Suite à l’intervention de Madame Gisèle PRINTZ, Sénatrice de la Moselle, Monsieur le Ministre de la Défense et des Anciens Combattants a transmis les éléments de réponse ci-joints (voir pièce jointe).
Je formule le vœu que l’étude menée par le Service Historique de la Défense confirmera ce que les historiens ont déjà mis en avant sur l’identité de traitement par le NKVD des prisonniers alsaciens et mosellans tant du côté est que du côté ouest de la « ligne CURZON ».
Serge AMORICH
Délégué national de l’Association des anciens incorporés de force dans le RAD et KHD d’Alsace et de Moselle