Eugène Wendling, de Morschwiller, après avoir effectué le RAD, est envoyé ensuite sur le front de l’Est où son unité est utilisée pour la chasse aux partisans (1943). Après le front russe, il est muté en France (1944). Sa première tentative de désertion est un échec. C’est grâce à un restaurateur d’Airaines, FFI, qu’il a réussi à s’évader. Prisonnier de guerre des Américains, il est transféré en Angleterre où il intègre l’armée française. Son frère, Michel Wendling, également incorporé de force, a été prisonnier au camp de Tambov.
Voir également : http://www.fncv.com/biblio/temoignages/1939–1945/malgre-nous/wendling-eugene