ADAM Victor

Commentaire (0) Portraits de Malgré-Nous

jpg_AdamVictor.jpgagri­cul­teur (* La Want­ze­nau, Bas-Rhin, 24.12.1912). Marié à Berthe Bonn; un fils, René et une fille, Denise. Il habi­tait à La Want­ze­nau au moment de son incor­po­ra­tion de force dans la Wehr­macht en 1944. Il est fait prison­nier à Schon­walde (Prusse orien­tale) le 26.01.1945 et mort pour la France le même jour.

Rensei­gne­ments commu­niqués par René Adam, fils de Victor Adam.

* Fiche du DRK trans­mise par Claude Herold :

 Victor Adam wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt.

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Szczesne – Polen

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:
Adam

 Vorname:
Victor

 Geburts­da­tum:
24.12.1912

 Geburt­sort:
Want­ze­nau

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
26.01.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort:
b. Schön­walde / Ostpr.

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OTT Joseph et Antoine

Commentaire (0) Portraits de Malgré-Nous

Joseph est né en 1921 à Ohlun­gen (Bas-Rhin). Il a disparu à Orel (Russie) en juin 1944.

Antoine est né en 1922 à Ohlun­gen. Il est mort à Swerd­lowka le 9.01.1944.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Alfred Ott (* 20.05.1928), le frère de Joseph et d’An­toine.

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HEITMANN René

Commentaire (0) Portraits de Malgré-Nous

jpg_HeitmannRene.jpgtour­neur (* Hoen­heim, Bas-Rhin, 11.09.1919).
Il est mobi­lisé en tant que 2ème classe à Dijon, au Dépôt d’In­fan­te­rie n°81, le 15.04.1940. Le 15.06.1940, il est fait prison­nier à Chalons-sur-Sâone et sera libéré comme Alsa­cien-Lorrain le 29.07.1940.
Il habi­tait à Hoen­heim (Bas-Rhin) au moment de son incor­po­ra­tion de force dans la Wehr­macht (Infan­te­rie) à Heil­bronn le 25.10.1944. Il est versé dans la Stamm. Kp.-Panzer­gre­na­dier-Ers. Btl. 3 le 12.12.1944. Il part pour le front à Ebers­walde près de Berlin en janvier 1945. Il est fait prison­nier le 15.04.1945 à Kustrin (Alle­magne) par l’Ar­mée russe où il sera détenu, avant d’être trans­féré en Pologne, Ural, Sibé­rie (Russie). Il est de retour le 9.05.1946.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Bernard Heit­mann, fils de René Heit­mann.

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GOETZ Auguste et Paul

Commentaire (0) Portraits de Malgré-Nous

jpg_GoetzAuguste.jpg employé PTT (* Offen­dorf, Bas-Rhin, 10.05.1921). Il habi­tait à Offen­dorf (Bas-Rhin) au moment de son incor­po­ra­tion de force le 29.10.1943 en tant que Grena­dier à Zegrze-Nord. Il a combattu en URSS ainsi qu’en Pologne. Il est capturé près d’Alexan­drowka le 27.07.1944 et retenu à Tambow. Il est de retour le 6.10.1945.

Son frère, Paul Goetz, est mort en Pologne le 13.08.1944 à 21 ans.

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3e Compa­gnie du Grena­dier Regi­ment 58

Commentaire (0) Les incorporés de force

La liste complète des dispa­rus de la 3e Compa­gnie du Grena­dier Regi­ment 58 comprend cinq Alsa­ciens-Mosel­lans. Après véri­fi­ca­tion, il s’avère qu’ils sont encore portés dispa­rus à l’heure actuelle.

Il s’agit de :

Marck René, né et demeu­rant à Soultz-les-Bains. Recueil des dispa­rus du Bas-Rhin (RDBR) n°3360.

Stoll Alfred, né à Stras­bourg et demeu­rant à Bisch­heim. RDBR n°5411.

Strupp Robert, né et demeu­rant à Mars­pich/Moselle.

Werli Edmond, né et demeu­rant à Blien­sch­willer. RDBR n°5948.

Willig Georges, né et demeu­rant à Wolfi­sheim. RDBR n°6008.

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HESSE Marcel

Commentaire (0) Liste des avis de recherche

Mon père, Marcel Joachim HESSE, (* Barmen, Alle­magne, 26.12.1925 + Liège, Belgique, 25.1.2007), a fait partie fin 1943 du « 309
Grena­dier Ersatz Bataillon »
caserné à Berlin. Il a été grave­ment blessé en Pologne en 1944 et fait prison­nier à Hanau en 1945.

Sa langue mater­nelle étant le français, il s’est lié d’ami­tié avec de
nombreux alsa­ciens et lorrains.

jpg_Hesse-Bieber.jpgCi-contre : Marcel Hesse et Armand Bieber (à gauche). (Coll. M. Hesse)

Il citait les noms d’Armand BIEBER, Marcel LUBITZ, OURY, Robert KRUMP, et racon­tait avoir corres­pondu à l’époque avec une demoi­selle Paulette BIZEY, de Châte­nois (Bas-Rhin). Je possède quelques photos que je suis disposé à commu­niquer à toute personne légi­ti­me­ment inté­res­sée. Certaines se trouvent déjà sur mon site fami­lial (http://www.maxhesse.eu). Je souhai­te­rais égale­ment entrer en contact avec ces personnes ou leurs descen­dants pour, le cas échéant, échan­ger des infor­ma­tions ou des photos.

Merci par avance pour tout rensei­gne­ment.

Max Hesse

Cour­riel : max.hesse@s­ky­net.be

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TAMBOV ET KIRSANOV, MEMOIRE ET RECUEILLEMENT (3/3)

Commentaire (0) Revue de presse

Du 25 au 27 février 2008, une délé­ga­tion du Conseil Géné­ral du Bas-Rhin, sous la conduite du président Philippe Richert, s’est rendue à Tambov et à Kirsa­nov pour rendre hommage aux incor­po­rés de force qui ont tran­sité en ces lieux et remer­cier les auto­ri­tés russes pour leur effi­cace colla­bo­ra­tion. Cela a aussi été l’oc­ca­sion de rencon­trer deux survi­vants du camp de concen­tra­tion de Tambov-Rada et des repré­sen­tants d’as­so­cia­tions patrio­tiques qui faisaient partie de cette délé­ga­tion.

… Emile Roegel, vice-président des Anciens de Tambov

Quelle est la première image qui vous vient quand on évoque le nom de Tambov ?

Tambov est un épisode de la guerre pour l’Al­sace et la Moselle. C’est à la fois une sortie du cauche­mar – l’in­cor­po­ra­tion de force – et une entrée du cauche­mar – la capti­vité. Ce cauche­mar a eu un seul bon côté : la libé­ra­tion des « 1500 » en juillet 1944. Pour les autres prison­niers, la majo­rité, ce fut un échec, une impasse.

Pouvez-vous décrire votre arri­vée au camp ?

Je me suis évadé en août 1944 en Rouma­nie. Ayant rejoint le côté Russe, je suis arrivé, via Stalino (dans le bassin du Don), en octobre 1944 au camp de Tambov, je crois que c’était le 17 octobre. Une petite couche de neige recou­vrait le sol. Il faisait froid.
J’ai débarqué, à l’aube, le long des quais de la gare de Rada ; je ne connais­sais guère mes compa­gnons. Pendant le voyage, nous avons eu un mort. Personne ne le connais­sait. Nous savions juste qu’il était de Drulin­gen. Nous avons débarqué son corps sur le quai d’une gare et l’avons laissé là. Nous n’avons donc pas pu dire à sa famille qu’il était mort, ni à quel endroit parce que le nom de la gare était écrit en cyril­lique.
Nous avons marché pendant deux ou trois kilo­mètres à travers une forêt. Je me suis dit que ça devait être pénible comme ça de marcher à 80 ans. Nous avons atteint une grande clai­rière. Il y avait un amon­cel­le­ment de bois qui était stocké là. Le camp était presque invi­sible, car il était comme noyé dans la forêt. Je me souviens de la clôture de fils de fer barbe­lés et d’une Komman­dan­tur.
Les prison­niers qui pouvaient se dépla­cer sont venus voir les nouveaux arri­vants. Certains étaient là depuis long­temps. Parfois, ils rencon­traient un frère ou un parent parmi les nouveaux. Et ils venaient aux nouvelles. Les seules nouvelles qui nous parve­naient étaient celles diffu­sées par la radio sovié­tique de la Komman­dan­tur et qui nous étaient trans­mises par les nouvel­listes.
Il y avait envi­ron 4000 prison­niers en octobre 1944 ; les « 1500 » étaient déjà partis à cette date.
J’ai décou­vert les baraques à demi enter­rées, très sombres et mal chauf­fées. Deux poêles à chaque extré­mité ne parve­naient qu’à se chauf­fer eux-mêmes. Les frileux s’y agglu­ti­naient. Nous savions qu’ils mour­raient prochai­ne­ment.
Le travail était obli­ga­toire, mais avec une insis­tance toute rela­tive : ceux qui étaient trop maigres ou trop faibles pouvaient rester dans les baraques, assis sur les bas flancs : ce n’est que la nuit que nous avions le droit de nous y coucher.
Il y avait aussi le travail interne, comme la corvée de cuisine. Il exis­tait égale­ment une zone d’ar­ti­sans et une zone d’ar­tistes. Camille Hirtz et Camille Claus s’y trou­vaient, mais je ne les ai pas connu au camp. L’avan­tage de travailler se résu­mait à un bout de pain et du Kacha (terme dési­gnant tout ce qui est solide dans l’ali­men­ta­tion). Nous rece­vions une « soupe » deux fois par jour. On nous donnait beau­coup de maïs, pendant des mois. A un moment, nous avons eu droit à de petits pois­sons. On mangeait même la tête, car le cerveau était riche en chimie noble.
Quant aux malades, ils étaient convoyés en camion jusqu’à l’hô­pi­tal de Kirsa­nov. Certains en reve­naient, couverts d’une couver­ture, à moitié nus. On ne devait pas trop mourir à Tambov, ce n’était pas le lieu. D’après ce qu’on sait, on menait à Kirsa­nov les plus mal en point pour qu’ils ne meurent pas au camp.
C’est à Tambov que les Alsa­ciens ont recom­mencé à parler en français.

Qu’es­pé­rez-vous des archives du camp récem­ment rapa­triées en Alsace ?

Cela fait des années que nous nous inves­tis­sons pour rapa­trier ces archives. Jean Thuet, président de la Fédé­ra­tion des Anciens de Tambov, et d’autres avaient déjà pu avoir accès à telle ou telle partie des archives, mais ce n’étaient que des bribes.
Il faut main­te­nant voir ce qui a été photo­gra­phié aux Archives de Tambov. On peut espé­rer des listes de morts, car c’est très impor­tant que les gens puissent faire le deuil des dispa­rus.
Aujourd’­hui encore, je me demande comment tout cela a pu se faire. Tambov était un camp des plus minable et un camp de rassem­ble­ment des Français. Il était connu de la France libre qui n’a pour­tant pas fait un geste pour essayer d’amé­lio­rer le quoti­dien de ses compa­triotes. Je crois que nous sommes en présence d’un « coulage » fantas­tique. La nour­ri­ture desti­née au camp était en fait commune aux soldats sovié­tiques, aux civils et aux prison­niers. Evidem­ment, les prison­niers rece­vaient ce qui restait, après que leurs chefs aient préle­vés eux-mêmes ce qui les inté­res­sait. Mais ce n’est pas ce qu’ils ont pris qui aurait nour­ris les autres.
Et puis, pendant la guerre, la vie humaine n’avait pas beau­coup de valeur chez les Russes. D’ailleurs, les Sovié­tiques n’ho­no­raient pas les prison­niers : Staline n’avait pas fait libé­rer son propre fils. Quant à De Gaulle, il est passé, je crois le 6 décembre 1944, en chemin de fer près de Tambov pour se rendre à Moscou. Du fait de sa posi­tion très faible, il n’a pas évoqué les Français prison­niers en URSS. Le premier numéro du jour­nal « Le Monde » paru en 1944 avait rendu compte de cette visite de De Gaulle.

jpg_TambowMon.jpgDétail du monu­ment français à Tambov-Rada. (Photo N. Mengus)

… Jean-Paul Bailliard, président de l’ADEIF du Bas-Rhin

Selon vous, que repré­sente Tambov dans l’en­semble de la tragé­die de l’in­cor­po­ra­tion de force ?

C’est, à mon avis, un haut lieu repré­sen­ta­tif de l’in­cor­po­ra­tion de force, puisqu’en­vi­ron 20.000 Alsa­ciens-Mosel­lans ont tran­sité par Tambov avant de rentrer en France. Les condi­tions de vie d’alors sont tout à fait symbo­liques de l’in­cor­po­ra­tion de force dans sa partie la plus horrible : le pour­cen­tage des morts à Tambov est de l’ordre de 30%, c’est-à-dire d’en­vi­ron 5000 décès. C’est quand même énorme !
Le problème de Tambov est qu’il a fallu se battre pour que soit reconnu aux anciens prison­niers des condi­tions d’in­car­cé­ra­tion dans des camps du type les plus durs de la capti­vité française.

Quelles sont les attentes de l’ADEIF quant aux archives russes récem­ment dupliquées et rapa­triées en France ?

C’est un gros problème. D’abord, sont-elles complètes ? Les auto­ri­tés russes nous donnent ce qu’elles veulent bien nous donner. On peut espé­rer que cela permet­tra d’éta­blir la liste de ceux qui ont tran­sité dans le camp de Tambov. Mais il faut se souve­nir qu’il y avait plus de 400 autres camps où des Alsa­ciens-Mosel­lans ont tran­sité. Si le gros des effec­tifs est passé par Tambov, envi­ron 5.000 « Malgré-Nous » ont été rapa­triés d’autres camps.

Sera-t-il possible d’éta­blir une liste des morts à Tambov et à Kirsa­nov ?

On pourra établir une liste de morts, mais sera-t-elle complète ? Et, en temps de guerre, il existe les dispa­rus dont on ne retrou­vera jamais la tombe ou la trace. Leur mort devra faire l’objet d’une décla­ra­tion. Comme toujours dans les archives, on aura 90–95, voire 98% des noms, mais on n’aura jamais 100%. Il y a encore 10.418 Alsa­ciens-Mosel­lans portés dispa­rus, soit 7% de personnes dont on ne sait rien. Certains ont été décla­rés dispa­rus par les Alle­mands. Quelques rares d’entre eux ont été rapa­triés après la guerre : leur dispa­ri­tion était en fait une évasion. Il y a des dispa­rus qui s’avèrent morts : on retrouve toujours des sépul­tures et des corps iden­ti­fiables, mais cela peut encore durer de nombreuses années.

jpg_KirsanovMon.jpgLa plaque rappe­lant le souve­nir des « Malgré-Nous » qui sont morts à l’hô­pi­tal de Kirsa­nov. (Photo N. Mengus)

… Charles Quirin, président de l’UIACAL, section Hague­nau-Wissem­bourg

Etait-ce la première fois que vous veniez à Tambov et qu’é­voque pour vous ce lieu ?

J’ai déjà eu l’oc­ca­sion de me rendre en Russie : Odessa, Moscou, Saint-Péters­bourg, Ouglitsch et Yalta. Mais c’est la première fois que je me suis rendu à Tambov. Pour moi, ce nom évoque le malheur et la souf­france. Entre 15 et 20.000 personnes sont mortes là-bas.

Un proto­cole a été signé pour rendre acces­sibles d’autres fonds d’ar­chives russes. Pensez-vous que cela permet­tra de mieux connaître ces anciens combat­tants que sont les « Malgré-Nous » ?

Ce proto­cole est très utile, puisqu’il ne porte pas unique­ment sur les personnes, mais aussi sur le compor­te­ment des armées ! Il faudrait que les archives de toutes les armées impliquées dans la Seconde Guerre mondiale puissent égale­ment être ouvertes, car les incor­po­rés de force se sont retrou­vés sur d’autres théâtres d’opé­ra­tions que le front de l’Est. Et, en ce qui concerne la Russie, il faut savoir que Tambov n’est qu’un aspect de la capti­vité en URSS, puisque 449 camps y ont été recen­sés ; un camp pouvait se résu­mer à un groupe de prison­niers obli­gés d’ai­der des paysans russes. Ces fonds d’ar­chives ont été rassem­blés à Moscou.
Quand j’étais à Saint-Péters­bourg, j’ai rencon­tré une personne qui recher­chait la tombe de son beau-frère. Par l’in­ter­mé­diaire de la Croix Rouge alle­mande, il a fina­le­ment retrouvé à Tallin, en pleine forêt, la fosse commune où celui-ci repose.
Person­nel­le­ment, j’ai notam­ment perdu deux oncles, Charles et Edouard Laugel, dont on ignore tout de leur destin. Du côté de ma femme, c’est un cousin, François Seltz, qui a été incor­poré de force dans la divi­sion « Das Reich ». On sait qu’il se trou­vait à Saint-Malo. Peu après la guerre, la famille a reçu son porte­feuille troué par une balle et taché de sang. Peut-être a-t-il été assas­siné ?

Pensez-vous qu’il serait souhai­table de réali­ser un jour un monu­ment un peu plus impor­tant – comme un Mur des Noms, par exemple – à Tambov et à Kirsa­nov ?

Aussi long­temps qu’on est sûr que la Mémoire soit vivante, oui.

Propos recueillis par Nico­las Mengus

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FELDERSATZ BAT. 211

Commentaire (0) Les incorporés de force, Liste des non rentrés

Docu­ment trans­mis par M. Claude HEROLD. Avec tous nos remer­cie­ments !

Alsa­ciens du Felder­satz. Btl. 211 (FPN 00786) portés dispa­rus :

DURNY Georges, né à Chate­nois (Bas-Rhin) et demeu­rant à Ober­nai. Recueil des dispa­rus du Bas-Rhin (RDBR) n°1023).

FUHRY Joseph,né et demeu­rant à Erstein (Bas-Rhin). (RDBR n°1446).

HEITZ Lucien, né et demeu­rant à Limer­sheim (Bas-Rhin). (RDBR n°2021).

IFFRICH Gustave, né à Mulhouse (Haut-Rhin) et demeu­rant à Neuf-Brisach.

Tous les quatre sont à ce jour portés dispa­rus et n’ont donc pas de tombe reper­to­riée.

 

 

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Les morts de La Walck (1850–1945)

Commentaire (0) Les incorporés de force

Merci à Philippe Doss­mann qui a relevé les noms des victimes mili­taires et civiles de la commune de La Walck qui figurent sur le monu­ment aux Morts. Il précise égale­ment qu’ il manque les noms de Rappe­ne­cker Charles, réstis­tant, et de Hein­rich Alphonse, réfrac­taire né le 25 octobre 1914 et inhumé le 13 mai 1942 près de Saint-Claude dans le Jura, ainsi que les noms des compra­triotes israé­lites de La Walck.

Pour la période 1942–1945, les victimes mili­taires sont :

AURREGIO Edmond.

AURREGGIO Louis (Recueil des dispa­rus du Bas-Rhin n°130).

AUGST Lucien.

BARTH René (Recueil des dispa­rus du Bas-Rhin n°195).

* Fiche du Volks­bund :

Nach­name: Barth

Vorname: Rene

Dienst­grad:

Geburts­da­tum: 18.01.1925

Geburt­sort:

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.07.1944

Todes-/Vermiss­te­nort: Russ­land
Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 01.07.1944 vermißt.

BERTRAND Pierre.

* Fiche du Volks­bund :

Nach­name: Bertrand

Vorname: Peter Paul

Dienst­grad: Ober­pio­nier

Geburts­da­tum: 02.12.1921

Geburt­sort: La.Walck

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 04.05.1944

Todes-/Vermiss­te­nort: Slobin

Peter Paul Bertrand wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt oder konnte im Rahmen unse­rer Umbet­tungs­ar­bei­ten nicht gebor­gen werden. Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Kaba­nowka – Bela­rus.

CLOES Victor (Recueil des dispa­rus du Bas-Rhin n°778).

* Fiche du Volks­bund :

Nach­name: Clös

Vorname: Viktor

Dienst­grad:

Geburts­da­tum: 02.03.1912

Geburt­sort:

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.11.1944

Todes-/Vermiss­te­nort: Willen­berg / Neiden­burg / Passen­heim /

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 01.11.1944 vermißt.

DAUGER Léon.

DIEMER Armand (Recueil des dispa­rus du Bas-Rhin n°910).

* Fiche du Volks­bund :

Nach­name: Diemer

Vorname: Hermann

Dienst­grad:

Geburts­da­tum: 11.03.1916

Geburt­sort:

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.11.1944

Todes-/Vermiss­te­nort: Kielce / Lysa Gora

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 01.11.1944 vermißt.

ERTZSCHEID André.

* Fiche du Volks­bund :

Nach­name: Ertz­scheid

Vorname: Andreas

Dienst­grad: Pionier

Geburts­da­tum: 16.02.1912

Geburt­sort: Morsch­wei­ler

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 13.08.1944

Todes-/Vermiss­te­nort: 5km nö Skaist­kalne

Andreas Ertz­scheid wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt oder konnte im Rahmen unse­rer Umbet­tungs­ar­bei­ten nicht gebor­gen werden. Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Barbele – Lettland

FUHRMANN Georges.

HARTHEISER Alphonse (Recueil des dispa­rus du Bas-Rhin n°1896).

HECKEL Gérard.

HEINRICH Ernest (Recueil des dispa­rus du Bas-Rhin n°1982, voir l’avis de recherche sur ce site).

KAYSER Léon (Recueil des dispa­rus du Bas-Rhin n°2570).

MORITZ Marcel. Est mort le 28.10.1944 et est enterré au cime­tière mili­taire alle­mand de Cernja­chovsk (Russie), Block 4, rangée 3, tombe 161 (rensei­gne­ment de M. Claude Herold).

* Fiche du Volks­bund :

Nach­name: Moritz

Vorname: Marzel

Dienst­grad: Reiter

Geburts­da­tum: 18.10.1925

Geburt­sort: Walk

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 28.10.1944

Todes-/Vermiss­te­nort: Rade­nau, H.V.Pl.

jpg_1841_fhansicht_Insterburg_1.jpgMarzel Moritz ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Cernja­chovsk (Rußland) .
Endgra­blage: Block 4 Reihe 3 Grab 161 (photo Volks­bund)

RAPP Ernest (Recueil des dispa­rus du Bas-Rhin n°4167). Il est décédé à Tambow en janvier 1945 (rensei­gne­ment de M. Claude Herold).

* Fiche du Volks­bund :

Nach­name: Rapp

Vorname: Ernst

Dienst­grad: Grena­dier

Geburts­da­tum: 07.02.1912

Geburt­sort: Walk

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.1945

Todes-/Vermiss­te­nort: I.Kgf.in Tambow

Ernst Rapp wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt oder konnte im Rahmen unse­rer Umbet­tungs­ar­bei­ten nicht gebor­gen werden. Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Tambow – Rußland

SCHMITT Albert (Recueil des dispa­rus du Bas-Rhin n°4954).

* Fiche du Volks­bund :

Nach­name: Schmitt

Vorname: Albert

Dienst­grad:

Geburts­da­tum: 25.09.1918

Geburt­sort: Bischeim

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 12.04.1945

Todes-/Vermiss­te­nort: Laz. v. Kirsa­now

Albert Schmitt wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt oder konnte im Rahmen unse­rer Umbet­tungs­ar­bei­ten nicht gebor­gen werden. Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Kirsa­now – Rußland

SCHOTT Jean-Baptiste.

* Fiche du Volks­bund :

Nach­name: Schott

Vorname: Johann

Dienst­grad: Grena­dier

Geburts­da­tum: 13.09.1923

Geburt­sort: Walk

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 24.10.1943

Todes-/Vermiss­te­nort: Nowo-Voskre­sens­kaya

Johann Schott wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt oder konnte im Rahmen unse­rer Umbet­tungs­ar­bei­ten nicht gebor­gen werden. Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort:
Nowo – Ukraine

* Fiches du site Mémo­rial Genweb :

AURREGIO Alphonse Edmond

Date de nais­sance : 04/08/1925

Commune de nais­sance : La Walck

Dépar­te­ment ou pays : 67 – Bas-Rhin

Date du décès : 18/04/1944

Commune du décès : Werba

Dépar­te­ment ou pays :

Lieu, complé­ment : Front de l’Est

Autres infor­ma­tions : Fils de Aurre­gio Xavier et Reeb Jose­phine- N° 3602 du registre de l’état civil mili­taire – Dossier 302396 – Dési­gné « Mort pour la France le 28/05/1955.

AURREGIO Louis

Date de nais­sance : 04/05/1924

Commune de nais­sance : La Walck

Dépar­te­ment ou pays : 67 – Bas-Rhin

Date du décès : 01/07/1944

Commune du décès : Bobwisk

Dépar­te­ment ou pays :

Lieu, complé­ment :

Autres infor­ma­tions : Fils de Aurre­gio Xavier et Reeb Jose­phine – Dossier 309140 – date « Mort pour la France » 21/12/1955″ – inscrit au registre de décés de l’état civil par juge­ment du tribu­nal.

AUGST Lucien Antoine

Date de nais­sance : 24/01/1913

Commune de nais­sance : La Walck

Dépar­te­ment ou pays : 67 – Bas-Rhin

Date du décès : 11/11/1944

Commune du décès : Koenig­sberg

Dépar­te­ment ou pays :

Lieu, complé­ment :

Autres infor­ma­tions : Fils de Augst Joseph et Haas Thérèse – Dossier 316723 – Date « Mort pour la France » 07/09/1960″ – Inscrit au registre de décès de l’état civil par juge­ment du tribu­nal.

DAUGER Léon

Date de nais­sance : 20/12/1923

Commune de nais­sance : Geis­pol­sheim

Dépar­te­ment ou pays : 67 – Bas-Rhin

Date du décès : 23/07/1944

Commune du décès : Corinthe

Dépar­te­ment ou pays : 9126 – Grèce

Lieu, complé­ment :

Autres infor­ma­tions : Malgré-Nous -Fils de Dauger Joseph et Lefèvre Marie Louise – N° 9947 du registre de l’état civil mili­taire – Dossier 313629 Date « Mort pour la France » 02/06/1949 – Décédé de la mala­ria.

HARTHEISER Alphonse

Date de nais­sance : 14/04/1912

Commune de nais­sance : La Walck

Dépar­te­ment ou pays : 67 – Bas-Rhin

Date du décès : 15/11/1944

Commune du décès :

Dépar­te­ment ou pays :

Lieu, complé­ment :

Autres infor­ma­tions : Fils de Harthei­ser Louis et walter Marie – Barth Marie Made­leine – Dossier 325060 – date « Mort pour la France » – Inscrit au registre de décès de l’état civil par juge­ment du tribu­nal – Coupeur sur cuir.

HECKEL Gérard

Date de nais­sance :

Commune de nais­sance :

Dépar­te­ment ou pays :

Date du décès : 07/01/1944

Commune du décès : BERSITSSCHEW

Dépar­te­ment ou pays : 9123 – Russie

Lieu, complé­ment :

Autres infor­ma­tions : frère jumeau de Heckel Roger évêque coadju­teur de Stras­bourg.

HEINRICH Ernest

Complé­ment : 2 Poli­zei SS Regi­ment

Matri­cule, recru­te­ment :

Date de nais­sance : 20/04/1911

Commune de nais­sance : La Walck

Dépar­te­ment ou pays : 67 – Bas-Rhin

Date du décès : 02/07/1944

Commune du décès : Smole­wit­schi

Dépar­te­ment ou pays : 9123 – Russie

Lieu, complé­ment :

Autres infor­ma­tions : Dossier 325065 – Date « Mort pour la France » 14/03/1954″ – Inscrit au registre de décès du de l’état civil par juge­ment du tribu­nal.

KAYSER Léon

 Date de nais­sance : 05/05/1913

Commune de nais­sance : Stras­bourg

Dépar­te­ment ou pays : 67 – Bas-Rhin

Date du décès : 28/11/1944

Commune du décès :

Dépar­te­ment ou pays : 9123 – Russie

Lieu, complé­ment :

Autres infor­ma­tions : Fils de Kayser Cathe­rine – Epoux de Deichel­boh­rer Hélène – N° 9042 du registre 19 de l’état civil mili­taire – Dossier 325269 – date « Mort pour la France » 25/04/1957.

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FUCHS Charles

Commentaire (0) Portraits de Malgré-Nous

maître boulan­ger (* Boll­willer, Haut-Rhin, 19.12.1915). Marié à Mathilde Rietsch; deus fils : Jean-Claude et André. Il effec­tue son service mili­taire au Régi­ment de Chas­seurs Alpins de Grace, puis il est mobi­lisé en 1939. Il habi­tait à Cernay (Haut-Rhin) au moment de son incor­po­ra­tion de force dans la Wehr­macht le 22 mai 1943. A Schei­demühl, il est versé dans la Stammkp. Gren. Erl. Btl. 322.
Le sous-offi­cier Charles Fuchs dispa­raît le 9 mars 1944 à Uladowska (Ukraine). Il est déclaré mort le 10.3.1944 par le Tribu­nal d’Ins­tance de Mulhouse.

D’après Joseph Fort­mann, incor­poré de force dans le même régi­ment et, par la suite, chef de camp à Tambow, Charles Fuchs aurait disparu à Kustowsky, près de Smel­nick, région de Winniza, et non Uladowska comme indiqué par la Wehr­macht.

Rensei­gne­ments commu­niqués par André Fuchs, fils de Charles Fuchs.

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