Mon père MEYER Marcel, né en 1923, a eu un parcours assez atypique : RAD, armée allemande, d’abord en Croatie, puis en Tunisie avec l’Afrikakorps où il s’est évadé.
Les Anglais l’ont remis aux Américains. Après deux ans aux Etats-Unis, il s’est rengagé dans l’armée française et affecté à Oran jusqu’à la Libération.
Les Anglais l’ont remis aux Américains. Après deux ans aux Etats-Unis, il s’est rengagé dans l’armée française et affecté à Oran jusqu’à la Libération.
Daniel Meyer
Témoignage paru dans le bulletin communal de Kembs en 2011 : Marcel Meyer