Je fais des recherches sur Lucien Martin.
Il était domicilié 14 vieux chemin de Châtenois 67 SELESTAT (maintenant c’est 32 rue de Châtenois). Il était né à Saarguemines, le 12 février 1922, ses parents : Théodore et Anna MARTIN, ses frères et sœur : Raymond MARTIN, décédé en 1967 (vétérinaire à l’époque à Benfeld 67) Frieda MARTIN, épouse DAVID, née le 14 janvier 1929, résidant à Oullins, 6 allée de la Malletière.
Je sais que mon oncle avait pris le maquis pour rejoindre la France libre, cachée plusieurs mois, il a été dénoncé par un garde barrière. Il avait fait de la prison et envoyé dans un bataillon disciplinaire, direction le front de l’est.
Avant qu’il ne disparaisse, un copain de même secteur postal l’avait entrevu, il partait dans une direction opposée à la sienne et était en fort mauvais état.
Sa FPN correspond à la 8e compagnie du Grenadier-Regiment 464.
J’ai appris par la WASt qu’il est décédé en captivité soviétqiue dans le secteur de SAMBOR (URSS), camp 194 et inhume au cimetière du camp tombe n° 11.
Merci pour tout renseignement complémentaire.
Patricia David
Fiches du VDK et du DRK transmises par Claude Herold :
Lucien Martin
Lucien Martin wurde noch nicht auf einen vom Volksbund errichteten Soldatenfriedhof überführt.
Nach den uns vorliegenden Informationen befindet sich sein Grab derzeit noch an folgendem Ort: Sambor – Ukraine
Name und die persönlichen Daten von Lucien Martin sind auch im Gedenkbuch der Kriegsgräberstätte verzeichnet.
Nachname: Martin
Vorname:Lucien
Dienstgrad:Grenadier
Geburtsdatum:12.02.1922
Geburtsort:Sarreguenines
Todes-/Vermisstendatum:11.05.1945
Todes-/Vermisstenort: Kgf. im Raum Sambor
Bonjour,
voici les éléments que j’ai trouvé dans son dossier de déporté interné de la Résistance (DIR) aux Archives départementales du Bas-Rhin (ADBR) sous la cote 2083 W 1990:
Il était étudiant en chimie
Incorporé de force au Reichsarbeitsdienst, RAD ou service du travail, du 14 octobre 1941 au 23 février 1942, arrêté par les Allemands le 26 novembre 1942 à proximité de Metz (Moselle) pour tentative de franchissement illégal de la frontière, interné à Metz, transféré à Strasbourg, jugé par un tribunal militaire le 24 décembre 1942 à Strasbourg, condamné à une peine de trois années de prison, libéré pour être incorporé de force dans la Wehrmacht, affecté sur le front de l’Est à la fin de l’année 1944, évadé le 15 janvier 1945, fait prisonnier par l’armée russe, interné dans un camp de prisonniers à Zanow (Sianów – Pologne) et porté disparu. Né le 12 février 1922 à Sarreguemines (Moselle).
Vous pouvez me joindre via mon adresse mail pour plus de précisions
Bien à vous
Eric Le Normand