HOLVECK André

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

Etudiant (* Engen­thal, Bas-Rhin, 17.11.1924).

Il effec­tue son RAD à Kircha­horn du 22.10.1942 au 28.12.1942, avant d’être incor­poré dans la Wehr­macht du 13.01.1943 au 25.10.1945. Il sera engagé en Russie et en Pologne.

Il est capturé le 15.01.1945 à Narev (Pologne) et sera prison­nier au camp de Tambov.

Il est de retour le 25.10.1945.

Rensei­gne­ments commu­niqués par André Holveck lui-même.

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LOEFFLER Marcel

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

jpg_LoefflerMarcel.jpgInsti­tu­teur (* Stras­bourg, Bas-Rhin, 15.02.1914). Marié à Thérèse Loef­fler; une fille, Béatrice.

Il sert dans l’Ar­mée Française, 8ème Régi­ment des Zouaves, à partir du 24.04.1935. Il sera nommé capo­ral le 16.10.1935. Il sert ensuite dans le 34ème Régi­ment d’In­fan­te­rie où il sera sergent-chef, puis dans le 34ème RIF le 24.08.1939.

Il habite Stras­bourg au moment de son incor­po­ra­tion de force dans la Wehr­macht. Il sera engagé en Russie.
• 21.05.1943: Stamm.Kp/Gren.Ers.Ausb.Btl 186.
• 9.06.1943: 10. Kp/Feld.Ausb.Rgt 718.
• 17.08.1943: 5 Kp/Gren.Rgt 463.

L’Unter-Offi­zier Loef­fler est porté disparu le 9.10.1943 à Waulino (Russie). Il figure sous le n°3215 du Recueil photo­gra­phique des dispa­rus du Bas-Rhin (1948).

Rensei­gne­ments commu­niqués par Béatrice Clark-Reudl, fille de Marcel Loef­fler.

Claude Herold nous a aima­ble­ment commu­niqué la fiche du Volks­bund :

 Nach­name: Löffler

 Vorname: Marcel

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 15.02.1914

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.10.1943

 Todes-/Vermiss­te­nort: Newel 100 km nörd­lich Witebsk / Geras­si­mowa / Kotowo / Wodja­niki

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 01.10.1943 vermißt.

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GEHRINGER Alois

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jpg_Gehringer_Alois.jpgBûche­ron (* Esch­bourg, Bas-Rhin, 9.10.1911). Il habite Esch­bourg au moment de son incor­po­ra­tion de force et a été engagé en Russie. Il est porté disparu.

Fiche Wast :

  Dien­stein­tritt und Grad: nicht verzeich­net.

 Erken­nung­smarke: –2752-St,Kp,/G.E.B.475.

 Lt Meldung v. Januar 1944 Stamm-Kompa­nie/Grena­dier-Ersatz-Bataillon 475.

 11.02.1944 1.Batte­rie/Artille­rie-Regi­ment-Ausbil­dungs-Abtei­lung 40, Dres­den.

 24.08.1944 7.Batte­rie/Artille­rie-Regi­ment 1558

 Zugang: v. Marsch-Batte­rie/Artille­rie-Ersatz-Abtei­lung 40, Baut­zen.

Ein vermist-bzw, Gefan­gen­nen- oder Todes­mel­dung liegt nicht vor.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Armand Gehrin­ger, fils et orphe­lin d’Alois Gehrin­ger.

Claude Herold nous a aima­ble­ment commu­niqué la fiche du Volks­bund :

 Nach­name: Gehrin­ger

 Vorname: Alois

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 09.10.1911

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:

 Todes-/Vermiss­te­nort: Augus­tow

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit vermißt.

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KIENTZI Joseph

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jpg_KientziJoseph.jpgCoif­feur (* Bernard­swiller, Bas-Rhin, 15.10.1914). Marié à Hilde Pammers­ber­ger.

Il sert dans l’Ar­mée Française en tant que volon­taire au 11ème Régi­ment de Zouaves à Casa­blanca (Maroc) de 1934 à 1936.

Il effec­tue son RAD en 1942 à Karls­ruhe avant d’être incor­poré dans la 335e Infan­te­rie-Divi­sion en Bessa­ra­bie Molda­vie) en août 1943. Il habite Bernard­swiller au moment de son incor­po­ra­tion. Il dispa­raît en août 1944 en Molda­vie.

Rensei­gne­ments commu­niqués par le neveu de Joseph Kientzi, frère cadet de Charles Kientzi.

 Lien vers Mémo­rial GenWeb trans­mis par Gérard Schutz : http://www.memo­rial-genweb.org/~memo­rial2/html/fr/result­com­mune.php?pays=France&idsource=5976&insee=67031&dpt=67&table=bp01

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NELL Laurent Joseph

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

jpg_NellLaurent.jpgCoif­feur (* Marlen­heim, Bas-Rhin, 17.08.1921). Du 9.10.1942 au 30.12.1942, il effec­tue son RAD. Il habite Marlen­heim lorsqu’il est ensuite incor­poré dans la Wehr­macht du 14.01.1943 au 20.06.1945. Il accède au grade de capo­ral le 1.10.1943 et sera décoré de la médaille du blessé le 15.06.1944.

D’après les recherches effec­tuées dans les Archives de la Wehr­macht:
• 14.01.1943: Incor­poré dans la Wehr­macht2. Sanitäts-Ers.Abt. 5, Ulm.
• 31.12.1943: Muté au 3./Gren.Rgt.1028, anc. 2./Gr.Rgt.735.
• 31.05.1944: Griè­ve­ment blessé par éclats d’obus à la cuisse droite avec frac­ture près d’Ar­tena (Italie), trans­féré au parc sani­taire.
• 1.06.1944: Hospi­ta­lisé au Res.Laz.Brünn jusqu’au 5.09.1944.
• 24.03.1945: Blessé par éclats d’obus à la jambe droite, au pied gauche et au dos près d’Obe­rhof.

« Toutes demandes de pension d’in­va­li­dité reje­tées par les Auto­ri­tés Françaises en date du 30.11.1956 ».

Il est décédé le 18.03.1998 et inhumé à Marlen­heim.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Jean-Claude Nell, fils de Laurent Nell.

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KOLB Edouard Atha­nase

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

jpg_KolbEdouard-2.jpgDroguiste (* Riedi­sheim, Haut-Rhin, 2.12.1914). Il habite Riedi­sheim au moment de son incor­po­ra­tion au 22e Regi­ment 383 Divi­sion (Front­num­mer 46.443 E). Il est engagé sur le Front de l’Est d’où il ne revien­dra pas. Sa dernière lettre a été reçu le 23.06.1944. Les circons­tances de son décès restent incon­nues. Il avait le grade de Gefrei­ter.

Le Tribu­nal de Grande Instance de Mulhouse, par juge­ment du 5.05.1960, fixe la date et le lieu de son décès au 1.06.1945 sur le Front de l’Est.

Il est déclaré « Mort pour la France » le 30.09.1960.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Marie-Odile Rott­ner, nièce d’Edouard Kolb

Claude Herold nous a aima­ble­ment trans­mis la fiche du Volks­bund :

 Nach­name: Kolb

 Vorname: Eduard oder Edouard

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 02.12.1914

 Geburt­sort: Riedi­sheim

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 12.03.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 12.03.1944 vermißt.

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HEILI Louis Aloyse et Paul

Commentaire (0) Liste des non rentrés, Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

jpg_HeiliLouis_portrait.jpgCuisi­ner (* Wasse­lonne, Bas-Rhin, 21.05.1916). Marié à Marie Witt­mann, rema­riée Debus; un fils, Jean-Louis. Il effec­tue son service mili­taire au 67e RI de Sois­sons. Il effec­tue ensuite le RAD du 20.05.1943 au 12.08.1944. Il est incor­poré dans la Wehr­macht, dans la 1. Stamm-Bttr/lei. Artl. Ers. Abt. 9 – 2. Bttr/Artl. Rgt. 139 à Franc­fort/Main. Soldat de 1ère classe, il est porté disparu, d’après les recherches de la Croix Rouge, le 12.08.1944 dans le secteur de Kischi­nev (Bessa­ra­bie).

Louis Heili figure sous le n°1954 du Recueil photo­gra­phique des dispa­rus du Bas-Rhin (1948).

Rensei­gne­ments commu­niqués par Jean-Louis Heili, fils de Louis Aloyse Heili.

 

* Claude Herold nous a aima­ble­ment trans­mis la fiche du Volks­bund :

Nach­name: Heili

Vorname: Ludwig

Dienst­grad:

Geburts­da­tum: 21.05.1916

Geburt­sort: Wasseln­heim

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 12.08.1944

Todes-/Vermiss­te­nort:

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 12.08.1944 vermißt.

Son frère Paul Heili (* Wasse­lonne, Bas-Rhin, 3.7.1922) était scola­risé au lycée St-Joseph d’Epi­nal (Vosges) en 1939. A la decla­ra­tion de guerre, le lycée a renvoyé les élèves chez eux. Paul Heili fait le trajet Epinal-Wasse­lonne à pied, puis à Vélo à partir de Bertri­champs. Il effec­tue le RAD du 8.10 au 30.12.1942. Incor­poré de force dans la Wehr­macht le 13.1943, il est engagé dans les marais du Pripet, près de Minsk, puis en France. Il est fait prison­nier par les Améri­cains le 3.8.1944 en Norman­die. Il est remis aux Anglais le 27.8.1944, puis aux auto­ri­tés françaises le 4.10.1944 où il a droit à un petit discours de la Croix-Rouge : « Vous, les Alsa­ciens, vous êtes des merce­naires non couverts par la Conven­tion de Genève » (!!). Il s’en­gage volon­tai­re­ment dans l’ar­mée française (jusqu’à ce qu’il soit reconnu article 115), puis il a travaillé au Minis­tère des Armées à Nancy jusqu’a sa mort en 1980.

Rensei­gne­ments trans­mis par la fille de Paul Heili.

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ADAM Victor

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

jpg_AdamVictor.jpgagri­cul­teur (* La Want­ze­nau, Bas-Rhin, 24.12.1912). Marié à Berthe Bonn; un fils, René et une fille, Denise. Il habi­tait à La Want­ze­nau au moment de son incor­po­ra­tion de force dans la Wehr­macht en 1944. Il est fait prison­nier à Schon­walde (Prusse orien­tale) le 26.01.1945 et mort pour la France le même jour.

Rensei­gne­ments commu­niqués par René Adam, fils de Victor Adam.

* Fiche du DRK trans­mise par Claude Herold :

 Victor Adam wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt.

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Szczesne – Polen

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:
Adam

 Vorname:
Victor

 Geburts­da­tum:
24.12.1912

 Geburt­sort:
Want­ze­nau

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
26.01.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort:
b. Schön­walde / Ostpr.

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OTT Joseph et Antoine

Commentaire (1) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

Joseph est né en 1921 à Ohlun­gen (Bas-Rhin). Il a disparu à Orel (Russie) en juin 1944.

Antoine est né en 1922 à Ohlun­gen. Il est mort à Swerd­lowka le 9.01.1944.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Alfred Ott (* 20.05.1928), le frère de Joseph et d’An­toine.

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HEITMANN René

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

jpg_HeitmannRene.jpgtour­neur (* Hoen­heim, Bas-Rhin, 11.09.1919).
Il est mobi­lisé en tant que 2ème classe à Dijon, au Dépôt d’In­fan­te­rie n°81, le 15.04.1940. Le 15.06.1940, il est fait prison­nier à Chalons-sur-Sâone et sera libéré comme Alsa­cien-Lorrain le 29.07.1940.
Il habi­tait à Hoen­heim (Bas-Rhin) au moment de son incor­po­ra­tion de force dans la Wehr­macht (Infan­te­rie) à Heil­bronn le 25.10.1944. Il est versé dans la Stamm. Kp.-Panzer­gre­na­dier-Ers. Btl. 3 le 12.12.1944. Il part pour le front à Ebers­walde près de Berlin en janvier 1945. Il est fait prison­nier le 15.04.1945 à Kustrin (Alle­magne) par l’Ar­mée russe où il sera détenu, avant d’être trans­féré en Pologne, Ural, Sibé­rie (Russie). Il est de retour le 9.05.1946.

Rensei­gne­ments commu­niqués par Bernard Heit­mann, fils de René Heit­mann.

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