MARTIN Charles

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Nous recher­chons la sépul­ture d’une personne morte en Tché­quo­slo­vaquie en
1945. Il s’agit de Charles Martin né le 6 août 1911 à Ingwiller (Bas-Rhin) et tué au combat à Detva le 5 février 1945.

Par avance, merci !

Cour­riel : alain1606@­wa­na­doo.fr

Fiche du Volks­bund aima­ble­ment commu­niquée par Claude Herold :

 Nach­name: Martin

 Vorname: Karl

 Dienst­grad: Grena­dier

 Geburts­da­tum: 06.08.1911

 Geburt­sort: Ingwei­ler

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 05.02.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort: nördl.Detva

Karl Martin ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Vazec (Slowa­kische Repu­blik).
Endgra­blage: Block 7 Reihe 10 Grab 217

jpg_2013_fhansicht_vazec.jpg (Photo Volks­bund)

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SPOOR Albert

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jpg_SPOOR_Albert.jpgJe suis a la recherche de tous rensei­gne­ments concer­nant mon grand-oncle Albert Spoor, né le 12.04.1921 à Schir­meck (Bas-Rhin). Marié le 21.8.1942 à Lucie Schnell. Le 16.1.43, il a été incor­poré dans la Wehr­macht et affecté à la Stammkp. Gren. Ers. Btl. 304 le 5.2.43 et muté à la 1ère Kp. Res. Gren. Btl. 304 le 5.8.43, puis à la 2 Kp. Res. Gren. Btl. 304 le 23.12.43, appar­te­nant à la 3 Kp. Marschbtl. zbv AOK2 le 6.9.44. Appar­te­nant à l’unité préci­tée, il est hospi­ta­lisé au Feld­la­za­rett à Prasch­nitz et trans­féré le même jour pour une desti­na­tion non préci­sée.

Pour­riez-vous aussi me rensei­gner sur le Bataillon 304 et ses diffé­rents
enga­ge­ments dans le conflit.

Merci d’avance.

Dany Pujol
Cour­riel : dany.pujol@o­range.fr

Fiche du Volks­bund aima­ble­ment commu­niquée par Claude Herold :

 Nach­name: Spoor

 Vorname: Albert

 Dienst­grad: Gefrei­ter

 Geburts­da­tum: 12.04.1921

 Geburt­sort: Schir­meck

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 06.09.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort: Raum Prasch­nitz (Feld Laz.292)

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 06.09.1944 vermißt.

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DEPOT D’UNE REQUETE DEVANT LA COUR EUROPEENNE DES DROITS DE L’HOMME

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64 membres de l’As­so­cia­tion des Orphe­lins de Pères « Malgré-Nous » d’Al­sace-Moselle (OPMNAM) viennent de dépo­ser ce 19 mars 2008, par l’in­ter­mé­diaire de Maître Arnaud Frie­de­rich, avocat au cabi­net Alexandre-Levy- Kahn, une requête devant la Cour Euro­péenne des Droits de l’Homme à Stras­bourg, contre l’Al­le­magne, pour l’in­dem­ni­sa­tion des préju­dices subis, d’ordre moral, psycho­lo­gique et écono­mique.

Cette annonce a été faite par France 3 Alsace, le mercredi 19 mars dans le jour­nal télé­visé à 19h, immé­dia­te­ment après l’in­ter­view de M. Jean-Marie Bockel, le tout nouveau Secré­taire d’Etat à la défense, chargé des Anciens Combat­tants.

Cette requête fait suite à la déci­sion défi­ni­tive du Bundes­tag, suite à plusieurs demandes, rejets, pour­vois en appels, sur 2006 et 2007, de s’as­so­cier à notre projet d’un Mur des Noms, un lieu de recueille­ment et de témoi­gnage en mémoire des victimes civiles et mili­taires de la Seconde Guerre mondiale, dont nos pères et 40 000 de leurs cama­rades d’in­for­tune ; un devoir moral pour l’Al­le­magne qui ne nous a jamais rendu les corps de nos pères pour faire notre deuil.

Nous tendions la main, pas la sébile, puisque ce projet devenu commun, avec le recen­se­ment de l’en­semble des victimes de 1939 à 1945 (dont les milliers de morts dans les camps russes, y compris après guerre), a été adopté par les Prési­dents et les collec­ti­vi­tés terri­to­riales du Bas-Rhin, du Haut -Rhin, de la Moselle et de la Région Alsace.

Nous avions égale­ment des projets de rési­dences et maisons de retraite, voire une aide aux plus dému­nis, anciens « Malgré-Nous » et veuves (plus de 80 ans) ou orphe­lins (62 à 80 ans) pour leur témoi­gner une soli­da­rité trop long­temps absente.

Le Bundes­tag a égale­ment refusé toute indem­ni­sa­tion pour les orphe­lins, nous jetant à la figure des millions de DM (qui ne nous ont jamais concer­nés), dont ceux octroyés à la FEFA (Fonda­tion « Entente franco-alle­mande »), soit 1387€ pour les anciens « Malgré-Nous » ou une obole à parta­ger entre les veuves et les orphe­lins.

Cette somme ne peut en aucun cas nous être oppo­sée au titre de l’in­dem­ni­sa­tion des orphe­lins de « Malgré-Nous », telle­ment elle est hors de propos avec les préju­dices subis, d’ordre moral, psycho­lo­gique et écono­mique, liés à la perte de l’af­fec­tion et du soutien d’un père notre vie durant, du fait des multiples trau­ma­tismes causés par l’Al­le­magne natio­nale-socia­liste, par la dépor­ta­tion et l’in­cor­po­ra­tion de force dans l’ar­mée barbare d’un pays ennemi.

Le manque cruel de ressources, norma­le­ment assu­rées par le chef de famille, la faillite, la dispa­ri­tion, la spolia­tion de l’en­tre­prise, du commerce, de l’ex­ploi­ta­tion agri­cole, voire l’évic­tion de la maison fami­liale, côté père comme côté mère, ont obligé la grande majo­rité d’entre nous à aban­don­ner les études ou forma­tions quali­fiantes, à travailler très jeunes, à occu­per des postes subal­ternes.

On ne peut décem­ment, sauf à se livrer à une impos­ture, mettre sur un pied d’éga­lité ces 1387€ avec le destin de ceux à qui l’ Alle­magne natio­nale-socia­liste a ôté la vie et mis en grave péril leurs familles.

Pour para­phra­ser le président de la Répu­bique Française, Nico­las Sarkozy, à propos de l’exo­né­ra­tion des droits de succes­sion : « Nos pères n’ont pas eu l’op­por­tu­nité de nous trans­mettre les fruits du travail d’une vie ».

Jamais un mot, une lettre, une invi­ta­tion à une commé­mo­ra­tion, une aide, une bourse d’étu­des…, rien, comme si nous n’exis­tions pas, comme si nos pères n’avaient jamais existé. « Sag warum« …

Le refus de recon­nais­sance, le refus de tout dialogue, de ces chan­ce­liers, prési­dents, dépu­tés, dont aucun n’ a jamais daigné para­pher la moindre ligne, nous font penser en ces fêtes pascales à Ponce Pilat frappé par la mala­die d’Alz­hei­mer.

Au-delà d’une juste indem­ni­sa­tion, nous condam­nons très sévè­re­ment l’at­ti­tude irres­pon­sable de l’an­cienne Répu­blique Fédé­rale d’Al­le­magne qui nous a conduit devant la Cour Euro­péenne pour faire respec­ter les droits d’hommes et de femmes meur­tris par tant d’injus­tices.

C’est aussi un cri de colère contre l’in­dif­fé­rence et le mépris mani­festé depuis plus de 62 ans par les auteurs du crime de guerre de l’in­cor­po­ra­tion de force et des crimes contre l’hu­ma­nité, envers les familles prises en otages par la Sippen­haft(1943), une loi de respon­sa­bi­lité des membres du clan fami­lial, sous peine de confis­ca­tion des biens et de dépor­ta­tions, en cas d’in­sou­mis­sion ou d’éva­sion de leurs fils, des crimes impres­crip­tibles aux yeux de la loi inter­na­tio­nale !

« Nous promet­tons, jamais nous n’ou­blie­rons les victimes! » (le chan­ce­lier Gerhard Schrö­der à Caen, le 6 juin 2004). Mais, fina­le­ment, qu’at­tendent-ils, sinon leur dispa­ri­tion défi­ni­tive ?

Bernard Erne­wein, président et fonda­teur de l’OPMNAM, orphe­lin d’un crime de guerre

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VAGNER Raymond

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Mon grand père s’ap­pelle Raymond Vagner. Il est né le 17 décembre 1918
à Metz (Moselle) et aurait été incor­poré de force en juin 1943. Il a épousé Irène Wurtz (née le 3/11/1916) en août 1941 à Metz et avait une fille (ma mère, décé­dée le 26 janvier 2000) née le 5/09/1942. Je sais qu’il fut entre mars 1944 et septembre 1944 à Ziegen­hals. Mais je ne sais pas si c’est la ville alle­mande du Bran­de­bourg ou de Pologne proche de Glucho­lazy.

Je serais recon­nais­sant à toutes les personnes qui pour­raient m’in­diquer des pistes à suivre ou qui auraient des rensei­gne­ments à me four­nir. C’est un besoin que de comprendre ce qui est advenu à mon grand-père porté disparu en janvier 1945 sur le front russe.

Didier Derson

Cour­riel : didier.derson @orange.fr

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THOMAS Alphonse

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(* Wingen-sur-Moder, Bas-Rhin, 2.8.1911). Prison­nier à Tambow. Il est déclaré « mort pour la France » le 20.6.1947 (mention attri­buée à titre mili­taire).

D’après les rensei­gne­ments four­nis par son fils, Félix Thomas (Wingen-sur-Moder).

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REEBER Baltha­sar

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jpg_ReeberBalthasar.jpgJe suis à la recherche d’in­for­ma­tions concer­nant mon parrain, REEBER Baltha­sar, né le 12 janvier 1922 à Oberhas­lach (Bas-Rhin), incor­poré de force et disparu en février 1945 à Sprem­berg-Lubin­chen, près de Gruben. De son vivant, mon père (donc son frère) a effec­tué des recherches et est entré en contact avec Frédé­ric GRAFF d’Eck­bol­sheim (Bas-Rhin), sans doute décédé depuis. Cette personne aurait vu mon parrain pour la dernière fois le 28.02.1945. Je possède ces lettres de mon parrain qu’il envoyait à son
frère, à partir de ces docu­ments l’on peut retrou­ver les endroits où il
est passé lors de son incor­po­ra­tion, malheu­reu­se­ment plus de nouvelles
après février 1945 et la commune d’Obe­rhas­lach a établi un acte de
décès « Mort pour la France » en janvier 1961.

Merci à toutes les personnes qui pour­ront m’ai­der dans mes recherches.

Marlyse Quan­tin

Cour­riel : marlyse.quan­tin@­wa­na­doo.fr

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MAURER Julien

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jpg_Maurer_Julien.jpgcordon­nier (* Villé, Bas-Rhin, 12.3.1920). Gefrei­ter de la 2e Compa­gnie du 37e Grena­dier Regi­ment, il est porté disparu en novembre 1944 dans la région de Radom. Avec lui se trou­vaient Charles Schmid et Henri Idoux.

Deutsches Rotes Kreuz – Such­dienst München – Vermiss­ten­bild­liste, docu­ment trans­mis par Claude Hérold. jpg_Maurer_Vermisst.jpg

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IDOUX Henri

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jpg_Idoux_Henri.jpg(* Saint-Martin, Bas-Rhin, 18.2.1924). Son adresse était à Maison­goutte lors de son incor­po­ra­tion de force. Faisait partie de la 2e Compa­gnie du Grena­dier Regi­ment 37. Il faisait partie de la même Compa­gnie que Charles Schmid et Julien Maurer, dispa­rus en novembre 44 près de Radom.

* Lien vers Memo­rial GenWeb trans­mis par Gérard Schutz : http://www.memo­rial-genweb.org/~memo­rial2/html/fr/result­com­mune.php?pays=France&idsource=48854&insee=67280&dpt=67&table=bp07

jpg_IDOUX.jpg Deutsches Rotes Kreuz – Such­dienst München – Vermiss­ten­bild­liste (trans­mis par Claude Hérold).

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SCHUSTER Henri

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jpg_Schuster_Henri.jpgJe recherche tout rensei­gne­ments concer­nant mon grand père, SCHUSTER Henri, né le 29 septembre 1915 à Mack­willer (Bas-Rhin). Il a été fait prison­nier par les alle­mands sur les hauteurs d’Achen le 21 juin 1940.
Il a été déplacé à Sprait­bach (Alle­magne) avant de reve­nir sur le
secteur de Gros­blie­ders­troff en qualité d’Arbeits­dienst. Incor­poré de
force en 1943 par les Alle­mands.

Service dans l’Ar­mée alle­mande du 27 juillet 1943 au 19 juillet 1944:

 Plaque d’iden­tité n° 2324 – St.Kp. G .E Btl. 476.

 Affecté le 27 juillet 1943 dans la Wehr­macht à la Stam-Kp. Gren. Ers. Btl.476 à Leit­me­ritz (Pologne).

 Muté le 18 aout 1943 à la 2.Kp./Res. Gren. Btl. 476 à Biala-Podlaska (Pologne).

 Muté le 28 octobre à la 1.Kp./Res. Gren. Btl. 304.

Mon grand-père a été blessé dans un premier temps sur le front russe, avant
d’être déclaré comme disparu. Je recherche tous rensei­gne­ments permet­tant d’orien­ter mes recherches. Merci!

P. Schus­ter

Cour­riel : schus­ter­pa@aol.com

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FLEISCH Charles

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culti­va­teur (* Laubach, Bas-Rhin, 4.9.1926). Après avoir effec­tué son RAD à Pieske bei Mese­ritz (novembre 1943-février 1944), il est versé de force dans la Poli­zei-SS et se retrouve, le 14.4.1944 dans la Poli­zei Abtei­lung Den Haag. Engagé en Hollande et en Pologne, il est blessé à Ausch­witz le 3.2.1945. Il obtient le grade de Poli­zei Unter­wach­meis­ter. Souvent traité de « feigen Hunde » (« chiens couards »), il constate qu’il « n’y en a pas beau­coup qui savent ce qu’on a dégusté ! ». Fait prison­nier par les Améri­cains en avril 1945, il est retenu en capti­vité à Garnisch-Parten­kir­chen.

Il se souvient de deux cama­rades incor­po­rés de force comme lui : Félix Schlos­ser et Jacques Rott, ancien de Tambov.

D’après les rensei­gne­ments four­nis par Charles Fleisch lui-même.

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