Le monu­ment du Musée de l’Abri

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Monu­ment érigé dans l’en­ceinte du Musée de l’Abri à Hatten à la mémoire des 130.000 Alsa­ciens et Mosel­lans incor­po­rés de force dans l’ar­mée alle­mande suite au décret du 25 août 1942.

« Ils ont connu la peur, la soli­tude, le froid, la faim, la soif… Ils restent dans notre mémoire ».

 Photo Walter Oster.

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Réunion d’in­for­ma­tion de l’OPMNAM au Musée de l’Abri à Hatten le 22.10.2009

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L’as­so­cia­tion Orphe­lins de pères « Malgré-Nous » d’Al­sace-Moselle, sur l’in­vi­ta­tion de M. Fennin­ger, maire de Hatten et président du Musée de l’Abri, a tenu une réunion d’in­for­ma­tion pour ses membres le jeudi 22 octobre, un choix judi­cieux et provi­den­tiel selon Gérard Michel, le président de la délé­ga­tion Alsace-Moselle de l’OPMNAM, invi­tant les médias à faire davan­tage connaître ce lieu histo­rique, dont les bunkers de la ligne Magi­not, les maté­riels mili­taires, ainsi qu’une salle consa­cré aux « Malgré-Nous » et au camp de Tambov.

« Le choix du musée de l’Abri à Hatten s’est avéré judi­cieux et provi­den­tiel, ne connais­sant ni les lieux, ni les acteurs de ce musée animé par des béné­voles et dirigé par un président d’une rare qualité, « un passionné ». Le travail réalisé par cette équipe est remarquable et je remer­cie encore Monsieur Fennin­ger pour son accueil chaleu­reux. La visite appro­fon­die des lieux mérite une bonne jour­née, la place réser­vée aux « Malgré-Nous » est centrale, les témoi­gnages et les objets dépo­sés sont consi­dé­rables. Un vrai musée à ciel ouvert et dans les salles couvertes, la place réser­vée aux Malgré-Nous et à Tambov est essen­tielle et les expli­ca­tions justes et sans masques… Ce musée méri­te­rait une plus large publi­cité dans les médias », souligne Gérard Michel.

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La mati­née fut consa­crée à la visite conduite par M. Fennin­ger, le midi à un déjeu­ner en commun au restau­rant « Le Stamm­tisch », suivi de la réunion d’in­for­ma­tion l’après-midi.

Une très bonne nouvelle de M. Philippe Richert

Il fut donné lecture d’un très impor­tant et émou­vant message, daté du 22 septembre dernier, adressé à l’OPMNAM par le séna­teur Philippe Richert, le prin­ci­pal arti­san du Mémo­rial d’Al­sace-Moselle qui vit le renou­veau pour une Mémoire décom­plexée pour nos trois dépar­te­ments, comme il aime à le dire.

Connais­sant l’en­ga­ge­ment de longue date de notre asso­cia­tion, pour nous avoir reçu, Monsieur Richert nous apporte un soutien sans faille pour le Mur des Noms :

➢ « Vous savez que vous pouvez comp­ter sur moi en parti­cu­lier pour la réali­sa­tion pour votre projet d’édi­fi­ca­tion d’un « Mur des Noms » consa­cré aux Alsa­ciens–Mo­sel­lans portés dispa­rus lors de la dernière guerre mondiale ».
➢ « La réali­sa­tion du Mémo­rial d’Al­sace-Moselle a bien été entre­prise pour témoi­gner de l’his­toire spéci­fique de notre région et pour que chacun se souvienne des drames vécus par ses habi­tants ».

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Nul doute que cette promesse ira droit au cœur de tous les orphe­lins et des veuves des incor­po­rés de force, aux dizaines de milliers de familles concer­nées, aux « Malgré-Nous » et aux « Malgré-Elles », ainsi qu’à leurs enfants et petits-enfants.
Rappe­lons que, pour ce futur lieu de recueille­ment, de témoi­gnage et de recon­nais­sance par la Nation, le Chef de l’Etat s’était égale­ment prononcé favo­ra­ble­ment, évoquant « ces fils de France (…), victimes de l’His­toire (qui) ne doivent pas être aspi­rés par l’ou­bli. Grâce à vous, leurs noms figu­re­ront bien­tôt sur un monu­ment érigé en Alsace- Moselle, sur cette terre de France à laquelle ils ont été arra­chés pour être jetés dans des combats achar­nés (…). Par votre inter­mé­diaire, je leur adresse aujourd’­hui le salut frater­nel de la Nation » (extraits du message de Nico­las Sarkozy lu à Tambov, le 26 février 2008, par Philippe Richert).

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Autre moment émou­vant, le témoi­gnage de trois de nos amis à la recherche des sépul­tures de leur père lors d’un dépla­ce­ment en Pologne en juin pour Gérard Michel, dans les Pays Baltes en juillet pour Robert Anthony et son épouse, à Tambov-Kirsa­nov en septembre pour Fernand Foeglé.

Les orphe­lins de Malgré-Nous igno­rés

Autres point forts abor­dés :

1. Le dépôt le 4 août, par avocat inter­posé, d’un pour­voi en cassa­tion devant le Conseil d’Etat à l’en­contre du rejet par le tribu­nal admi­nis­tra­tif de Stras­bourg du 8 juin de la demande en annu­la­tion d’une déci­sion du premier ministre faite à notre ami René Adam, de Kill­stett, afin de l’ex­clure du béné­fice du décret du 27 juillet 2004, comme tous les orphe­lins des « Malgré-Nous », accor­dant une mesure de répa­ra­tion aux orphe­lins des personnes victimes d’actes de barba­rie nazie, situa­tion drama­tique que le rappor­teur public du gouver­ne­ment a lui-même reconnu le 1er avril 2009 aux incor­po­rés de force en raison des pres­sions extrêmes et des repré­sailles envers les familles auxquelles ces Français avaient été soumis.
2. Le dépôt, le 22 septembre, d’une deuxième requête contre l’Al­le­magne qui a fait de nous des orphe­lins, mais qui nous ignore, auprès de la Cour Euro­péenne des Droits de l’Homme à Stras­bourg et à son invi­ta­tion, suite à notre appel du 9 juillet, pour des faits nouveaux.
3. L’ex­clu­sion sans ména­ge­ment des orphe­lins des « Malgré-Nous » du nouveau décret en prépa­ra­tion, une troi­sième discri­mi­na­tion de l’Etat français, cores­pon­sable de notre situa­tion.
4. Pour un Mur des Noms dans chaque commune
5. L’ap­pui de l’Ely­sée qui a confié une mission inter­mi­nis­té­rielle à l’OPMNAM pour la réali­sa­tion et le cofi­nan­ce­ment du Mur des Noms.

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 Photos : Walter Oster, OPMNAM

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Une des consé­quences du procès de Bordeaux (1953)

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Outré, Monsieur Chris­tian Marceaux, qui vit depuis 32 ans dans le Bas-Rhin, nous fait part de la mésa­ven­ture qu’il a vécue et qui montre les méfaits de la désin­for­ma­tion dont souffrent les incor­po­rés de force, en parti­cu­lier lorsqu’il s’agit du drame affreux d’Ora­dour-sur-Glane.
Ce n’est malheu­reu­se­ment qu’un exemple parmi beau­coup d’autres.

« Le 18 octobre dernier, j’ai répondu à une annonce émise par T….., (agence immo­bi­lière dans le dépar­te­ment 87), sur le site inter­net I…..com, concer­nant une propriété à vendre.

J’ai demandé les rensei­gne­ments complé­men­taires suivants: « Quel est le type d’iso­la­tion? A quelle distance se trouvent les plus proches voisins ? Quelles sont les dimen­sions des diffé­rentes pièces, avec un
peu plus de photos svp ? De quand date l’an­nonce ? De quelle année est la
maison ? Quel est l’éloi­gne­ment par rapport au village ? Est-il possible
d’avoir plus de photos vues de l’ex­té­rieur, le prix des taxes habi­ta­tion et
foncières ?
 »

Réponse de l’agence:

« Bonjour,
Isola­tion: Laine de verre et double-vitrage. Le 1er voisin est à 30m. La maison date de 2000. Le séjour fait 45m² avec cuisine ouverte et chemi­née. Les chambres et le bureau: 6,9,11,13. Taxe Foncière: 1100?
Je n’ai pas beau­coup de photos.
Cordia­le­ment,
H…. – T…. 06 79
.. .. .. »

Consi­dé­rant que les réponses repré­sen­taient envi­ron 65% de mes ques­tions, j’en ai fait part au vendeur en ces termes:

« Bonjour,

Peut-être répon­drez-vous à cette ques­tion simple: souhai­tez-vous réel­le­ment vendre cette maison ??????? Essayez de comprendre qu’ha­bi­tant à 750 kms de votre région, j’ai­me­rais au mini­mum avoir la tota­lité des maigres rensei­gne­ments que je vous demande !!
De plus, les quelques photos que vous montrez sont pour­ries et, pour un peu, dans la pièce foutoir (qui doit être le bureau) il manque la caisse du chat avec les crot­tes……………
Merci quand même de votre réponse.  »

Les photos, et surtout celle du » bureau  » sont faci­le­ment
véri­fiables. A cela, l’agence m’ a répondu :

 » RESTEZ dans votre région, vous y êtes très bien !  »

Ce à quoi, j’ai répondu:

« Sachez que ce n’est pas ma région et que je déteste les gens mal élevés
comme vous !..
………. »

Et voilà la réponse que j’ai eu en retour, faite par une autre personne de
l’agence (c’est cette dernière qui le mentionne, puisqu’elle dit être
d’ac­cord avec sa collègue) :

« Subject: Le savoir vivre est une ques­tion d’en­vi­ron­ne­ment fami­lial

Bonsoir,
Déci­dé­ment ça sent le vécu! Je suppose que le chat se soula­geait dans
la pièce du HLM fami­lial ou maman vous enfer­mait entre deux tenta­tives de suicide aux anti­dé­pres­seurs….. (suivent d’autres propos de ce style qui relèvent plus de la diffa­ma­tion que du trait d’es­prit, avant la conclu­sion 🙂 Je partage le point de vue de ma collègue, restez où vous êtes, vous y êtes à votre place, j’ai souve­nir d’avoir appris que les S.S. qui ont brûlé ORADOUR étaient tous Alsa­ciens « .

J’ha­bite en Alsace depuis 32 ans, je ne suis pas Alsa­cien, mais je
n’ai pas du tout envie de lais­ser passer cela ! ».

Voilà où conduisent la diffu­sion d’in­for­ma­tions erro­nées sur les Alsa­ciens incor­po­rés de force dans la Waffen-SS et, plus parti­cu­liè­re­ment, ceux de la classe 26 versés dans la 2e divi­sion blin­dée Waffen-SS « Das Reich« . En effet, le massacre d’Ora­dour est encore, pour certains, un crime commis par les Alsa­ciens, notam­ment à cause du procès de Bordeaux (1953) où, sur le banc des accu­sés, se trou­vaient 7 Alle­mands (un chiffre incroya­ble­ment bas !) et pile le double d’Al­sa­ciens (un volon­taire et 13 Malgré-Nous).

M. Marceaux (chris­tian-marceaux@o­range.fr ) se tient à la dispo­si­tion des personnes qui voudraient en savoir plus sur cette affli­geante affaire.

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GRASSER Alphonse

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Dans le cadre de ses recherches, Charles Bohnert, fils d’un Malgré-Nous ancien de Tambov, souhaite obte­nir des rensei­gne­ments sur Alphonse Gras­ser, de Hoehn­heim (Bas-Rhin), qui serait rentré de capti­vité sovié­tique – de Tambov ? – en 1947.

Merci pour toute aide.

 Cour­riel de Charles Bohnert : charles.18@live.fr

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137e mercredi de Marlen­heim : Disparu / Vermisst

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137e mercredi de Marlen­heim :
Disparu / Vermisst

Est-il vivant ? Est-il mort ? Après 1945, les familles des Malgré-nous attendent un proche, parta­gées entre l’es­poir du retour et un deuil compliqué… Aujourd’­hui encore, les enfants et petits-enfants ne recherchent-ils pas leurs traces sur Inter­net ?
Jean Haube­nes­tel, l’au­teur de l’ou­vrage « Disparu/Vermisst », qui est déjà venu présen­ter aux mercre­dis de Marlen­heim l’aven­ture des jeunes Alsa­ciennes en place à Paris, a mené un long travail d’enquête auprès d’une centaine de familles de dispa­rus. Des témoi­gnages croi­sés avec des docu­ments d’époque. Il nous resti­tue dans ce livre une mémoire inédite.

137e Mercredi de Marlen­heim : soirée émou­vante en pers­pec­tive où Jean Haube­nes­tel évoquera une page tragique de l’his­toire de l’in­cor­po­ra­tion de force en Alsace.

 Mercredi 4 novembre 2009 à 20 h

 Disparu / Vermist

 Caveau de l’Hô­tel de ville de Marlen­heim

 Entrée libre

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METZGER Marcel

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Je cherche des rensei­gne­ments, témoi­gnages concer­nant mon père Marcel Metz­ger, né à Gren­del­bruch le 18/09/1928 et incor­poré de force en 1944 (il a servi dans la DCA à Pilzen). Et aussi sur mon grand-père Alphonse Metz­ger né à Shir­meck en 1891 et mort en 1946, qui je crois à été interné au camp de Shir­meck.

Je vous remer­cie et reste à votre dispo­si­tion pour d’éven­tuels éclair­cis­se­ments.

Patrice Metz­ger

 Cour­riel : patrice.metz­ger@g­mail.com

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Les Alsa­ciens-Mosel­lans dispa­rus du Pz. Gren. Ers. u. Ausb. Blt. 5 – Stet­tin, Kalisch

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Concerne :

* Feuer­bach René, né le 29.12.1924 à Bich­willer et y demeu­rant.
* Herold Albert, né le 20.08.1921 à Hangen­bie­ten et y demeu­rant.
* Kientz André, né le 30.10.1925 à Colmar et y demeu­rant.
* Klein Léo, né le 08.02.1925 à Metz et y demeu­rant.
* Kilbin­ger Georges, né le 12.04.1908 à Algrange et y demeu­rant.
* Knit­tel Marcel, né le 15.08.1919 à La Want­ze­nau et y demeu­rant.
* Scha­cher Lucien, né le 19.03.1919 à Mayence et demeu­rant à Mulhouse.
* Werner Alphonse, né le 07.05.1914 à Gross­blie­ders­dorf et demeu­rant à Nilvange.

 Nach­name: Feuer­bach

 Vorname: Rene

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 29.12.1924

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.07.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort: Polen

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 01.07.1944 vermißt.

 Nach­name: Herold

 Vorname: Albert

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 26.08.1921

 Geburt­sort: Hangen­bie­ten

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 29.09.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort: Stet­tin / Finken­walde bei Stet­tin /

 Gross Ziege­nort / Stol­zen­ha­gen /

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 29.09.1944 vermißt.

 Kilbin­ger Georges. D’après des listes de l’ASCOMEMO 39–45, Gérard Schutz indique (merci !) qu’il s’agi­rait a priori d’un volon­taire : (* 1908) – engagé – Panz. Gren. Ers. Bat. 5 – Stet­tin.

 Nach­name: Knit­tel

 Vorname: Marcel

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 15.08.1919

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.11.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort: Polen

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 01.11.1944 vermißt.

* Sur la liste du DRK, Marcel Knit­tel figure sur la liste du Pz. Gren. Ers. u. Ausb. Btl. Stet­tin, Btl. « Schnaks » u. Rgt. « Reite­meyer » Stet­tin. D’après les portraits figu­rant sur cette liste, ces unités étaient compo­sées d’hommes venant d’armes diverses : Heer, Luft­waffe, Waffen-SS.

 Nach­name: Scha­cher

 Vorname: Lucien

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 19.03.1919

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.10.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort: König­sberg / Ella­krug / Molchen­gen /
Nautz­ken /

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 01.10.1944 vermißt.

 Nach­name: Werner

 Vorname: Alfons

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 07.05.1914

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.01.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort: Skal­mier­zyce / Mora­win / Stawis­zyn

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 01.01.1945 vermißt.

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BANNWARTH Joseph, BILL Frédé­ric, SCHEID Lucien, SIEBERING Marcel & WAGNER Raymond

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BANNWARTH Joseph est né et demeu­rait à Stein­brunn-le-Haut.

Fiches du Volks­bund et du DRK (avec photo)

 Nach­name: Bann­warth

 Vorname: Josef

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 24.01.1920

 Geburt­sort: Ober­stein­brunn

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.02.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort: bei Sche­pe­towka, ca. 100 km westl. Schi­to­mir, Ukraine.

 Josef Bann­warth ist vermut­lich als unbe­kann­ter Soldat auf die Krieg­sgrä­berstätte in Kiew – Sammel­fried­hof (Ukraine) überführt worden.

jpg_1908_fhansicht_kiew1-2.jpgPhoto Volks­bund

BILL Frédé­ric est né et demeu­rait à Guns­bach.

Fiches du Volks­bund et du DRK (avec photo) :

 Nach­name: Bill

 Vorname: Frie­drich

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 22.02.1921

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.07.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort: Bludow / Horo­chow / Radi­chow / Stoja­now

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 01.07.1944 vermißt.

SCHNEID Lucien, né et demeu­rant à Metz.

SIEBERING Marcel, né à Sarre­gue­mines et habi­tant Stras­bourg.

 Nach­name: Siebe­ring

 Vorname: Marcel

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 30.04.1920

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.07.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort: Bohat­kowzi / Ober­tyn / Tarno­pol

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 01.07.1944 vermißt.

WAGNER Raymond, né et demeu­rant à Metz.

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jpg_SIEBERING_Marcel.jpg jpg_Wagner_Raymond.jpg

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ROTH Albert

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Annonce de décès d’Al­bert Roth (* 28.4.1918), tombé sur le front russe le 18.11.1943.

* Albert Roth ne figure pas dans la banque de données du Volks­bund. Merci à toutes personnes pouvant nous four­nir des infor­ma­tions sur son lieu de nais­sance et sur son parcours.

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BRINSTER Marcel

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Annonce du décès de Marcel Brins­ter, mort le 20.10.1943 sur le front de l’Est, à l’âge de 20 ans et 9 mois.

* Marcel Brins­ter ne figure pas dans la banque de données du Volks­bund. Merci à toute personne pouvant nous four­nir des infor­ma­tions sur son lieu de nais­sance et sur son parcours.

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