ZELLER Antoine

Commentaire (0) Liste des avis de recherche

 

jpg_Zeller_Antoine.jpgMon père Antoine ZELLER, né le 21/06/1911 à Hague­nau, incor­poré en octobre 1944 et porté disparu en Hongrie, ne figure sur aucune liste. Les dernières lettres ont été envoyées de Ellwan­gen-Jagst qui était un camp de rassem­ble­ment.

Un de ses cama­rades, Gérard Bohn, écri­vit à ma mère en 1947 pour lui dire qu’à cause des pertes impor­tantes, les hôpi­taux n’avaient pu être évacués.

Il avait noté dans ses cour­riers qu’il était affecté à la 7. Komp. SS
Panzer­gre­na­dier A und Ers.Bat.5.
Est-il possible qu’il ai pu avoir un n°
S.P. 35703E qui, suivant la Wast, corres­pon­drait à une unité des SS
Pz.Gren.Reg.10 « West­land »/5.SS Divi­sion ? Ou, suivant la Croix Rouge
(Such­dienst) à la 4./SS Pz.Gren.Reg. 2 der 1. SS Pz. Div. « Leibs­tan­darte Adolf Hitler » ?

Peut-être que d’autres Alsa­ciens peuvent se souve­nir? Merci.

Daniel Zeller

 Cour­riel : zeller.daniel@­wa­na­doo.fr

* Fiche du Volks­bund trans­mise par Claude Herold :

 Nach­name: Zeller

 Vorname: Anton

 Dienst­grad: Grena­dier

 Geburts­da­tum: 21.06.1911

 Geburt­sort: Hague­nau

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 02.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort: Gyal­lut (1)

 Anton Zeller ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Budaörs – Sammel­fried­hof (Ungarn). Endgra­blage: Block 1 – Unter den Unbe­kann­ten.

(1) Remarque de D. Zeller : Mon père aurait été blessé près de Buda­pest et soigné dans un hôpi­tal de cette ville, dont l’adresse fut mal trans­crite : cet hôpi­tal se trou­vait dans la rue Gyäli au n°5–7 au IX arr. ( « ùt » veut dire « rue » en hongrois, ce qui donne Gyäli ùt ).

* Préci­sion de Claude Herold :

La Feld­post­num­mer 35703 corres­pond bien à : (23.4.1944–24.11.1944) 26.7.1944 Stab III u. 9.-12. Kompa­nie Panzer­gre­na­dier-Regi­ment 10 « West­land » (5. SS-Divi­sion « Wiking »).

* D’après Patrick Kautz­mann, Antoine Zeller devait se trou­ver parmi les assié­gés dans Buda­pest – un Stalin­grad 2. Il faut savoir que les Waffen-SS étaient alors géné­ra­le­ment ache­vés sur place.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *