Si le destin méconnu des 130.000 « Malgré-Nous » alsaciens-mosellans a souvent été mal compris par nos compatriotes – on l’a encore vu récemment à Oradour où, le 4 septembre dernier, le président allemand s’est déclaré « conscient du débat intense en France autour de la question de l’enrôlement forcé des Alsaciens qui ont participé au massacre » – l’indifférence ou l’ignorance, en revanche, ont longtemps occulté le sort des quelque dizaines de milliers d’Alsaciennes et de Lorraines incorporées de force durant la dernière guerre dans le Reicharbeitsdienst (RAD), service de travail du Reich, ou dans le Kriegshilfsdienst (KHD), service auxiliaire de guerre.
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