FERRENBACH Charles Cyriac

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 Je fais des recherches sur mon oncle FERRENBACH Charles Cyriac, incor­poré de force.
Il est né le 7.8.1923 à Altorf (germa­nisé Altdorf).
Il est tombé le 19 mars 1944 à Bala­ba­nowka/Russie, à 15 km au sud de Niko­lajew.
Il effec­tue le Reich­sar­beits­dienst du 16.4.1942 au 25.9.1942, avec pres­ta­tion de serment le 5.5.1942.
Le 16.10.1942, il est incor­poré dans la Stamm-Kompa­nie de l’Infan­te­rie-Ersatz-Bataillon 385 à Böhm. Leipa.

De « Volks­deut­scher Elsäs­ser« , il devient  » deut­scher Staat­san­gehö­ri­ger« .

Lors de l’ins­truc­tion, il a été formé à l’usage de la MG34, mais aussi sur les notions d’es­pion­nage et de trahi­son : « Belehrt über Spio­na­geab­wehr und Landes­ver­rat » le 20.10.1942.

Il a prêté serment le 22.10.1942.

Au moment de son décès, il faisait partie de la 370e Infan­te­rie-Divi­sion et du  51e Grena­dier-Regi­ment 666.

Il avait le grade de capo­ral.

Dans sa lettre du 18.4.1944, le chef de compa­gnie (FPN 30 760B) annonce aux parents son décès, préci­sant qu’il a été inhumé, le 20.3 le long de la rue prin­ci­pale du village de Bogojaw­lensk, à 10 km au sud de Niko­lajew.

Il est « mort pour la France ».

Je n’ai malheu­reu­se­ment pas plus d’in­for­ma­tion.

Merci pour tout rensei­gne­ment complé­men­taire, notam­ment sur son lieu de sépul­ture.

Gilles Klein – klein­gil­les67@g­mail.com

Gefal­len : I.G. Genick = Infan­te­rie Geschoss ins Genick



 

 

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La Résis­tance alsa­cienne et les commé­mo­ra­tions de la libé­ra­tion de Stras­bourg. Une lettre ouverte de Pierre Peltre,...

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LES MORTS DE KIRCHBERG ET WEGSCHEID ou le Monu­ment aux Morts sans noms

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Article paru dans « L’Al­sace » du 12.12.2024 trans­mis par Bernard Gebel.

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HEBTING Pierre

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Je souhaite retra­cer le parcours de mon grand-père, Pierre Hebting, né à Froes­ch­willer le 30 juin 1922.

Après le Reich­sar­beits­dienst, il intègre la NSKK, puis est incor­poré dans la Waffen-SS.

Il survit au camp de Tambov où il a été prison­nier.

A son retour en Alsace en 1945, il est interné pendant trois mois au Stru­thof. Il aurait été signalé aux Améri­cains comme SS par une voisine. Dans une lettre du 21.9.1945, il demande à sa mère de lui envoyer un colis de nour­ri­ture pour 4 semaines.

Je remer­cie toute personne qui pourra m’ai­der à progres­ser dans mes recherches.

Yannick Baltz – hibou.77@o­range.fr

 

En uniforme de la NSKK.

Hornum Sylt 15/03/1944

 

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BUHLER Armand

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Je fais des recherches sur le parcours de mon aïeul Armand Buhler.

Il n’a pas reparu à son domi­cile depuis le 10.9.1944.

Ses dernières nouvelles datent du 28.10.1944 en prove­nance de Berlin.

Sa FPN indique qu’il faisait partie du Fall­schirm-Ersatz-u.-Ausbil­dungs-Regi­ment « Hermann Göring« .

Il a été déclaré « mort pour la France ».

Merci pour tout complé­ment d’in­for­ma­tion.

Natha­lie Pirozzi – pirozzi.natha­lie@­neuf.fr

 

 


  • COMPLEMENTS TRANSMIS PAR CLAUDE HEROLD

Armand Buhler n’est pas réper­to­rié au VDK. Fiche du DRK :

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GRUBER Jacques François

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Je fais des recherches sur le parcours de mon grand-père mater­nel GRUBER Jacques François, né le 2 juin 1909 à Uberach où il rési­dait ; il y est décédé en 1968. Son acte de nais­sance précise qu’il a fait établir un testa­ment en date du 13.03.1944 à Hague­nau devant le notaire Wagner. Ceci me permet de suppo­ser qu’il a été incor­poré au début de l’an­née 44. De ce que je sais, il aurait été incor­poré dans la Waffen-SS sans plus de détail, ce qui fut aussi le cas de nombreux Alsa­ciens de sa géné­ra­tion.
Je n’ai pas de rensei­gne­ments concer­nant sa date de rentrée.
Je remer­cie d’avance toute personne pouvant m’orien­ter dans mes recherches.
Chris­tophe HECKEL – chris­tophe.heckel@sfr.fr

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En atten­dant le Story­rol­lup d’Al­sace : « La Cigogne n’a qu’une tête ». Rési­dence d’au­teur à l’EREA Henri Ebel : Igor...

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 EREA Henri EBEL d’Ill­kirch-Graf­fens­ta­den : « La Cigogne n’a qu’une tête ». Rési­dence d’au­teur : Igor Futte­rer. Enre­gis­tre­ment du vendredi 22 novembre 2024 : https://www.youtube.com/watch?v=rDCzbmMA07c 

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Les frères Jacques et René KNECHT

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A propos des sources, on notera que le vécu de Jacques et René Knecht avait déjà été publié sur www.malgre-nous.eu et dans N. Mengus, A. Hugel, Malgré nous ! Les Alsa­ciens et les Mosel­lans dans l’en­fer de l’in­cor­po­ra­tion de force paru en 2010.

Article paru dans « L’ami hebdo » du 8.12.24.

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GISSINGER Albert – Dossier composé par Claude Herold

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GISSINGER Albert René

Né le 15.11.1922 à Rixheim.

Fils de Joseph Gissin­ger et de Margue­rite Heymann.

Domi­ci­lié à Mulhouse.

Céli­ba­taire.

Etudiant.

RAD du 6.10.1942 au 30.12.1942.

Incor­poré sous la contrainte le 16.1.1943.

3 R. Gr. Blt. 323 St. Kp. GEB – 323.818

Grena­dier-Ersatz-Bataillon 323 Pots­dam.

Dernière adresse : FPN 44362D

Dernière lettre : 10.9.1943.

Dernière unité : Ersatz-Bataillon 323 Sarny (Volhy­nie).

Grade : capo­ral.

Disparu lors de combats le 12.9.1943 dans la région d’An­to­nowka, près de Rafa­lowka, sur la ligne de chemin de fer Kowel-Sarny (Volhy­nie). En septembre 1943, son commando est logé chez un curé à Anto­nowka. Le 12 septembre, le commando, à bord de deux camions, prend la route pour Kapre­vicze/Capre­wicze, éloi­gné d’une dizaine de kilo­mètres, pour se rendre à une fête orga­ni­sée par la muni­ci­pa­lité de Kapre­vicze. Attaqués par des parti­sans, Gissin­ger et son cama­rade alsa­cien Maurice Peter, né à Pfas­tatt le 1.10.1924, se seraient rendus ou auraient été captu­rés. On perd leur trace, ainsi que celle d’une dizaine d’autres prison­niers, à partir de là.

« Après l’at­taque les habi­tants auraient vu passer une quin­zaine d’hommes captu­rés, parmi lesquels il y aurait eu deux capo­raux. Comme les deux Français étaient les seuls capo­raux en mission ce jour-là, il y a lieu d’ad­mettre qu’ils étaient parmi les prison­niers. Comme ils ont sans doute pu s’iden­ti­fier comme français, il est possible qu’ils soient encore dans la région ou dans un camp. Les susdits rensei­gne­ments m’ont été trans­mis par des cama­rades char­gés de recher­cher l’équipe qui n’était pas reve­nue et d’in­ter­ro­ger les habi­tants d’An­to­nowka et de Kapre­wicze, qui tous présen­taient d’avoir vu deux capo­raux parmi les prison­niers. De plus, on a trouvé un objet appar­te­nant à mon fils à l’en­droit où ils auraient passé » (lettre de la mère, 27.11.1946).

Déclare « porté disparu » (lettre à la mère datée du 21.9.1943).

Déporté mili­taire.

Mort pour la France.

Maurice Peter était, à Sarny, en rela­tion avec la famille du docteur Sako­witz, domi­ci­liée Dolgas­trasse 6.

 

 

 

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1944–2024 : Libé­ra­tion et commé­mo­ra­tions. Articles parus dans « L’Ami hebdo » du 1.12.2024

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