RICHERT Henri et MEHL Roger, REBMANN Albert

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Richert_Henri_ADEIF.jpg Je recherche des rensei­gne­ments sur mon oncle RICHERT Henri, né le 02.07.1926 et domi­ci­lié à Preu­sch­dorf lors de son incor­po­ra­tion.

Sa dernière adresse connue est la FPN 11421 C dans la Nieder­lau­sitz (ce qui est confirmé par la lettre du DRK- Such­dienst du 02.03.2015 : « letzte eigene Nachricht : ohne Datum­san­gabe aus der Nieder­lau­sitz« ). Si je me suis bien rensei­gné la Nieder­lau­sitz, en 1944, était une région compre­nant une partie de la Pologne et de l’Al­le­magne et située géogra­phique­ment à l´ouest de la région d´Abramy et de Zambrow où mon oncle a été blessé.

En 1957, il est déclaré décédé le 31.8.1944 en Litua­nie et reconnu « mort pour la France ».

Le dossier du BAVCC nous apprend :

Mon oncle a éte incor­poré dans l´ar­mée alle­mande le 23.02.1944. Il est venu à son domi­cile, en permis­sion, au mois de mai 1944 (dernière appa­ri­tion à son domi­cile).
Il a éte muté le 5.8.1944 à la 6e compa­gnie du Gren.-Regt. 428 de la 129e D.I. (SP 43189 C).
Il a été griè­ve­ment bléssé Le 24.08.1944 à Abramy, près de Zambrow, à 50 km de Varso­vie) par un éclat d´obus à la main gauche et évacué au parc sani­taire.
Dans le docu­ment « Demande de régu­la­ri­sa­tion de l´état civil  » du 03.12.1946, il est fait mention d´un paquet que ma famille aurait recu du non-rentré, en septembre 1944, avec la remarque « Verwun­det« .

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Chose curieuse : la WAST indique qu’il a été dirigé sur le Grena­dier-Esatz- Bataillon 116 à la date du 3.11.1944.

Toute infor­ma­tion complé­men­taire qui pour­rait m’être trans­mise serait la bien­ve­nue.

Merci pour toute aide.

Jean-Michel RICHERT

 Jean-Michel.Richert@gmx.de

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* Complé­ments trans­mis par Claude Herold :

 Il n’est pas réper­to­rié au VDK.

 La FPN 11421 C corres­pond à la 6e Kompa­nie du Grena­dier Regi­ment 428 qui était subor­don­née à la 129e Infan­te­rie-Divi­sion. Cette divi­sion est enga­gée sur le front de l’Est en 1943 (Brjansk, Mogi­lew, Witebsk). Après avoir été anéanti à Bobruisk et Bara­no­wit­schi, le régi­ment est à nouveau recom­posé, en même temps que le reste de la divi­sion (fin juillet 1944). La divi­sion combat en Prusse orien­tale en 1945.

* Dans la 6e compa­gnie du Grena­dier-Regi­ment 428 ont égale­ment été portés dispa­rus Roger Mehl (* 20.7.1926) et Albert Rebmann (* 25.5.1926). Sur Albert Rebmann, voir aussi sur ce site : http://www.malgre-nous.eu/spip.php?arti­cle3074

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* Fiches du VDK trans­mises par Claude Herold :

Mehl Roger, né et demeu­rant à Hague­nau

 Roger Mehl

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Roger Mehl seit 01.08.1944 vermisst.

 In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Stare Czar­nowo haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

 Nach­name:Mehl

 Vorname:Roger

 Geburts­da­tum:20.07.1926

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:01.08.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:Polen

Rebmann Albert, né et demeu­rant à Mors­bronn

 Albert Rebmann

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Albert Rebmann­seit vermisst.

 In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Stare Czar­nowo haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

 Nach­name:Rebmann

 Vorname:Albert

 Geburts­da­tum:25.05.1926

 Todes-/Vermiss­te­nort:Polen

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Ques­tion écrite n° 14145 de M. Claude Kern (Bas-Rhin – UDI-UC)

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M. Claude Kern attire l’at­ten­tion de M. le secré­taire d’État, auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combat­tants et de la mémoire sur l’iné­ga­lité de trai­te­ment que subissent les orphe­lins de réfrac­taires et de « Malgré-nous ».

Le camp de redres­se­ment de Schir­meck et le camp de concen­tra­tion de Stru­thof-Natz­willer font partie des lieux d’in­ter­ne­ment des Alsa­ciens-Mosel­lans réfrac­taires et des familles des réfrac­taires à l’in­cor­po­ra­tion de force dans l’ar­mée nazie. Ces faits ont été quali­fiés comme un crime contre l’hu­ma­nité par le tribu­nal mili­taire inter­na­tio­nal de Nurem­berg, qui a égale­ment quali­fié l’in­cor­po­ra­tion de force dans une armée étran­gère comme un crime de guerre.

L’Al­sace et la Moselle étaient « annexées de fait » sans aucun accord inter­na­tio­nal dans le IIIe Reich nazi. Au regard du droit inter­na­tio­nal, l’Al­sace-Moselle et sa popu­la­tion étaient ainsi françaises au moment même où ces crimes ont été commis. Et pour­tant, les orphe­lins de ces victimes des crimes de guerre et de crimes contre l’hu­ma­nité sont toujours exclus du dispo­si­tif d’in­dem­ni­sa­tion prévu par le décret n° 2004–751 du 27 juillet 2004 insti­tuant une aide finan­cière en recon­nais­sance des souf­frances endu­rées par les orphe­lins dont les parents ont été victimes d’actes de barba­rie durant la Deuxième Guerre mondiale. En effet, celui-ci vise exclu­si­ve­ment les orphe­lins français ou étran­gers dont les parents ont été victimes de la barba­rie nazie. Cette iniquité est vécue par ces orphe­lins de parents réfrac­taires ou « Malgré-nous » décé­dés ou dispa­rus comme une grave injus­tice. Dans la réponse publiée au Jour­nal offi­ciel du 8 octobre 2013 à la ques­tion n° 31 378 (Assem­blée natio­nale), il était indiqué que ces victimes seraient décé­dées « au cours ou des suites du service », ce qui impli­ci­te­ment suppose que la présence de Français de Moselle et d’Al­sace était légi­ti­me­ment sous uniforme alle­mand ; cette analyse étant un déni de l’His­toire. Ainsi, en plus de l’ex­clu­sion des orphe­lins alsa­ciens-mosel­lans de ce dispo­si­tif, cette réponse est vécue comme un rejet de la part de l’État.

Afin de panser les plaies pour œuvrer à la concorde natio­nale il est néces­saire de revoir ce dossier en donnant, dans un premier temps la recon­nais­sance de la Nation, après la recon­nais­sance du président de la Répu­blique à Colmar en 2010 de l’épreuve atroce des « Malgré-nous », à ces caté­go­ries d’or­phe­lins de guerre et pupilles de la Nation au même titre que les autres caté­go­ries victimes de la barba­rie nazie en géné­ral. Il convien­drait par ailleurs d’ou­vrir le dispo­si­tif d’in­dem­ni­sa­tion aux enfants orphe­lins des victimes réfrac­taires ou enrô­lées de force dans les troupes du III Reich.

Ainsi, il souhaite savoir dans quels délais le Gouver­ne­ment entend élar­gir l’ac­cès à cette indem­ni­sa­tion pour réta­blir l’éga­lité de trai­te­ment entre tous les orphe­lins et pupilles de la Nation.

Réponse du Secré­ta­riat d’État, auprès du minis­tère de la défense, chargé des anciens combat­tants et de la mémoire publiée dans le JO Sénat du 02/04/2015 – page 749

L’an­nexion de fait de l’Al­sace et de la Moselle par le IIIème Reich a comporté notam­ment l’in­cor­po­ra­tion forcée de jeunes Français dans l’ar­mée alle­mande. Le secré­taire d’État chargé des anciens combat­tants et de la mémoire mesure plei­ne­ment l’éten­due du drame vécu par ces mili­taires et leurs familles au cours de la Seconde Guerre mondiale et souhaite rappe­ler que la France a reconnu leur situa­tion. En effet, l’ar­ticle L. 231 du code des pensions mili­taires d’in­va­li­dité et des victimes de la guerre (CPMIVG) dispose que les anciens mili­taires alsa­ciens et lorrains de la guerre 1939–1945, Français, soit par filia­tion, soit par réin­té­gra­tion, en vertu de la loi du 5 août 1914, soit en exécu­tion du traité de Versailles, béné­fi­cient, ainsi que leurs ayants cause, de la légis­la­tion sur les pensions mili­taires d’in­va­li­dité pour les services accom­plis dans les armées de l’Al­le­magne ou de ses alliés. L’ar­ticle L. 232 du même code précise que ces anciens mili­taires, incor­po­rés de force par voie d’ap­pel, ainsi que leurs ayants cause, ont droit à pension dans les condi­tions fixées par le livre Ier du CPMIVG et, éven­tuel­le­ment, à toutes allo­ca­tions, indem­ni­tés, majo­ra­tions et supplé­ments de majo­ra­tions pour infir­mité résul­tant de bles­sures reçues, d’ac­ci­dents surve­nus, de mala­dies contrac­tées ou aggra­vées par le fait ou à l’oc­ca­sion du service.

En tout état de cause, la notion de service, telle qu’elle résulte de ces dispo­si­tions, ne saurait lais­ser suppo­ser, même impli­ci­te­ment, que les Français d’Al­sace et de Moselle ont servi légi­ti­me­ment dans les rangs de l’ar­mée alle­mande, mais ne fait que traduire l’ac­ti­vité mili­taire de ceux d’entre eux ayant été incor­po­rés de force dans cette armée au cours du conflit en cause. Ainsi, les orphe­lins des « Malgré-nous » ont pu prétendre à un droit à répa­ra­tion confor­mé­ment aux dispo­si­tions de l’ar­ticle L. 232 du CPMIVG. Par ailleurs, les ayants cause des Alsa­ciens et Mosel­lans réfrac­taires à l’in­cor­po­ra­tion forcée dans l’ar­mée alle­mande ont égale­ment pu se voir accor­der un droit à pension en appli­ca­tion de l’ar­ticle L. 301 du CPMIVG. Il convient d’ajou­ter que tous les orphe­lins de guerre, quel que soit leur âge, sont ressor­tis­sants de l’Of­fice natio­nal des anciens combat­tants et victimes de guerre et peuvent béné­fi­cier, à ce titre, de l’as­sis­tance de cet établis­se­ment public, dispen­sée notam­ment sous la forme d’aides ou de secours en cas de mala­die, absence de ressources ou diffi­cul­tés momen­ta­nées.

Cepen­dant, le dispo­si­tif d’in­dem­ni­sa­tion mis en place par les décrets n° 2000–657 du 13 juillet 2000 insti­tuant une mesure de répa­ra­tion pour les orphe­lins dont les parents ont été victimes de persé­cu­tions anti­sé­mites et n° 2004–751 du 27 juillet 2004 insti­tuant une aide finan­cière en recon­nais­sance des souf­frances endu­rées par les orphe­lins dont les parents ont été victimes d’actes de barba­rie durant la Deuxième Guerre mondiale, répond à une situa­tion tout à fait spéci­fique. En effet, c’est fonda­men­ta­le­ment l’ex­trême inhu­ma­nité des persé­cu­tions et des crimes nazis, et un trau­ma­tisme, celui de la dépor­ta­tion, dépas­sant le strict cadre d’un conflit entre États, qui sont à l’ori­gine de la créa­tion du dispo­si­tif en cause. Ce dispo­si­tif doit rester fidèle à sa justi­fi­ca­tion essen­tielle qui est de consa­crer solen­nel­le­ment le souve­nir des victimes de la barba­rie nazie, à travers leurs enfants mineurs au moment des faits.

C’est pourquoi le Gouver­ne­ment a décidé de main­te­nir cette spéci­fi­cité pour ne pas porter atteinte à la cohé­rence des deux décrets. Néan­moins l’exa­men de plusieurs dossiers a laissé appa­raître la diffi­culté d’ap­pliquer des critères stricts à des situa­tions extrê­me­ment diverses. La mise en œuvre de ces critères doit donc s’opé­rer de manière éclai­rée, afin de donner aux deux décrets leur pleine portée, dans le respect de leur ambi­tion initiale d’in­dem­ni­ser la souf­france des orphe­lins dont les parents ont été frap­pés par cette barba­rie.

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A propos du docu­men­taire « Das Reich » : Lettre de Philippe Richert, président de la Région Alsace, à Rémy...

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Lettre de Philippe Richert, président de la Région Alsace, à Rémy Pflimlin, président directeur général de France Télévisions

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La libé­ra­tion de C(K)olmar vue par un enfant de choeur

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L'Alsace du 2.2.15

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DURRHAMMER Frédé­ric

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Je tente de recher­cher des infor­ma­tions sur mon grand-père, Frédé­ric DURRHAMMER, né le 02 septembre 1921 à Gamb­sheim (67760), enrolé dans l’ar­mée alle­mande et mort au front en Russie en janvier 1944. Il était marié avec Marie née RIEDINGER et a 1 fils unique, Frédé­ric Robert DURRHAMMER, né le 26.09.1943.

Je vous remer­cie par avance pour toutes les infor­ma­tions que vous pour­rez me trans­mettre.

Véro­nique GOEPP

 verotc@b­box.fr

* D’après Claude Herold, il n’est pas réper­to­rié au Volks­bund.

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BOGNER Alphonse

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bogner_alphonse_adif.jpg Je suis à la recherche de rensei­gne­ments concer­nant mon grand-père, BOGNER Alphonse, né le 23 aout 1908 à Kalten­bourg (Alsace) qui a disparu durant la Seconde Guerre mondiale. Il habi­tait à Leuten­heim et était marié à Hoch­ne­del Augus­tine.

Merci d’avance pour tous rensei­gne­ments.

Régine Busch

 beb-reg@­neuf.fr

* Fiche du VDK trans­mise par Claude Herold :

 Alfons Bogner

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Alfons Bogner­seit 01.11.1944 vermisst.
In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Laurahütte / Siemia­no­wice haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

 Nach­name:
Bogner

 Vorname:
Alfons

 Geburts­da­tum:
23.08.1908

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
01.11.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:
Krakau / Saybusch

FPN 59264 D = 3eme Compa­gnie, Felder­satz Bataillon 371.

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RIEHL Charles

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riehl_charles.jpg Au moment de sa dispa­ri­tion en Rouma­nie, il appar­te­nait à la 2. SS Vete­rinär Kompa­nie de la 8e SS-Divi­sion (FPN 36850).

Merci pour tout rensei­gne­ment complé­men­taire sur son parcours.

 info@­malgre-nous.eu

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ESCHRICH Alphonse & KEMPF Paul

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Ils appar­te­naient tous les deux à la SS Sanitär-Abtei­lung 8 au moment de leur dispa­ri­tion.

Merci pour tout rensei­gne­ment.

 info@­malgre-nous.eu

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FISCHER Nico­las & MEYER Aloïse

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fischer_nicolas_drk.jpgmeyer_aloise.jpg

Ils appar­te­naient tous les deux aux 1,3, 7 et 8 Fahr­kol. de la SS Nach­schub Trupp 8 lorsqu’ils ont disparu en Hongrie.

Merci pour tout rensei­gne­ment !

 info@­malgre-nous.eu

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Charles SICK, Rein­hard SCHNABEL, Erwin KLEBER, Théo­dore HOPF

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J’ai plusieurs victimes trou­vées sur le cime­tière de Plou­da­niel-Lesne­ven (Finis­tère) qui me posent problème. A noter que ces infos me parviennent de Monsieur Alain Floch, cher­cheur en ce qui concerne les évene­ments de la libé­ra­tion de la Bretagne.

Je voudrais savoir si ces victimes sont incor­po­rés en tant qu’Al­sa­ciens-Mosel­lans ou s’il s’agit de personnes nées en Alsace-Moselle, mais de souche alle­mande et, par consé­quent, expul­sées en 1919 quand l’Al­sace-Moselle a été ratta­chée à la France ?

Pour le premier il s’agis­sait d’un camion du parc auto de la Marine, conduit par un marin, et trans­por­tant 4 para­chu­tistes de la 2e Divi­sion Ramcke. Tous les 5 ont été attaqués et tués par la Résis­tance. Je ne sais pas lequel d’entre eux était le marin. Charles Sick était origi­naire de L’Ho­pi­tal.

 Karl Sick ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Plou­da­niel-Lesne­ven.

 Endgra­blage: Block 7 Reihe 8 Grab 200

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:Sick

 Vorname:Karl

 Dienst­grad:Ober­ge­frei­ter

 Geburts­da­tum:31.10.1918

 Geburt­sort:Spit­tel

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:14.07.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:Carhaix

Pour le 2e, Rein­hard Schna­bel,tombé le 02.11.1943 devant la pointe Saint-Matthieu près du Conquet, était Marine-Gefrei­ter à bord du Vorpos­ten-Boot 719 (7 morts en tout).

 Rein­hard Schna­bel ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Plou­da­niel-Lesne­ven.

 Endgra­blage: Block 8 Reihe 2 Grab 54

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:Schna­bel

 Vorname:Rein­hard

 Dienst­grad:Ober­ge­frei­ter

 Geburts­da­tum:26.02.1910

 Geburt­sort:Metz

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:02.11.1943

 Todes-/Vermiss­te­nort:Brest – St. Mathieu

Pour le 3e, Erwin Kleber, il est mort en octobre 1944 peut-être en tant que prison­nier, car Brest était libéré depuis septembre.

 Erwin Kleber ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Plou­da­niel-Lesne­ven.

 Endgra­blage: Block 8 Reihe 11 Grab 326

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:Kleber

 Vorname:Erwin

 Geburts­da­tum:03.11.1917

 Geburt­sort:Metz

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:10.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:Brest

Le 4e se nomme Théo­dore Hopf.

 Theo­dor Hopf ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Plou­da­niel-Lesne­ven.

 Endgra­blage: Block 8 Reihe 11 Grab 324

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:Hopf

 Vorname:Theo­dor

 Dienst­grad:Ober­ge­frei­ter

 Geburts­da­tum:03.12.1903

 Geburt­sort:Strass­burg

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:27.08.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:Brest

Merci pour tout rensei­gne­ment,

Claude Herold

 claude.herold@­wa­na­doo.fr

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