Le 2 juin 2012 au Musée de l’Abri à Hatten, Georges Ruffenach, de Sessenheim, raconte comment il a été rapatrié du camp de Tambov en 1946. Il se souvient d’y avoir vu des prisonniers japonais. Une fois libéré, il a été trimbalé dans toute l’Allemagne, car il n’avait pas été reconnu comme Français, mais comme apatride Heimatlos. Il retrouve ses foyers le 26 octobre 1946. (Photo N. Mengus)
Voir également le livre Lettres de Malgré-Nous paru en 2012.