KLINKERT Emile & HOFFMANN Jean

Commentaires (2) Avis de recherche, Liste des avis de recherche

 

 Je fais des recherches sur le parcours d’Emile Klin­kert (* Petite-Rosselle 17.8.1923). D’après la WASt, sa plaque d’iden­tité indiquait : 1255 – St.Kp. Pz.Gr.E.B. 8 = Stamm­kom­pa­nie du 8e Panzer­gre­na­dier-Ersatz-Bataillon. En juillet/août 1944, il a été muté à la Versor­gung­skom­pa­nie de la 25e Panzer-Aufklä­rungs-Abtei­lung de la 25e Panzer-Divi­sion (d’après le DRK).

Il est très proba­ble­ment mort lors des combats de janvier-avril 1945 sur le front Est. Rien ne permet de dire qu’il a été fait prison­nier par les Russes.

 

Merci pour tout rensei­gne­ment complé­men­taire.

 

Philippe Henry

p_henry@o­range.fr

 

 Emile Klin­kert au Reich­sar­beits­dienst.

 

Fiches du VDK et du DRK trans­mises par Claude Herold :

 Emil Klin­ker

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Emil Klin­ker seit 01.03.1945 vermisst.

In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Neumark / Stare Czar­nowo haben wir seinen Namen verzeich­net.

Nach­name: Klin­ker

Vorname: Emil

Geburts­da­tum: 17.08.1923

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.03.1945

Todes-/Vermiss­te­nort: Polen

 

Dans sa compa­gnie, il y avait aussi Jean Hoff­mann, né le 30.9.1919

NomHOFFMANN
Lieu de rési­denceWilwi­sheim (Bas-Rhin) – France
Incor­poré de force dans la Wehr­macht
Date de dispa­ri­tion22/11/1944
Lieu de dispa­ri­tionAux armées
Circons­tances de décèsInconnu

 

2 Responses to KLINKERT Emile & HOFFMANN Jean

  1. METIVIER dit :

    J’ai cherché à contacter la personne qui a déposé un avis de recherche pour Emile KLINKERT
    p_henry@o­range.fr
    Je n’ai pas eu de réponse.
    Mon père l’a connu lors de son séjour en 1939 dans la commune de St Pierre de Juillers en Charente Maritime. Il m’en a bcp parlé et je possède de nombreuses photos de Emile Klinkert avec les jeunes du pays
    Je vous remercie de bien vouloir me contacter
    Cordialement
    Éveline METIVIER née BENETEAU de St Pierre de Juillers 17

  2. kayser dit :

    D’après Mémoire des Hommes:
    KLINKERT Emile Jacques
    Né le 17/8/1923 à Petite-Rosselle (57 – Moselle, France)
    Mort pour la France le 1/3/1945 sur l’Oder en Pologne : sans doute sur la tête de pont de l’Oder dans le secteur Altdamm/Dąbie – Finkenwalde/Zdroje, 8km au sud-est de Stettin/Szczecin.
    Numéro matricule: 1255
    Instruit en mai 1944 au sein de la Stamm­kom­pa­nie du Panzer­gre­na­dier-Ersatz-Bataillon 8 (FPN 59943) stationné à Neuruppin au nord-ouest de Berlin.
    En juillet/août 1944, muté à la Versor­gung­skom­pa­nie de la Panzer-Aufklä­rungs-Abtei­lung 25 (FPN 22423) de la 25. Panzer-Divi­sion.
    La Panzer-Aufklä­rungs-Abtei­lung 25 est créée en Norvège dans le secteur de Jessheim le 7 avril 1943 par renommage du Kradschützen-Bataillon 87 et subordonné à la 25. Panzer-Division.
    La Panzer-Aufklä­rungs-Abtei­lung 25 est déployée au sein de la 25. Panzer-Division dans le nord de l’Ukraine dans le secteur de Shitomir/Zhytomyr à partir de fin 1943 au sein du XXXXII. Armee-Korps de la 4. Panzer-Armee.
    De janvier à mars 1944, le groupe de combat/Kampfgruppe de la 25. Panzer-Division est déployé sur le Balcon de Kazatin/Kasatin, une zone située au nord-est de Winniza/Vinnitsa/Vinnytsia en Ukraine.
    La Panzer-Aufklä­rungs-Abtei­lung 25 combat dans le secteur de Berdichew – Kasatin, puis dans le secteur de Winniza – Berdichew – Schepetowka en janvier 1944, où il est anéanti sur le Balcon de Kasatin au nord-est de Winniza en février 1944.
    Après l’encerclement de la 1. Panzer-Armee près de Kamenets-Podolski, les éléments résiduels de la 25. Panzer-Division de la « poche de Hube » percent vers l’ouest.
    Après la fin des combats, la 25. Panzer-Division est rassemblée en Ukraine dans une zone située entre le Dniestr et la rivière Strypa, dans le secteur autour de Medvedowce/Medvedovce, puis mise à disposition comme réserve d’intervention pour le groupe d’armées du nord de l’Ukraine/Heeresgruppe Nordukraine dans une zone située au sud-est de Lemberg/Lviv.
    Début mai 1944, la 25. Panzer-Division se remet en mouvement et ses éléments résiduels sont rassemblés dans les camps d’entraînement militaire de Gran/Esztergom en Hongrie, de Grafenwöhr et de Senne au nord de Paderborn ; ces éléments résiduels font ensuite mouvement vers le Jutland au Danemark où la 25. Panzer-Division est réorganisée pour partie, d’autres unités étant réorganisées à Grafenwöhr, puis finalement transférées à la Panzer-Brigade 103.
    En août 1944, la Panzer-Aufklä­rungs-Abtei­lung 25 est recréée au Danemark et à nouveau subordonnée à la 25. Panzer-Division. La Panzer-Aufklä­rungs-Abtei­lung 25 est à nouveau déployée en Pologne avec le reste de la 25. Panzer-Division.
    Incomplètement formée, la 25. Panzer-Division est transférée sur le front de l’est sous la forme d’un groupe de combat/Kampfgruppe à la fin du mois d’août 1944 dans la zone de combat de Varsovie en tant que réserve de l’OKH pour y poursuivre sa régénération.
    Début octobre 1944, le groupe de combat/Kampfgruppe de la 25. Panzer-Division est déployé en Pologne face à la tête de pont soviétique de la Narew près de Serok/Serock 32km au nord de Varsovie en même temps que la 3. Panzer-Division, la 252. Infanterie-Division et la Heeres-Panzer-Brigade 104. La tête de pont soviétique résiste à cet assaut, suivi du déploiement du groupe de combat/Kampfgruppe de la 25. Panzer-Division en défensive pour contrer l’offensive soviétique majeure sur la rivière Narew. Après cette mission, la Panzer-Brigade 104 est intégrée à la 25. Panzer-Division à la fin du mois d’octobre 1944.
    En novembre 1944, la 25. Panzer-Division combat sous forme de groupes de combat/Kampfgruppen dans la région sud de Varsovie pour contrer les incursions des divisions d’infanterie soviétiques qui infestent déjà la zone. Fin novembre 1944, la 25. Panzer-Division est rassemblée dans une zone située au sud-ouest de Varsovie, puis déplacée dans la région est de Bialobrzegi, ville située 22km au sud-ouest de Warka où elle est brièvement rafraîchie près du front.
    En décembre 1944, la 25. Panzer-Division combat dans le secteur sud de Goszczyn 11km au nord de Bialobrzegi et 24km à l’ouest de Warka jusqu’en janvier 1945.
    Après le début de l’offensive d’hiver soviétique en janvier 1945, la 25. Panzer-Division est déployée sur la tête de pont de Warka sur la rive occidentale de la Weichsel/Wisla/Vistule au nord de Radom. Après trois jours de combats acharnés, la 25. Panzer-Division se replie vers l’ouest, prend contact avec la Poche de « Nehring » et traverse l’Oder au nord de Glogau à la fin du mois de janvier 1945.
    Au cours de ces combats de retraite, la 25. Panzer-Division subit à nouveau de lourdes pertes, les éléments résiduels de la 25. Panzer-Division renforcent la tête de pont allemande sur l’Oder autour de Glogau.
    Par la suite, ces éléments résiduels de la 25. Panzer-Division sont déployés au sein du XXIV. Panzer-Korps pour établir et défendre la ligne de défense sur l’Oder et la Neisse dans la zone située au nord-est de Görlitz, des deux côtés de la « Festung/forteresse Glogau ».
    À la mi-février 1945, le groupe de combat/Kampfgruppe de la 25. Panzer-Division est retiré du front et transféré dans la région de Görlitz, où il est à nouveau rafraîchi à proximité du front ; un véritable rafraîchissement n’étant alors plus possible en raison d’un manque de matériel et de personnel.
    Fin février 1945, la 25. Panzer-Division se déplace vers une zone de déploiement située à l’est de Berlin, où elle est déployée aux ordres de la 11. Armee pour défendre le secteur au sud-est de Stettin/Szczecin.
    La 25. Panzer-Division est ensuite déployée sur la tête de pont de l’Oder dans le secteur Altdamm/Dąbie – Finkenwalde/Zdroje, 8km au sud-est de Stettin/Szczecin.
    Fin mars 1945, les éléments résiduels de la 25. Panzer-Division occupent une zone au sud de Stettin/Szczecin dans la zone défensive de la 9. Armee.
    Début avril 1945, les éléments résiduels de la 25. Panzer-Division occupent une zone autour de Vienne.
    Le gros de la 25. Panzer-Division est capturé par les troupes américaines à Vimperk à l’ouest de Vienne en mai 1945.

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