Suite à une conversation, moi et ma mère avons commencé une enquête concernant la disparition de son oncle en 1945. Nous avons trouvé un document d’archive sur le site Mémoire des Hommes.
Il s’agit de Guillaume Metzger, né le 28 janvier 1922 à Schillersdorf (Bas-Rhin), cultivateur, fils de Georges Charles Metzger et de Marguerite Fischbach. Son père était l’Orstgruppenleiter de Schillersdorf à partir de 1940. Guillaume, germanisé Wilhelm, s’est engagé dans la Hilfspolizei dès le 25 novembre 1940. En 1942, il intègre le 7e SS-Panzer-Grenadier-Regiment « Deutschland« , unité faisant partie de la Leibstandarte-SS « Adolf Hitler« .
Il s’agit de Guillaume Metzger, né le 28 janvier 1922 à Schillersdorf (Bas-Rhin), cultivateur, fils de Georges Charles Metzger et de Marguerite Fischbach. Son père était l’Orstgruppenleiter de Schillersdorf à partir de 1940. Guillaume, germanisé Wilhelm, s’est engagé dans la Hilfspolizei dès le 25 novembre 1940. En 1942, il intègre le 7e SS-Panzer-Grenadier-Regiment « Deutschland« , unité faisant partie de la Leibstandarte-SS « Adolf Hitler« .
D’après un lointain témoignage de son petit-frère, ma grand-mère et mon arrière-grand-mère auraient été internées à Schirmeck au camp de sûreté, et leur maison confisquée, mais nous ignorons pour quel motif : aa défunte grand-mère avait horreur de cette période et en souffrait trop d’en parler, un simple mot la faisait pleurer.
Le 3 septembre 1943, Guillaume est légèrement blessé par balle au bras gauche et hospitalisé à Fürth. Il en sort le 22 octobre 1943 et rejoint son régiment à Prague. Son père Georges déclare à la gendarmerie en 1960 : « Au mois de juin 1944, mon fils est venu pour la dernière fois en permission à mon domicile. Lorsqu’il est reparti, il s’est rendu dans la région de Prague. J’ai reçu les dernières nouvelles de mon fils dans une lettre datée du 9 février 1945 et il se trouvait alors en Poméranie ». La date de la dernière lettre est considérée comme sa date de décès, mais il a en réalité disparu. Nous sommes donc à la recherche de renseignements sur son parcours, et éventuellement sa sépulture si elle existe.
Le 3 septembre 1943, Guillaume est légèrement blessé par balle au bras gauche et hospitalisé à Fürth. Il en sort le 22 octobre 1943 et rejoint son régiment à Prague. Son père Georges déclare à la gendarmerie en 1960 : « Au mois de juin 1944, mon fils est venu pour la dernière fois en permission à mon domicile. Lorsqu’il est reparti, il s’est rendu dans la région de Prague. J’ai reçu les dernières nouvelles de mon fils dans une lettre datée du 9 février 1945 et il se trouvait alors en Poméranie ». La date de la dernière lettre est considérée comme sa date de décès, mais il a en réalité disparu. Nous sommes donc à la recherche de renseignements sur son parcours, et éventuellement sa sépulture si elle existe.
Merci pour toute aide qui nous orienterait pour la suite nos recherches.
Vincent BENE – vincentbene05@gmail.com