STAUB Gérard

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

staub_gerard_portrait.jpgStaub Gerard fiche

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MARTZ Léon et Paul

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

martz_leon.jpg Léon Martz
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* Paul, son frère, fut incor­poré de force comme Luft­waf­fen­hel­fer.

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LA RESISTANCE ALSACIENNE & LES INCORPORES DE FORCE A OUISTREHAM

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Ami du Peuple 14.6.15

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Les « Malgré-Nous » à Ouis­tre­ham pour rendre hommage aux libé­ra­teurs du Commando Kief­fer – Un « inci­dent diplo­ma­tique »

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Les camps améri­cains de prison­niers alle­mands pour Malgré-Nous évadés

Commentaire (1) Les incorporés de force

PAR JOSEPH TRITZ

Aucune étude complète n’a jamais été faite sur l’in­croyable histoire de ces Malgré-Nous, évadés de l’ar­mée alle­mande, bravant tous les risques pour se cacher, parfois pendant presque un an, prés de chez eux, parfois à l’insu de leur famille et qui, à l’au­tomne 1944,ont été trai­tés en soldats enne­mis par les Améri­cains qui les ont emme­nés en capti­vité, dans des camps de prison­niers, où ils sont placés sous les ordres et sous la garde d’of­fi­ciers et de sous-offi­ciers alle­mands de souche. Il a fallu du temps pour que les auto­ri­tés françaises de l’époque réagissent !

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« Malgré-Nous » et commé­mo­ra­tions du 6 juin 2015 : l’avis de Léon Gautier, du Commando Kief­fer

Commentaire (0) Revue de presse

Ouest France du 8 juin 2015

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Des « Malgré-Nous » indé­si­rables – L’avis de la SNIFAM (Soli­da­rité Normande aux Incor­po­rés de Force d’Al­sace-Moselle)

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Vous avez dit Frater­nité ?

Monsieur Bagot, par son esclandre du 6 juin à l’égard des « Malgré-Nous », s’est montré à la fois histo­rien, répu­bli­cain, diplo­mate et exécu­teur testa­men­taire par cette décla­ra­tion péremp­toire : « Vous n’avez rien à faire à la stèle Kief­fer ». Jugez par vous-même :

Histo­rien :

En 1940, après la défaite de la France, l’Al­le­magne nazie annexe l’Al­sace-Moselle. En termes concrets, cela signi­fie que les Alsa­ciens-Mosel­lans deviennent citoyens alle­mands. Les jeunes sont incor­po­rés d’of­fice dans l’ar­mée alle­mande, sans possi­bi­lité de refus ou de déser­tion dans la mesure où leurs familles respec­tives faisaient l’objet de repré­sailles en étant dépor­tées dans les camps de concen­tra­tion ( lesquels exis­taient depuis 1933 pour les oppo­sants au régime ). Ils seront 135.000 dans ce cas-là, et nombreux sont ceux qui perdront la vie sous cet uniforme honni. Placés en première ligne au front, faire demi-tour était impos­sible, la gendar­me­rie alle­mande tirait sur les fuyards…

Igno­rer – pire défor­mer l’His­toire – c’est insul­ter ceux qui sont tombés !

Où est la Liberté, pour laquelle ces hommes se sont sacri­fiés ?

Répu­bli­cain :

Il est utile de rappe­ler que les comman­dos français étaient tous volon­taires, ce qui n’était pas le cas des « malgré nous ». Tous ceux qui ont débarqué l’ont fait pour restau­rer la Liberté, en tout premier lieu celle de penser et de s’ex­pri­mer. Ces héros tombés ce jour-là approu­ve­raient-ils cette sentence ?

Où est la Frater­nité qui figure dans notre devise natio­nale ?

Diplo­mate :

Les histo­riens, les poli­ti­ciens et les élus l’ont compris et incor­porent dans les céré­mo­nies offi­cielles les « malgré nous » depuis 10 ans, y compris en ce jour solen­nel du 70ème anni­ver­saire du Débarque­ment en 2014 où tous les pays impliqués étaient présents. Même l’ar­mée alle­mande est asso­ciée à ces commé­mo­ra­tions qui célèbrent toutes la fin du nazisme et non la fin de l’Al­le­magne.

Au nom de quoi balayer d’un éclat de voix l’ac­cord des auto­ri­tés locales et orga­ni­sa­trices ?

Exécu­teur testa­men­taire :

En tant que fils d’un commando, et à ce titre seul, il s’est érigé en exécu­teur testa­men­taire ? Dans quelle décla­ra­tion offi­cielle figure l’ex­clu­sion des « malgré nous » ?

L’His­toire ne se résume pas simple­ment à commé­mo­rer par la sonne­rie aux morts mais à s’ins­pi­rer des valeurs défen­dues par les morts et à les trans­mettre à nos enfants et petits-enfants.

Mort, où est ta victoire ?

Monsieur Bagot, où est votre victoire ?

Soli­da­rité Normande aux Incor­po­rés de Force d’Al­sace-Moselle (S.N.I.F.A.M)

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POLEMIQUE SUR LA PRESENCE DE « MALGRE-NOUS »

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Voir aussi : http://www.malgre-nous.eu/spip.php?arti­cle3600

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Des « dépor­tés mili­taires » indé­si­rables

Commentaire (0) Revue de presse

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* Sur le site de « Ouest France », on peut lire  :

Un an après avoir accueilli la céré­mo­nie inter­na­tio­nale du 70e anni­ver­saire, moins d’ef­fer­ves­cence à Ouis­tre­ham. Mais l’hom­mage au commando Kief­fer a été tout aussi grand.

Après le faste et les yeux du monde entier l’an passé, Ouis­tre­ham est revenu à une céré­mo­nie plus intime même si le public était venu nombreux sur la plage de Riva-Bella et autour de la stèle Kief­fer.

« Nous n’ou­blie­rons jamais », a rappelé Romain Bail, le maire de Ouis­tre­ham en conclu­sion de son discours où il a rendu hommage à tous ceux qui avaient débarqué « en appor­tant au chevet de la France le goût de la liberté ».

Puis ce fut la céré­mo­nie de tradi­tion de l’école des fusilliers marins de Lorient sur la plage de Riva-Bella. Présen­ta­tion du drapeau, promo­tions, remise de four­ra­gères et des fameux bérets verts, dont un remis par Léon Gautier, ont ponc­tué cette céré­mo­nie.

À noter que les Malgré-Nous, ces incor­po­rés d’of­fice à l’ar­mée alle­mande d’Al­sace-Lorraine, étaient conviés à la céré­mo­nie. Une invi­ta­tion qui n’a pas été du goût de tout le monde.

Source : http://www.ouest-france.fr/71e-d-day-ouis­tre­ham-fusilliers-marins-et-commando-kief­fer-honores-3459202

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Le retour de Jean-Jacques Remet­ter

Commentaire (0) L'après-guerre

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Au pont du Rhin, à Stras­bourg, le 15 avril 1955. Jean-Jacques Remet­ter, de retour de capti­vité, est accueilli par Paul Collo­wald, jour­na­liste au Nouvel Alsa­cien, et Robert Bailliard, président de l’ADEIF du Bas-Rhin. (Coll. P. Collo­wald)

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