SCHERRER Albert

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SCHERRER_Albert.jpgNous sommes à la recherche de rensei­gne­ments sur notre père et oncle, Scher­rer Albert, né à Lich­ten­berg (Bas-Rhin) le 12 avril 1917.Incor­poré de force en 1944, il est porté disparu en Pologne. Sa photo est dans le Recueil photo­gra­phique des dispa­rus du Bas-Rhin 2, p.126, n° 4846. Dernière adresse connue : SP 33597.

 D’après sa fiche WAST, il a été enrôlé le 05.08.1944
– Matri­cule 6449 / Stm. Kp. Pi. Btl. 24

 Grade : Pionier

 Troupe : Stamm-Kompa­nie/ Pionier-Ersatz-Bataillon 24.

 Dernière affec­ta­tion et dernière nouvelle connus : Décembre 1945 – 3e compa­gnie du Pionier-Ersatz-Bataillon 24.

 Aucun rensei­gne­ment sur sa dispa­ri­tion, capti­vité ou décès.

Nous sommes toujours la recherche de témoi­gnages de cama­rades ayant connu le pion­nier Scher­rer Albert ou des dernières opéra­tions de cette 3.
Kompa­nie/Pionier-Ersatz-Bataillon 24.

Merci pour toute aide.

Roland Scher­rer et Roger Jund

 Cour­riel : rjund@­free.fr

* Fiche du Volks­bund et rensei­gne­ments trans­mis par Claude Herold :

 Nach­name: Scher­rer

 Vorname: Albert

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 12.04.1917

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.01.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort: Polen

 Le Pionier-Ersatz-Bataillon 24 a été créé le 26.8.1939 à Riesa. Le 15.9.1942, il est divisé en Pionier-Ersatz– et Reserve-Pionier-Bataillon 24; l’Ersatz-Bataillon reste stationné à Riesa.

 La Feld­post­num­mer 33597 sous la photo du recueil corres­pond à la 3e compa­gnie du Pionier-Bataillon 750. Vers la fin de la guerre, ce bataillon a combattu avec la 2e Armée à Narew et en Prusse orien­tale.

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KIRTZ François

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Je suis à la recherche de rensei­gne­ments concer­nant de mon oncle François Kirtz, origi­naire de Rouf­fach (Bas-Rhin). Il se trou­vait sur le front russe. Il aurait pu avoir eu de sérieux soucis de santé d’après le peu de rensei­gne­ments qu’a­vait pu avoir ma grand-mère aujourd’­hui décé­dée.

Merci par avance pour des éven­tuels indices qui pour­raient apai­ser un peu
le coeur de mon père René Kirtz, âgé de 86 ans aujourd’­hui et lui-même incor­poré de force lors du conflit 39/45.

Fran­cis Kirtz

 Cour­riel : renee.fran­cis@o­range.fr

* Fiche du Volks­bund trans­mise par Claude Herold :

 Nach­name: Kirtz

 Vorname: Franz

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 26.08.1923

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.05.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort: Radom / Zwolen

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BALTES Marcel et Guillaume

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Je fais des recherches sur Marcel Baltès, né le 17.11.1925 à Schoe­neck (Moselle). Il est porté disparu à Lublin en 1945. J’ai pu trou­ver qu’il y avait un camp à cet endroit et je cherche à savoir s’il y était en tant que prison­nier ou en tant que soldat, car il faisait partie de la Wehr­macht. Le Volks­bund nous a informé qu’il repose au cime­tière de Koenig­sberg / Kali­nin­grad. Il est enterré avec tout son régi­ment et a très certai­ne­ment été abattu lors de la grande bataille de Koenig­sberg contre l’Ar­mée rouge.

Son frère, Guillaume, a égale­ment été incor­poré de force. Il est tombé au front en 1943 en Hollande ; sa dépouille a été rapa­triée par la famille.

Merci pour toute aide,

Jona­than Krasna

 Cour­riel : thedu­ck0046@msn.com

– Fiche du Volks­bund trans­mise par Claude Herold :

 Nach­name: Baltes

 Vorname: Marcel

 Dienst­grad: Gefrei­ter

 Geburts­da­tum: 17.11.1925

 Geburt­sort: Schö­ne­cken

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 08.04.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort: b. Watzum

 Marcel Baltes ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Russ­koe – Sammel­fried­hof (Rußland). Endgra­blage: Block 1 Grab 2.

BALTES_Marcel.jpg

Ci-dessous : Deux portraits de Marcel Baltès

Baltes_Marcel_1.jpgBaltes_Marcel_2.jpg

 Claude Herold nous informe (28.4.2012) que le nom de Marcel Baltès est à présent inscrit sur un tableau nomi­na­tif au cime­tière de Russ­koe et repose au Block 1, Reihe 10, Grab 109.

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REGNERY Jean

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Mon oncle Jean Regnery, né le 20.10.1920 à Dude­lange (Luxem­bourg) a été enrôlé vers 1942 par les Alle­mands. Il est décédé le 25.06.1945 à Kirsa­nov. Nous étions au mois de mai 2010 avec une délé­ga­tion de Luxem­bour­geois à Tambov, Kirsa­nov et avons vu aussi les tombes de vos soldats morts aux camps et avons eu une pensée pour eux. Nous étions accom­pa­gnés par un survi­vant, M. Jos Stei­chen.

Je recherche des infor­ma­tions supplé­men­taires concer­nant les enrôles luxem­bour­geois.

Je vous serais très recon­nais­sante pour toute aide.

Emilie Urbani

 Cour­riel : urba­nie­mi­lie@o­range.fr

* Fiche du Volks­bund trans­mise par Claude Herold :

 Nach­name: Rengeri

 Vorname: Shan

 Dienst­grad: Soldat

 Geburts­da­tum: 1920

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 25.06.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort: I.d.Kgf.in Tambow

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BLASIUS Louis

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J’ai­me­rais savoir dans quelles condi­tions a été déporté mon père BLASIUS Louis dans un camp de travail à Munich ; je ne pense pas qu’il était un Malgré-Nous, mais il ne m’a jamais raconté ce qu’il s’était passé. Il est resté 5 ans en dépor­ta­tion. Il vivait à Laxou (Nancy, dépar­te­ment 54) et il mort il y a 12 ans ; ma mère est égale­ment décédé. Fils unique, je n’ai aucune autre infor­ma­tion le concer­nant.

Merci pour toute aide

 Cour­riel : mo.coune@o­range.fr

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PONSING Albert

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Je recherche des témoi­gnages de cama­rades ayant connu mon père Albert
PONSING
de Knutange (Moselle), qui a été incor­poré de force et affecté dans
une unité qui a combattu sur le front Russe, son régi­ment était le 322–5, d’après une photo de lui en uniforme. Il est décédé en 1966 à l’âge de 46 ans.

Merci pour vos témoi­gnages.

Cour­riel : pongoer@o­range.fr

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WILHELM Emile Henri

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WILHELM_Emile.jpgpeintre (* Berg, Bas-Rhin, 7.3.1914). Il fait son service mili­taire chez les Sapeurs. Il est fait prison­nier par les Alle­mands le 23.6.1940 à Saint-Dié (Vosges) et libéré comme Alsa­cien-Lorrain le 12.7.1940. Il rési­dait à Berg au moment de son incor­po­ra­tion de force dans la Wehr­macht le 23.5.1943 : Stamm­kom­pa­nie du Grena­dier-Ersatz-Bataillon 333 à Rend­sburg. Il est muté à la 6e compa­gnie du Grena­dier-(Feldaus­bil­dung)Regi­ment 720 (31.5.1943), à la 4e compa­gnie du Grena­dier-Ersatz-und-Ausbil­dung-Bataillon 29 (5.5.1943) et à la 6e compa­gnie du Siche­rungs-Regi­ment 601 (15.8.1943).

Il est porté disparu à la fin du mois de juillet dans le secteur de Kaunas vers la fin du mois de juillet 1944. Capturé par les Sovié­tiques, il est prison­nier à Tambov (28.7.1944–6.11.1945), aligné le 27.11.1945. Il est rapa­trié via le centre de Stras­bourg.

Rensei­gne­ments trans­mis par sa petite-fille, Alexan­dra Beyer.

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UHRICH Joseph

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UHRICH_Joseph.jpgboulan­ger (* Knutange, Moselle, 30.7.1917). Entré au service à comp­ter du 15.10.1938 au 4e régi­ment de Zouaves. Fait prison­nier par les Alle­mands le 18.6.1940, il est libéré comme alsa­cien-lorrain et démo­bi­lisé le 14.11.1940. Il habi­tait à Stras­bourg au moment de son incor­po­ra­tion de force dans la Wehr­macht le 18.4.1943 : Stamm­kom­pa­nie du Panzer-Grena­dier -Ersatz-Bataillon 50.
Il est muté à la Stamm­kom­pa­nie du Grena­dier-Ersatz- und Ausbil­dung Bataillon 29 (21.4.1943), puis à la 4e compa­gnie de cette même unité (5.5.1943), au Reserve-Grena­dier-Regi­ment 16 Rheine (30.9.1943) et à la 8e compa­gnie du Grena­dier-Regi­ment 156 (venant du Felder­satz-Bataillon 66) (1.12.1943).
Fait prison­nier par les Sovié­tiques le 10.1.1944, il est trans­féré à Tambov. Il a la chance de faire partie des « 1500 » libé­rés le 7.7.1944. Engagé volon­taire dans l’ar­mée française le 30.7.1944 (102e compa­gnie), puis rapa­trié en Afrique du Nord et affecté au Grou­pe­ment des Français rapa­triés de Russie à Maison Carrée (1.9.1944). Il est démo­bi­lisé le 26.7.1945 par le centre d’Avi­gnon (photo).

Infor­ma­tions trans­mises par sa petite-fille, Alexan­dra Beyer.

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BONNET René (BONNERT Rena­tus)

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BONNET_Rene.jpgJe cherche à connaître l’en­droit où repose mon frère René Charles Bonnet, né le 30.5.1924 à Otters­thal (Bas-Rhin) et résident à Mons­willer, incor­poré de force et disparu le 16.2.1945 (ou vers le 8.2.1945 selon un autre docu­ment) près du village d’An­garr ou Augarr près de Land­sberg (Prusse orien­tale, Bran­den­bourg) ; il n’a pas reparu à son domi­cile depuis le 15.4.1944.

Sa dernière adresse connue est « Gefrei­ter Bonnert Rena­tus / Infan­te­rie Geschütz Kompa­nie / Infan­te­rie Regi­ment 1073 / Divi­sion 541 / FPN 29642B« .

Bonnet_Rene_WAST.jpg

Henrich Stof­fels, de Düssel­dorf-Reisholz, le 13.10.1952, croit avoir vu René Bonnet pour la dernière fois dans le secteur de Rozan (Pologne) en janvier 1945.

Témoi­gnage de Hell­mut Schu­ma­cher, de Lübeck, le 17.7.1949 : « J’étais avec votre fils dans le 2e groupe de la 2e compa­gnie du régi­ment d’In­fan­te­rie n°1073 (…). Après une retraite diffi­cile, nous avons pris posi­tion au village de Augarr, près de Land­sberg (Prusse orien­tale). Il y avait là d’an­ciens fossés ( Lauf­grä­ben ) que notre compa­gnie, forte de 36 hommes, devait défendre. Lors de ces durs combats, votre fils a été griè­ve­ment blessé à la tête le 16.2.45. Malgré le bandage que lui a immé­dia­te­ment mis un sous-offi­cier infir­mier (« Sanitäts-Uffz. »), votre fils est mort dans l’heure qui a suivi. Nous n’avons pas pu penser à enter­rer votre fils, car nous été contraints de dû quit­ter la posi­tion peu après et sommes tombés aux mains des Russes. Nous n’étions plus que 6 hommes de la compa­gnie… ». Il ajoute dans une seconde lettre du 4.8.49 que René Bonnet et lui étaient côte à côte dans ces fossés profonds d’en­vi­ron 80 cm. « Devant nous s’étaient postés des tireurs d’élite enne­mis qui faisaient feu au moindre mouve­ment. Il avait été dit qu’il ne fallait pas inuti­le­ment sortir la tête du fossé. J’avais souvent mis en garde votre fils de ne surtout pas le faire, mais à un instant d’inat­ten­tion et votre fils a du regardé par-dessus le rebord. Touché à la tête, il est retombé, incons­cient, dans le fossé ». Il pour­suit son récit : bandage immé­diat de la bles­sure qui se trou­vait à 2/3 cm au-dessus de l’oeil droit, tirs et charge des Russes rendant la posi­tion inte­nable. Lorsque les survi­vants ont été captu­rés, René Bonnet n’avait pas repris connais­sance et était déjà mort. H. Schu­ma­cher est persuadé que son cama­rade a eu une mort douce et surtout qu’il a échappé à bien des tour­ments s’il était tombé aux mains des Russes avec sa grave bles­sure.

René Bonnet était l’unique Alsa­cien de la compa­gnie. Il a été déclaré « Mort pour la France » en 1959.

Avec mes remer­cie­ments anti­ci­pés

 Marcel Bonnet

 12 rue du géné­ral Leclerc

 67700 Mons­willer

* Rensei­gne­ments trans­mis par Claude Herold :

 René Bonnet n’est pas réper­to­rié au Volks­bund.

 La Feld­post­num­mer 29642 B corres­pon­dait à la 13e compa­gnie du Grena­dier-Regi­ment 1074 de la 541. Volks-Grena­dier-Divi­sion.

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HASHOLD (HASSOLD) Joseph

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Je recherche des rensei­gne­ments sur l’in­cor­po­ra­tion de mon père Joseph Hassold ou Hashold. Les seuls rensei­gne­ments en ma posses­sion viennent du livret de famille : né le 5.4.1912 à Schir­rhein, marié à Hague­nau et y habi­tant au moment de son incor­po­ra­tion vers la fin de l’an­née 1944. Il est porté disparu en janvier 1945 sur le front de l’Est.

Il ne figure pas dans le « Recueil photo­gra­phique des dispa­rus du Bas-Rhin » de 1948, je n’ai pas de photo, ma mère est décé­dée sans lais­ser d’in­for­ma­tions (très grand secret sur son histoire).

Jean-Paul Hashold

 Cour­riel : jean­paul.hashold@g­mail.com

* Rensei­gne­ments de Claude Herold :

 Selon la liste des non rentrés de 1948, Joseph Hassold est né le 12.04.1912 à Schir­rheim.

 Il n’est pas réper­to­rié au Volks­bund.

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