Après la 2eme GM quasiment tous les français se déclaraient comme partisans et les collabos etaient tous disparus comme par miracle. Mitterand n’a jamais non plus évoqué son implication à Vichy et il préférait faire pleurnicher dans les chaumières en évoquant un soi-disant emprisonnement en Allemagne dont la preuve indiscutable demeure à fournir!
De même, parmi les alsaciens ayant combattu sous les drapeaux allemands, il n’y aurait eu que des malgres-nous! Quand on risque sa tête, on devient créatif dans la recherche d’arguments pour la sauver! Oui il y a eu des alsaciens volontaires pour combattre dans les rangs des nazis, y compris parmi ceux-présents à Oradour le jour du drame et ils n’étaient pas là pour apporter des bonbons aux enfants et des fleurs aux jeunes filles.
Parmi les Alsaciens présents à Oradour-sur-Glane et appartenant à la 3e compagnie du régiment « Der Führer » de la 2e division blindée SS « Das Reich » se compte un volontaire. Il a obtenu un non-lieu en 1948, tout comme quelques incorporés de force la même année. En vertu de la « loi Oradour », ils ont été jugés une seconde fois en 1953 pour le même crime, ce qui est contraire au Droit français. Concernant plus spécifiquement les incorporés de force, ils ont été condamnés à une voix près, preuve que les juges avaient des convictions peu assurées.
Après la 2eme GM quasiment tous les français se déclaraient comme partisans et les collabos etaient tous disparus comme par miracle.
Mitterand n’a jamais non plus évoqué son implication à Vichy et il préférait faire pleurnicher dans les chaumières en évoquant
un soi-disant emprisonnement en Allemagne dont la preuve indiscutable demeure à fournir!
De même, parmi les alsaciens ayant combattu sous les drapeaux allemands, il n’y aurait eu que des malgres-nous!
Quand on risque sa tête, on devient créatif dans la recherche d’arguments pour la sauver!
Oui il y a eu des alsaciens volontaires pour combattre dans les rangs des nazis, y compris parmi ceux-présents à Oradour le jour du drame et ils n’étaient pas là pour apporter des bonbons aux enfants et des fleurs aux jeunes filles.
Parmi les Alsaciens présents à Oradour-sur-Glane et appartenant à la 3e compagnie du régiment « Der Führer » de la 2e division blindée SS « Das Reich » se compte un volontaire. Il a obtenu un non-lieu en 1948, tout comme quelques incorporés de force la même année. En vertu de la « loi Oradour », ils ont été jugés une seconde fois en 1953 pour le même crime, ce qui est contraire au Droit français. Concernant plus spécifiquement les incorporés de force, ils ont été condamnés à une voix près, preuve que les juges avaient des convictions peu assurées.