie dans le secteur nord-est d’Harodno/Haradnaja 40km au sud-est de Pinsk.
    Sous une forte pression, le Grenadier-Regiment 61 se replie sur des positions défensives organisées près de Pinsk en Biélorussie le 25 juin 1944.
    Le 20 juillet 1944, le Grenadier-Regiment 61 retraite vers Kobryn via Janow et Drohiezyn.
    Après avoir combattu au nord de Brest-Litovsk en août 1944, le Grenadier-Regiment 61 traverse le fleuve Bug/Boug occidental près de Turzyen/Turzyn via Wegrow/Węgrów et atteint Chniebewo/Chmielewo le 25 août 1944, 95km au nord-est de Varsovie.
    Poursuivant sa retraite, le Grenadier-Regiment 61 traverse la rivière Narew près de Rozan/Różan, puis se retire parallèlement à la Vistule jusqu’en Prusse orientale.
    De début novembre 1944 à début janvier 1945, la 7. Infanterie-Division combat dans le secteur de Karniewo 8km au sud-ouest de Mackeim/Maków Mazowiecki, 16km au nord-ouest d’Ostenburg/Pułtusk et 25km à l’est de Zichenau/Ciechanów, soit 70km au nord de Varsovie.
    En décembre 1944, le Grenadier-Regiment 61 atteint la zone autour de Gnojo/Gnojno.
    En début janvier 1945, la 7. Infanterie-Division combat dans la région de Wlosawa/Włodawa – Wegrow/Węgrów. Le 12 janvier 1945 débute la dernière grande offensive soviétique.
    Lorsque la 7. Infanterie-Division est prise dans l’attaque du 14 janvier 1944, le Grenadier-Regiment 61 est dispersé et débordé en quelques heures. Les restes du Grenadier-Regiment 61 se rassemblent au poste de commandement divisionnaire de la 7. Infanterie-Division et se déployent près de Zichenau/Ciechanów le 15 janvier 1945; cette ville est perdue le 17 janvier 1945.
    Après le début de l’opération Vistule-Oder de l’Armée rouge le 12 janvier 1945, la 7. Infanterie-Division est contrainte de pénétrer dans le Große Werder/Zingst, dans la baie de Dantzig/Gdansk. La 7. Infanterie-Division y subit de lourdes pertes.
    Après quelques combats défensifs au nord-ouest d’Ostenburg/Pułtusk, la 7. Infanterie-Division effectue des mouvement de retrait entre la Narew et la Basse Vistule, via Zichenau/Ciechanów – Thorn/Toruń – Graudenz/Grudziądz, jusqu’à Dantzig/Gdansk.
    Thorn//Toruń est située 40km à l’est de Bromberg/Bydgoszcz et Graudenz/Grudziądz est située 61km au nord-est de Bromberg/Bydgoszcz.
    À la mi-janvier 1945, 7. Infanterie-Division est chargée d’établir une barrière sur la rivière Nogat en Pologne. La 7. Infanterie-Division prend le contrôle du secteur le 24 janvier 1945.
    Entre-temps, l’état-major divisionnaire forme le Groupe/Gruppe «von Rappard», également connu sous le nom de Korpsgruppe «von Rappard» : outre des unités de la 7. Infanterie-Division, il comprend également des unités de l’armée de l’air et de la marine utilisées pour le combat terrestre, ainsi que des unités résiduelles issues de formations de l’armée de terre étrillées dans les derniers combats.
    Le 26 janvier 1945, l’Armée rouge encercle d’importants éléments de la 2. Armee, dont le Groupe «von Rappard» dans l’estuaire de la Weichsel/Vistule.
    La mission des unités encerclées reste de défendre les importants ports baltes de Dantzig/Gdansk et de Götenhafen/Gdynia.
    Entre le 20 et le 25 février 1945, l’état-major du Groupe «von Rappard» s’installe dans le bunker construit par les pionniers dans les dunes près de Steegen/Stega. Dans les jours qui suivent, les unités du Groupe «von Rappard» subissent des pertes allant jusqu’à 50%.
    À partir de la mi-mars 1945, le Groupe «von Rappard» est à nouveau appelé 7. Infanterie-Division.
    Le 15 mars 1945, les pionniers de la 7. Infanterie-Division font sauter les barrages de la Vistule orientale près de Rothebude/Czerwony Dwór : de vastes zones de plaine, situées sous le niveau de la Vistule sont ainsi inondées. En raison de ces inondations dans le Marienburger Werder/Żuławy Malborskie, au nord, les combats se limitent initialement à des opérations de reconnaissance et d’assaut.
    Les régiments de grenadiers de la 7. Infanterie-Division sont ensuite retirés pour la bataille de Dantzig/Gdansk et la 7. Infanterie-Division reste sur ses positions antérieures avec ses unités régimentaires.
    La 7. Infanterie-Division commande également des unités d’alerte et de remplacement ou Alarm- und Ersatz-Bataillonen, ainsi que des bataillons de fusiliers de la marine ou Marine-Schützen-Bataillone. Ces régiments sont alors complétés par des isolés, des traînards, des membres du Volkssturm, des jeunesses hitlériennes et des convalescents.
    Dans la première quinzaine d’avril 1945 et suite aux combats, les régiments de grenadiers sont réduits à l’effectif d’un bataillon et rejoignent alors la 7. Infanterie-Division.
    Au cours de la retraite vers la baie de Dantzig/Gdansk, les éléments résiduels du Grenadier-Regiment 61 sont anéantis entre Bohnsack/Sobieszewo et Stutthoff/Sztutowo.
    En mai 1945, la 7. Infanterie-Division capitule dans la région de Stutthof/Sztutowo – Steegen/Stegna.

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