Déportés militaires & « Malgré-Nous »

Agri­cul­teur (* 1.03.1914). Marié à Augusta Adam.

Il sert dans l’Ar­mée française en tant qu’ar­tilleur maître-poin­teur.
Il est fait prison­nier le 28.05.1940 au Stalag IV B n°37918.

Il habite Hutten­heim au moment de son incor­po­ra­tion de force.
Il est versé dans la Ausbil­dung Kompa­gnie à Leba le 25.11.1943.
Il est engagé en Norvège, dans la Krieg­sma­rine à Leba.
Il est incor­poré dans la Hafen­schutz­flo­tille à Tromsö le 4.06.1944.
Il est muté dans la Vorpos­ten­flo­tille à Hammer­fest le 1.04.1945.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Albert Adam, fils de Joseph Adam, d’après le jour­nal de campagne tenu par son père.

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Ferblan­tier (* 24.04.1923). Marié à Renée Reibel.

Il habite Hutten­heim lorsqu’il est incor­poré de force le 23.03.1943, jusqu’au 8.01.1945.

Il est engagé dans les Balkan, puis en Italie où il sera fait prison­nier.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Renée Reibel, l’épouse de René Reibel.

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(* Mulhouse, Haut-Rhin, 1.11.1924 + 16.12.1976). Marié à Hilda Schaef­fer (* 4.06.1926 + 18.12.2001); 6 enfants : Béatrice (* 29.01.1950 + 16.05.2006), Sonia (* 6.05.1953), Monique (* 26.08.1954), Claude (* 11.12.1957), Gilbert (* 9.02.1959) et Michèle (* 12.09.1963).

Eugène Guth habite Mulhouse au moment de son incor­po­ra­tion de force.

 Le 17.01.1943, il est incor­poré dans la Wehr­macht et affecté à la 2. Stamm-Kp./Gren. Ers. Btl. 337.

 Le 8.02.1943, il est muté à la 2. Kp. / Res. Gren. Btl. 337.

 Le 15.06.1943, il est dirigé sur la 2. Kp. / Marsch-Btl. « Kowel 3 ».

 Le 6.08.1943, appar­te­nant à la 2. Kp. / Marsch-Btl. III z. b. V. Inf. 190, il est muté à la 3. Kp. / Gren. Rgt. 171.

 Le 15.08.1943, il est blessé au nord de Dupelno par balle de fusil à l’épaule gauche et évacué sur le poste de secours.

 Le 19.08.1943, il est hospi­ta­lisé au Reserve-Laza­rett Zyrar­dow. Diagnos­tic: perfo­ra­tion de l’épaule gauche par balle de fusil.

 Le 30.08.1943, il est trans­féré (desti­na­tion non indiquée).

 Le 6.12.1943, il est muté à la Genes. Kp. / Gren. Ers. Btl. 171.

 Le 13.01.1944, il est muté à la 1. Marsch.-Kp. / Inf. Ers. Btl. 171.

 Le 9.02.1944, il est muté (sans autres indi­ca­tions).

 Le 29.02.1944, appar­te­nant à la Genes. Marsch-Kp. IV / 56 / 21, il est muté à la 4. Kp. / Feld-Ers. Btl. 156.

 Le 5.04.1944, il est dirigé sur le Feld-Ers. Btl. / 299. Inf. Divi­sion.

 Le 5.07.1944, appar­te­nant au Feld-Ers. Btl. 299, il est muté à la 4. Kp. / Sturm-Btl. / 3. Panzer-Armee.

 Le 31.07.1944, il est porté disparu près de Kauen (Litua­nie). Date de retour non connue.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Sonia Guth, fille d’Eu­gène Guth (1924–1976).

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Ouvrier (Tonnel­bau) (* Stotz­heim, Bas-Rhin, 5.01.1923).

Le 31.03.1942, il est condamné par le tribu­nal spécial de Fribourg Br. pour atteinte au moral de l’ar­mée (juge­ment et extrait du fichier central d’Arol­sen).

Il est trans­féré à sa sortie de prison disci­pli­naire de Rotten­burg avec avis d’ap­pel du bureau de recru­te­ment de Tübin­gen (Alle­magne).

Le 27.07.1943, il est incor­poré dans la Stamm. K. M. G. Ers. Btl. 4.
Le 8.08.1943, il est versé dans la 1. schw. Granat­wer­fer Ers. Ausb. Btl. 5.
Le 22.02.1944, il est incor­poré dans 2. Komp. Sicher. Btl. 636 (F.Nr1860c)

Il dispa­raît le 27.07.1944 au Feld­post 18260c.
D’après son comman­dant d’unité, Albert serait avec certi­tude prison­nier de l’Ar­mée russe et emmené sur un char le 27.07.1944.

Pays d’en­ga­ge­ment: Lettland / Rezkne (Est Rosit­ten).

Rensei­gne­ments commu­niqués par Martin Bohn, frère d’Al­bert Bohn.

Fiche du Volks­bund aima­ble­ment commu­niquée par Claude Herold :

 Nach­name: Bohn

 Vorname: Albert

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 05.01.1923

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 26.07.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort: Rosit­ten (Rezkene)

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 26.07.1944 vermißt.

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Ouvrier d’usine (bros­se­rie) (* Ober­nai, Bas-Rhin, 24.12.1922).

Il effec­tue le RAD à Renchen (Bade) du 2.12.1941 au 20.02.1942.

Il habite Ober­nai lorsqu’il est incor­poré de force dans la Wehr­macht.
Il est versé, en 1942/43, dans la Geb. Jäger Ausb. K. à Inns­bruck, Sando­mir.
En 1944, il est incor­poré dans la 1. Geb. Jäg. Regt. 141 (F. Nr 26789-B).

Il est tué le 6.09.1944 dans la région de Park­kina près de Petsamo.

Pays d’en­ga­ge­ment: Finlande / Eismeer­front.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Martin Bohn, beau-frère de Gérard Deren­din­ger.

* Fiche du Volks­bund aima­ble­ment commu­niquée par Claude Herold :

 Nach­name: Deren­din­ger

 Vorname: Gerhard

 Dienst­grad: Gefrei­ter

 Geburts­da­tum: 24.12.1922

 Geburt­sort: Oberehn­heim

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 06.09.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort: Allgäuer Höhe im Raum Park­kina

Gerhard Deren­din­ger ruht auf der vom Volks­bund herge­rich­te­ten Krieg­sgrä­berstätte in Petschenga-Park­kina (Rußland). (Photo Volks­bund)

 Lien vers Memo­rial Genweb trans­mis par Gérard Schutz : http://www.memo­rial-genweb.org/~memo­rial2/html/fr/result­com­mune.php?pays=France&idsource=6224&insee=67348&dpt=67&table=bp01

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Rece­veur des PTT à Saint-Amarin (* Wingen-sur-Moder, Bas-Rhin, 21.04.1908). Marié à Marie-Mathilde Seitz; 3 enfants, Roland, Monique et Marthe.

Il habite Saint-Amarin (Haut-Rhin) au moment de son incor­po­ra­tion de force dans la Wehr­macht le 18.10.1944. Il est affecté à la Rekr. Kp. / Flie­ger-Ers. Btl. VII.

Pays d’en­ga­ge­ment: Alle­magne.

Le 5.10.1945, il est captif au camp de Kischi­new (Bessa­ra­bie).

Il meurt dans le train, pendant son rapa­trie­ment, le 5.10.1945 à Orkzeza (Pologne), par suite de priva­tions.

Son frère Jean-Pierre, incor­poré de force proba­ble­ment en 1943, est porté disparu.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Monique Rigal, née Gelly, la fille de Robert Gelly.

* Lien vers Memo­rial GenWeb trans­mis par Gérard Schutz : http://www.memo­rial-genweb.org/~memo­rial2/html/fr/result­com­mune.php?pays=France&idsource=48390&insee=68292&dpt=68&table=bp07

* NB : Jean-Pierre Gelly n’est pas réper­to­rié sur Memo­rial GenWeb.

* Préci­sion de Patrick Kautz­mann : R. Gelly faisait partie de la Luft­waffe, plus exac­te­ment du Flie­ge­rer­satz­ba­taillon 7 (Boden­per­son­nal). La ques­tion qui se pose est : où a-t-il été fait prison­nier pour arri­ver à Kischi­nev?
Car cela veut dire que dans les camps de Kischi­nev des prison­niers furent ache­mi­nés d’ailleurs.

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Antoine Berring (* Flex­bourg, Bas-Rhin, 28.11.1924) habite Flex­bourg au moment de son incor­po­ra­tion de force dans l’Ar­mée alle­mande. Il est décédé le 22.10.1944 à Toul.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Auguste Bendele, parent éloi­gné d’An­toine Berring.

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