Message de Gérard Michel, de l’ADEIF du Bas-Rhin :
« Nous avons été contactés par la gendarmerie de Paris qui agit sur ordre du Procureur Perron, lequel doit agir selon les souhaits de la police allemande, dans le cadre de l’enquête sur les crimes de guerre d’Oradour-sur-Glane, mais aussi sur les autres théâtres tristement célèbres durant l’été 1944 en France.
Il y aura bien une enquête, mais les documents d’archives ne bougeront pas du local. Les policiers, accompagnés de gendarmes français, feront des photocopies des documents qui les intéresseront ».