TORRELBA

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J’es­saie de recons­ti­tuer le parcours de mon oncle qui a séjourné à Tambow en 1945. Je recherche le nom de Torrelba qui figure sur sa carte de rapa­trié déli­vrée à Paris le 20/10/45. Il est mentionné sur cette carte « dernier lieu de déten­tion ou de travail en Alle­magne : Torrelba ».

Malgré toutes mes recherches, je n’ai trouvé ce nom nulle part. Quelqu’un peut-il m’ai­der à iden­ti­fier ce lieu ? Merci d’avance pour toute réponse.

Monique LUDWIG, Weyer­sheim

Cour­riel : moniqueet­char­les@ya­hoo.fr

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Disparu/Vermisst

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HAUBENESTEL Jean, Disparu/Vermisst. Familles d’Al­sace et de Moselle dans l’at­tente et l’an­xiété de 1945 à nos jours, chez l’au­teur, Stras­bourg, 2008.

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Entre deux fronts. Les incor­po­rés de force alsa­ciens dans la Waffen-SS, volume 2

Commentaire (0) 2008

MENGUS Nico­las, HUGEL André, Entre deux fronts. Les incor­po­rés de force alsa­ciens dans la Waffen-SS, 2e tome, Editions Pier­ron, Paris-Sarre­gue­mines, 2008, 581 pages.

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« Disparu/Vermisst » & « Entre deux fronts » II

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jpg_Haubenestel_Jean.jpg Jean Haube­nes­tel revient sur la tragé­die des non rentrés, de ceux qui sont toujours portés dispa­rus et dont la parenté espère encore, plus de 60 ans après la fin de la guerre, avoir des nouvelles, ne serait-ce que la loca­li­sa­tion d’une sépul­ture.

 Jean Haube­nes­tel, Disparu/Vermisst. Familles d’Al­sace et de Moselle dans l’at­tente et l’an­xiété de 1945 à nos jours, chez l’au­teur, 2008.

Contact : jean.haube­nes­tel@­wa­na­doo.fr

jpg_Entre_2_fronts_2.jpgAprès avoir retracé, dans le premier volume, le contexte histo­rique de l’in­cor­po­ra­tion de force des Alsa­ciens dans la Waffen-SS – non sans évoquer le cas des Mosel­lans -, André Hugel et Nico­las Mengus laissent la parole à une soixan­taine de témoins qui relatent leur vécu sur les fronts de Norman­die, d’Ita­lie ou encore de Hongrie.

 Nico­las Mengus, André Hugel, Entre deux fronts. Les incor­po­rés de force alsa­ciens dans la Waffen-SS, vol. 2, Editions Pier­ron, Paris-Sarre­gue­mines, 2008.

Contact: Editions Pier­ron 70, boule­vard de Sébas­to­pol, 75003 Paris / 2, rue Gutem­berg 57206 Sarre­gue­mines

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Étiez-vous à Stras­bourg le 3 septembre 1939 quand la guerre fut décla­rée ?

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APPEL A TEMOINS
POUR FILM DOCUMENTAIRE

Étiez-vous à Stras­bourg le 3 septembre 1939 quand la guerre fut décla­rée ?

La réali­sa­trice Martina Hall réalise un docu­men­taire sur ce jour précis avec le soutien de France 3, et la chaine de télé­vi­sion anglaise ITV, en parte­na­riat avec l’Im­pe­rial War Museum de Londres. Martina Hall souhaite rencon­trer ceux qui ont vécu cette jour­née, et qui veulent parta­ger souve­nirs, anec­dotes, photos ou films amateurs.

Pour tout contact avec la chaîne ITV, veuillez contac­ter Stépha­nie Pochet par email : stepha­nie.pochet@itv.com ou par télé­phone au 00 44 207 157 3305 ;
ou par cour­rier à l’adresse suivante : Stépha­nie Pochet, ITV, London Tele­vi­sion Centre, Upper Ground, SE1 9LT, Londres, Grande Bretagne.

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FELDPOSTNUMMER

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Si vous cher­chez à iden­ti­fier un secteur postal de l’ar­mée alle­mande (Feld­post­num­mer), M. Claude Herold se propose de vous y aider.

 Vous pouvez le contac­ter à l’adresse suivante : claude.herold@­wa­na­doo.fr

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Stalag IIIB de Fürs­ten­berg sur Oder

Commentaire (0) Contacts et liens

Nombreux sont les incor­poré(e)s de force ayant côtoyé des prison­niers de guerre français de 1940 lorsqu’ils étaient Malgré-Nous. Il nous a donc paru inté­res­sant de faire connaître le site suivant :

Stalag IIIB de Fürs­ten­berg sur Oder – Histoire et loca­li­sa­tion du Stalag IIIB et des arbeit-komman­dos ratta­chés http://stalag3b.free.fr/

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Depuis la Norman­die, une recherche de familles de Malgré-Nous

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Dans le dépar­te­ment de la Manche, à Gouville-sur-Mer – commune située à 12km de Coutances -, entre le 20 et le 28 juillet 1944 sur le chemin de mon domi­cile, j’ai conversé avec deux soldats. Ils étaient sous l’uni­forme alle­mand. J’avais 9 ans. Voici ce dont je me souviens très approxi­ma­ti­ve­ment.

C’est un des deux soldats qui m’adressa la parole en me disant, dans un français, qui, si je ne m’abuse était sans accent :
– Tu n’es pas à l’école ?
– Non, il n’y a plus d’école depuis le 6 juin, car les Améri­cains sont débarqués.
– Ça, on le sait bien, mais travailles-tu bien en clas­se… ? Et de me poser l’un et l’autre et sans accent, des ques­tions sur ce que j’avais appris.
Ils connais­saient, les mêmes chan­sons que moi, les mêmes contes, les mêmes réci­ta­tions… !

Je ne puis dire combien cette rencontre dura ! Ce dont je me souviens, c’est mon éton­ne­ment et aussi d’avoir couru jusqu’à mon domi­cile en imagi­nant mille choses.
En arri­vant à la maison, remplie de réfu­giés venus du nord de notre dépar­te­ment, je racon­tais à mon père la rencontre que je venais de faire avec ces soldats parlant si bien le français…. ! Et sachant surtout les mêmes choses que moi…. ?!?!
Proba­ble­ment pour être entendu de toutes les personnes présentes dans la pièce commune, mon père éleva la voix et dit : « Ce ne sont pas des Alle­mands, ce sont des Alsa­ciens. Des pauvres gars, ils sont plus français que nous. Ils ont été mis dans les pattes des Boches par Pétain et Laval » !! Il parla aussi des colla­bo­ra­teurs, du marché noir et aussi de diffé­rents faits auxquels je n’en­ten­dais pas grand chose.

Dominé par les effets que les propos de mon père eurent sur moi, je repar­tis chez Jean-Baptiste Ybert, au village du Hame­let, où les deux soldats en limite de sa cour m’avaient parlé.
J’en­trais ; personne de la famille Ybert. C’était, je suppose, l’heure de la traite. Mais dans la pièce, située à droite en entrant, devant l’âtre, assis comme pour se chauf­fer les pieds, était un de ces soldats. Il était en tenue de guerre (comme nous disions). Son fusil était appuyé sur le jambage de la chemi­née. Son casque était pendu à son bras gauche. Je voyais le soldat de dos.
L’été au bord de la mer, nous marchions toujours pieds-nus. Il ne dut pas m’en­tendre, mais moi je l’en­ten­dis fredon­ner une chan­son «  Séré­nade sans espoir » que Rina Ketty avait fait connaître. Cette chan­son, mon frère la chan­tait aussi. Agé de 21 ans, mon frère, le 17 juillet 1944, partit avec cinq compa­gnons, sur une barque de pêche, rejoindre par la mer les Améri­cains. Ils débarquèrent en un lieu, situé au dessus de la ligne de front, dans la presqu’île du Coten­tin.
Je m’ap­pro­chais du soldat. Je vis qu’il avait les yeux inon­dés de larmes alors qu’il fredon­nait toujours.
Me suis-je appro­ché ? Je ne puis me le rappe­ler. Ce dont je me souviens, c’est qu’il me pressa contre lui et aussi que j’avais la main gauche dans son casque. Au fond du casque, était quelque chose de moel­leux, des gants de laine peut-être ?
Combien durèrent ces instants ? Quelques minutes, il me semble ! Un camion s’ar­rêta devant la cour. Le soldat se préci­pita et monta à l’ar­rière.
Le camion allait en direc­tion du front situé depuis plusieurs jours entre Lessay et La Haye-du-Puits, soit à 15 ou 20 km de Gouville-sur-Mer.

Jamais nous ne revîmes les deux soldats. Mon père disait : « Ils ont été chan­gés de secteur, ils parlaient avec les gens ». Leur absence m’af­fec­tait. J’ai toujours pensé qu’ils avaient été tués et aussi que mon père ne voulait pas me voir en peine.
Le soldat qui m’étrei­gnit, était, il me semble, plus jeune que mon frère. Donc, il ne pouvait avoir un fils de mon âge. Quelques années plus tard, et surtout au moment et après le procès de Bordeaux, j’ai pensé et je pense encore que cet incor­poré de force avait un petit frère de mon âge, et qu’il l’avait vu en moi. Alors, si je pense juste, ce petit frère est aussi le mien, c’est donc lui ou sa famille que je recherche.
Nous ne connais­sions ni le prénom, ni le nom, ni l’unité à laquelle appar­te­naient ces soldats, cepen­dant je caresse l’es­poir d’avoir un jour – et ce n’est pas un rêve de gosse – une rencontre avec la ou les familles de ces deux Malgré-Nous et donc de satis­faire un désir vieux de 55 ans : faire la connais­sance de mon « frère Alsa­cien ».

Mon père savait beau­coup sur l’Al­sace, non parce qu’en 1917–1918 il avait été face à des « Français d’Al­sace » disait-il, mais parce que d’une tran­chée à une autre ils parlaient et échan­geaient.

De plus, à Gouville-sur-Mer était un épicier : Monsieur HARTMANN, un Alsa­cien. Il rendit d’im­menses services pendant l’Oc­cu­pa­tion. Ne parlait-il pas le français, l’al­sa­cien et l’al­le­mand? Après la guerre et jusqu’à la fin des années 50, Monsieur HARTMANN était aussi taxi. Il est proba­ble­ment allé termi­ner sa vie en Alsace. Avait-il des enfants ?
En 1945 ou 1946, en été, Madame HARTMANN me demanda d’ame­ner son neveu à la plage. Son neveu avait à peu près mon âge. Il ne parlait pas un mot de français. Ce dont je me souviens c’est qu’il riait faci­le­ment de nos facé­ties. Nous sommes allés plusieurs fois à la plage. Nous y retrou­vions les autres enfants de nos âges et restions de longs moments à jouer.

Et si, ce neveu de Monsieur et Madame HARTMANN lisait ces lignes …… ?!?!

Jean BÉZARD

Cour­riel : aubertn@­wa­na­doo.fr

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EBEL Louis

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

prêtre (* Schil­ti­gheim, Bas-Rhin, 26.11.1920 + 31.10.2007). Entré au Grand Sémi­naire de Stras­bourg en 1938, il est incor­poré de force dans l’Ar­mée alle­mande et fait prison­nier par les Améri­cains. Cette période de sa vie a défi­ni­ti­ve­ment miné sa santé. Il est ordonné prêtre en 1946.

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NOACK Eugène

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

illus­tra­teur, peintre (* Colmar, Haut-Rhin, 2.1.1908 + 29.9.1985). Marié en 1947 à Germaine Eugé­nie Reymond, ancienne Malgré-Elle. Incor­poré de force, Eugène Noack est envoyé sur le front en Yougo­sla­vie.

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