BERST Théo

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theo-berst.jpgJe recherche un parent disparu ou perdu de vue depuis la guerre 1943–1945. Il s’agit de Théo
BERST
, né le 8/1/1920 à Ingen­heim, Bas-Rhin. Je souhaite le loca­li­ser et savoir s’il se trouve
inhumé en Pologne. Sa dernière adresse était à Szcze­cin.

Madame Juliette VAQUIER

Adresse élec­tro­nique : juliette.vaquier@­neuf.fr

Claude Herold nous a aima­ble­ment commu­niqué les données recueillies par le Volks­bund :

 Nach­name: Berst

 Vorname: Theo­dor

 Dienst­grad: Grena­dier

 Geburts­da­tum: 08.01.1920

 Geburt­sort: Ingen­heim

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 11.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort: Tambow

Theo­dor Berst wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt oder konnte im Rahmen unse­rer Umbet­tungs­ar­bei­ten nicht gebor­gen werden. Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Tambow – Rußlan

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FLUCK André

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Je cherche à obte­nir des rensei­gne­ments sur mon grand père André FLUCK, de Natz­willer (Bas-Rhin), incor­poré de force en 1944 dans les Waffen-SS. Celui-ci a disparu en janvier 1945, soit-disant du côté de Ibbs, en Autriche (infor­ma­tion de la Croix-Rouge en 1980). Son décès a été offi­ciel­le­ment déclaré en 1952. Il est versé fin 1944 de la Luft­waffe à la SS-Panzer-Divi­sion “Wiking”.

Ses dernières lettres prove­nant de Pologne – il disait qu’il avait été blessé et devait rejoindre l’ar­rière – ne coïn­cident pas tout à fait avec la version offi­cielle. Je souhai­te­rais recons­ti­tuer l’iti­né­raire de la « Wiking » en 1944–1945 et éven­tuel­le­ment trou­ver des témoi­gnages de survi­vants de cette unité, tout au moins des adresses de sites où cher­cher de telles
infor­ma­tions.

Michel WALKER

Adresse élec­tro­nique : michel.walker@­te­le2.fr

 

 


 

 


Claude Herold nous a aima­ble­ment commu­niqué les données collec­tées par le Volks­bund :

Nach­name: Fluck

Vorname: Andreas

Dienst­grad:

Geburts­da­tum: 21.11.1912

Geburt­sort: Natz­wei­ler

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 02.1945 – 03.1945

Todes-/Vermiss­te­nort: Laza­rett Götzen­dorf, Bez. Bruck a.d.Leitha/NÖ

Andreas Fluck ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Götzen­dorf (Öster­reich).
Endgra­blage: Reihe 7 Grab 95.

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BICKEL Georges

Commentaire (0) Les incorporés de force face à leur destin

Georges Bickel est né en 1924. Après le RAD, il est versé le 23 mars 1943 dans une unité de DCA. Le 5 août, il est affecté à Anvers (Belgique). Son unité est char­gée de la défense du port. En février 1944, il est muté à Gaille­fon­taine (Seine-Mari­time) où il sert d’in­ter­prète. Sa tenta­tive de déser­tion est un échec, car sa Compa­gnie fait mouve­ment pour rejoindre l’île de Walche­ren, au Nord-Ouest de Bruges, puis Rotter­dam. C’est lors de leur dépla­ce­ment vers Berlin qu’est signé l’ar­mis­tice.

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SCHWARTZ Henri

Commentaire (0) Ce qu'il pouvait en coûter de ne pas se soumettre à l'ordre nazi

Farou­che­ment opposé aux idées hitlé­riennes, Henri Schwartz est arrêté en 1942 et incar­céré à la prison de Sarre­gue­mines, puis à Zwei­brü­cken (Deux-Ponts), pendant que sa femme et sa nièce sont expul­sées de leur loge­ment. Libéré en 1944, il rejoint sa famille à Weyer.

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SCHNEIDER Robert

Commentaire (0) Ce qu'il pouvait en coûter de ne pas se soumettre à l'ordre nazi

Pour son soutien à la Résis­tance, Robert Schnei­der est arrêté par la Gestapo en janvier 1944. Il est interné au Fort Queu­leu à Metz, avant d’être trans­féré aux camps du Stru­thof, de From­men, puis à Schön­berg.

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PABST Charles

Commentaire (0) Ce qu'il pouvait en coûter de ne pas se soumettre à l'ordre nazi

Le chanoine Charles Pabst est arrêté en mai 1943 pour avoir tenu des propos anti­na­zis et dit la messe en français. Ces crimes lui valent d’être « rééduqué » au camp de Schir­meck, puis à Gagge­nau-Haslach. Il décrit la dure réalité de ces camps.

 

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LANTZ (famille)

Commentaire (0) Ce qu'il pouvait en coûter de ne pas se soumettre à l'ordre nazi

Les membres de la famille Lantz, ayant refusé d’ap­par­te­nir aux orga­ni­sa­tions natio­nales-socia­listes, ont été dépor­tés dans des camps disci­pli­naires. Les témoi­gnages de Jacques Lantz et de deux de ses fils, Jacques et Joseph, décrivent leurs condi­tions de vies.

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HALLER Joseph

Commentaire (0) Ce qu'il pouvait en coûter de ne pas se soumettre à l'ordre nazi

D.R.Joseph Haller[[Le parcours de Joseph Haller est simple­ment retracé ici, car il a déjà fait l’objet de plusieurs publi­ca­tions dont R. Epp, L’en­fer sur terre: prêtres et reli­gieux d’Al­sace inter­nés et dépor­tés par les nazis (1940–1945), Stras­bourg, 2000, p. 119–124 ou dans L’Ami hebdo Lorraine du 20.2.2005. La docu­men­ta­tion nous a été aima­ble­ment four­nie par M. Jacky Berg­doll, de Bitche.]] est né à Schro­bach (Moselle), le 22 août 1909. En tant que membre de la Congré­ga­tion des Rédemp­to­ristes (il a été ordonné prêtre à Luxem­bourg en 1934), il est admi­nis­tra­teur des paroisses des Hambach et de Kerprich-les-Dieuze (ancien nom de Val-de-Bride, avant la fusion de la commune avec celle de Guénes­troff en 1973), en Moselle, entre 1940 et 1943.

Joseph Haller appar­te­nait alors à une filière de passeurs. Ce réseau four­nis­sait de faux papiers aux prison­niers de guerre français candi­dats à l’éva­sion ou aux réfrac­taires à l’in­cor­po­ra­tion de force, puis il les faisait passer la fron­tière alle­mande à pied, par Moyen­vic (alors tout proche de la fron­tière), ou par le train de Dieuze jusqu’à Nancy. Joseph Haller avait donné à un de ces jeunes une lettre desti­née à son frère qui rési­dait alors à Bordeaux. Le jeune a été capturé et Joseph Haller a été arrêté dans son pres­by­tère de Kerprich-lès- Dieuze, le 27 décembre 1943.

Du Fort de Queu­leu au camp de Dachau

Accusé d’ai­der à s’éva­der des prison­niers de guerre français et des Alsa­ciens-Mosel­lans réfrac­taires à l’in­cor­po­ra­tion de force ou déjà enrô­lés dans l’Ar­mée alle­mande, il est incar­céré dans au Fort de Queu­leu, à Metz.

A peine arrivé, ses yeux sont bandés. On lui défend de l’ôter sous peine de mort. Il est ensuite conduit dans une salle où se trouvent d’autres déte­nus. Il est assis sur un tabou­ret, les mains liées. Ayant réussi à faire légè­re­ment glis­ser son bandeau, il constate qu’il se trouve parmi d’autres déte­nus. Eux aussi ont les yeux bandés et les mains liées. C’est d’ailleurs ainsi que les prison­niers font leurs besoins natu­rels, à heures fixes, dans un seau placé derrière un paravent. La salle, bien éclai­rée, est sous la surveillance d’un jeune gardien armé d’un fusil. Malheur à celui qui s’en­dort : il est aussi­tôt réveillé par des coups de crosses sur la tête. La nour­ri­ture est maigre. Les prison­niers ont le droit de s’al­lon­ger, sur le dos et toujours ligo­tés, entre 20 heures et 5 heures le lende­main.

Joseph Haller est ensuite trans­féré dans la prison de la rue du Fil, à Stras­bourg, en wagon cellu­laire. Il est stupé­fait lorsqu’un des gardes SS ouvre la porte et lui tend un casse-croûte en lui disant « Vous êtres prêtre » et en lui souhai­tant « bonne chance ». Après quelques jours à Stras­bourg, il est trans­féré, en tant que NN (“Nacht und Nebel ”, « Nuit et Brouillard ») au camp de concen­tra­tion du Stru­thof, à Natz­willer. Il y arrive le 19 janvier 1944. Il est le deuxième prêtre, après André Bidaux, à être enfermé dans ce camp. Il préfère cepen­dant se faire passer pour un ensei­gnant.

Le 2 mars 1944, Joseph Haller arrive au camp de Dachau. Il y assiste, le 17 décembre 1944, à l’or­di­na­tion clan­des­tine de Karl Leis­ner par Monsei­gneur Piguet[[Voir, à ce sujet, Josefa Maria Imma Mack, Un ange à
Dachau – Pourquoi j’aime les azalées. Souve­nirs du
camp de concen­tra­tion de Dachau de mai 1944 à avril
1945, Paris, 2005.]]. Il reste à Dachau jusqu’à la libé­ra­tion de ce camp par les Améri­cains, le 29 avril 1944. Joseph Haller est fait cheva­lier de la Légion d’hon­neur en 1972. Il décède le 19 octobre 2003, à l’âge de 94 ans, au couvent du Bischen­berg, à Bischoff­sheim (Bas-Rhin), dont il avait été le recteur de 1953 à 1956 et de 1970 à 1973.

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URSCH Charles

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UN POLICIER AUXILIAIRE DISPARAÎT

Témoi­gnage émou­vant d’une fille de Malgré-Nous dont le père a disparu en 1943, sous l’uni­forme alle­mand, dans le sud de l’Au­triche.

 

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THUET Jean

Commentaire (0) Les incorporés de force face à leur destin

Après avoir effec­tué son RAD, Jean Thuet est enrôlé de force dans la Wehr­macht et envoyé sur le front Est. Il déserte le 3 octobre 1943 au petit matin. Fait prison­nier par les Russes, cela lui a valu d’avoir une très longue expé­rience visuelle de l’évo­lu­tion du camp de Tambow.

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