SCHMIDLIN Joseph

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Je recherche toute infor­ma­tion sur Joseph Schmid­lin, né le 24.07.1926 à Magstatt-le-Haut et demeu­rant à Fran­ken. Incor­poré de force, il est très certai­ne­ment décédé en Russie.

Merci pour toute aide.

Raphaël Schmid­lin

 Cour­riel : Raph6821@­hot­mail.fr

 Préci­sions de Claude Herold : Joseph Schmid­lin figure sur la liste de 1948 comme porté disparu. D’après la liste, il est né et demeu­rait à Fran­ken. Il figure sur le MAM de ce village, mais n’est pas réper­to­rié au VDK. Je le retrouve sur la liste du Haut-Rhin sous la FPN 45338 F qui corres­pond à la Flug­zeugfüh­rer­schule B14. Il était donc un élève pilote, à condi­tion que la FPN ai été correc­te­ment reco­piée.

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MOCKELS Henri

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Je cherche à en savoir plus sur le parcours de Henri Mockels.

 Hein­rich Mockels ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Tobruk.

 Endgra­blage: auf diesem Fried­hof

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:
Mockels

 Vorname:
Hein­rich

 Dienst­grad:
Ober­ge­frei­ter

 Geburts­da­tum:
18.03.1903

 Geburt­sort:
Montois

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
06.11.1942

 Todes-/Vermiss­te­nort:
Hafen v. Bengasi

Merci pour toute aide.

Claude Herold

 claude.herold@­wa­na­doo.fr

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Les « Malgré-Nous »: ces oubliés de l’His­toire

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1942: l’Al­le­magne nazie annexe illé­ga­le­ment l’Al­sace et la Lorraine. De cette annexion découle le début du service mili­taire obli­ga­toire pour les Français d’Al­sace-Moselle, incor­po­rés dans l’ar­mée alle­mande à seule­ment 17 ans et envoyés sur le front de l’Est ou en Russie à 18 ans. Nombreux ont été ces jeunes gens qui ont du combattre aux côtés d’une patrie qu’ils n’avaient pas choisi, pour des idéaux qu’ils ne parta­geaient pas, contre leurs nations d’ori­gi­ne…

Les « Malgré-Nous »: ces oubliés de l’His­toire

27 novembre 1940 : l’Al­le­magne nazie annexe illé­ga­le­ment l’Al­sace et la Lorraine. De cette annexion découle le début du service mili­taire obli­ga­toire pour les Français d’Al­sace-Moselle. Jean-Paul Bailliard s’est retrouvé enrôlé de force à l’âge de 17 ans dans le service obli­ga­toire du travail, le RAD (« Reichs-Arbeits-Dienst ») puis incor­poré dans l’ar­mée alle­mande en avril 1943. Un an après, il fit la campagne de Russie, avant de déser­ter en 1945. Pourquoi parler de cet homme en parti­cu­lier ? Tout simple­ment parce qu’il incarne une partie de l’His­toire, non pas seule­ment des régions de l’Est, mais bel et bien de la France. Nombreux ont été ces jeunes gens qui ont dû combattre pour une patrie qu’ils n’avaient pas choi­sie, pour des idéaux qu’ils ne parta­geaient pas. Après la guerre, ils furent consi­dé­rés comme des traîtres à la nation et restèrent long­temps incom­pris.

Ce n’est qu’en mai 2010, grâce aux efforts de cet homme, que les « Malgré-Nous » ont enfin été recon­nus comme « victimes du nazisme » par l’État français. Mais cela n’ex­cuse pas aujourd’­hui l’ab­sence dans les manuels d’his­toire de cet énième crime qui fut engen­dré par la deuxième Guerre mondiale. Les images parlent toujours plus que les mots. Toutes les photo­gra­phies présen­tées dans ce photo­re­por­tage sont très souvent les seuls souve­nirs d’un père, d’un frère, d’un mari que certaines familles conservent précieu­se­ment.

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1. Témoin d’une page mécon­nue de l’his­toire

Jean-Paul Bailliard est né en 1924 à Stras­bourg. Il a connu l’an­nexion de l’Al­sace par l’Al­le­magne nazie. Incor­poré de force dans la Wehr­macht en 1943, il déserte le front de l’Est en avril 1945 et parvient à se réfu­gier en zone améri­caine.

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2. Le poids du passé

La vue de cette croix de fer, retrou­vée dans une vieille boite par la famille d’un « Malgré Nous », provoque chez Jean Paul Bailliard une vive émotion. Elle ravive des souve­nirs marqués au fer rouge …

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3. A coups de bêches

En 1941 le RAD, Reichts Arbeits Dienst, litté­ra­le­ment « service obli­ga­toire du travail » est intro­duit en Alsace. L’objec­tif: former la jeunesse à une concep­tion natio­nale-socia­liste du monde. Une forma­tion au carac­tère mili­taire, où le manie­ment des armes passait d’abord par le manie­ment de la bêche. Une « école de la Nation » qui n’était autre qu’un inépui­sable outil mili­taire pour le troi­sième Reich.

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4. Avant l’af­fec­ta­tion: le service du travail

Le recen­se­ment pour le RAD des jeunes de 18 à 25 ans se faisait par les mairies. Ce service du travail s’ef­fec­tuait en uniforme et durait six mois.

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5. « bon pour le service ! »

Pour béné­fi­cier d’un sursis d’in­cor­po­ra­tion, beau­coup s’auto-muti­lèrent. D’autres, comme Jean-Paul Bailliard, simu­lèrent à grand renfort de cachets de « perlim­pim­pin » et d’un régime dras­tique, une mala­die inva­li­dante. Malgré tous ses efforts, Jean-Paul Bailliard fut déclaré « bon pour le service ».

6. L’in­com­pré­hen­sion

Les 130 000 « Malgré-Nous » Alsa­ciens et Mosel­lans ont tous vécus un déluge de feu. Seule leur soli­da­rité les aidèrent à « donner le change » dans l’ad­ver­sité. C’est pour combler le manque d’ef­fec­tifs volon­taires que les auto­ri­tés nazies instau­rèrent l’in­cor­po­ra­tion de force. Les déser­teurs étaient punis de mort et des repré­sailles étaient menées contre leur famille.

7. Les « damnés de la guerre »

Ces quelques clichés sont les seuls souve­nirs d’un père et d’une époque. Bon nombre de jeunes gens présents sur ces photos ne sont jamais reve­nus. Envoyés avec leurs unités sur le front russe, très peu d’entre eux arri­vaient à échap­per à la mort ou à de graves bles­sures. Survivre plus de trois mois était un véri­table exploit dans l’en­fer du front russe.

8. Mistel­bach n.

La guerre englou­tit la jeunesse tel le Mino­taure, qui jamais ne s’en reput. Photo­gra­phie prise à Mistel­bach d’un jeune Alsa­cien enrôlé de force dans la Wehr­macht.

9. « anden­ken von mistel­bach. thié­baut »

Des visages souriants d’ado­les­cents, pour rassu­rer leur famille … Quelques semaines plus tard tous étaient envoyés sur le front de l’Est. Au dos un nom, un lieu. La preuve de l’exis­tence d’un homme.

10. Et si …?

Jean Paul Bailliard tente de situer les lieux où ont été prises des photos pour aider des familles de portés dispa­rus.

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11. Au nom de toutes les victimes du nazisme: un regard sur l’his­toire

Fin mai 1945, Jean-Paul Bailliard s’en­gage dans l’ar­mée française par sens du devoir. Un devoir large­ment accom­pli puisqu’il sera récom­pensé par cinq cita­tions et une Légion d’Hon­neur après avoir fait campagne en Indo­chine de 1950 à 1953. Une licence en Sciences et un docto­rat en Physique nucléaire en poche, Jean-Paul Bailliard gravit les éche­lons au sein du corps des Ingé­nieurs de l’Ar­me­ment et devient Ingé­nieur Géné­ral en 1984. Il a écrit un livre auto­bio­gra­phique, pour que l’on recon­naisse et se souvienne à jamais de ces « damnés de la guerre », ces « Malgré-Nous »…

* Une inter­view de Nico­las Mengus par Vianne de Jalras à lire ici : http://info­si­bou­lot.word­press.com/2013/05/30/les-malgre-nous-ces-oublies-de-lhis­toire/

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MATHECOWITSCH René

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René Mathe­co­witsch est né à Entrange et demeu­rant à Uckange d’après la liste des non-rentrés de Moselle de 1946

 Rena­tus Mathe­co­witsch ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Reillon./F

 Endgra­blage: Kame­ra­den­grab

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:
Mathe­co­witsch

 Vorname:
Rena­tus

 Dienst­grad:
Grena­dier

 Geburts­da­tum:
13.12.1919

 Geburt­sort:
Entrin­gen

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
17.09.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:
Belleau

Merci pour tout rensei­gne­ment concer­nant son parcours.

Claude Herold

 claude.herold@­wa­na­doo.fr

image001-9.jpgPhoto Volks­bund

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KOEBERLE François

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J’ai trouvé François Koeberlé sur la liste de la Moselle alors que, d’après cette liste, le disparu est né à Mulhouse et demeu­rait à Paris. Sur la liste du Haut-Rhin, il est indiqué : né et demeu­rant à Mulhouse.

 Franz Koeberle

 Franz Koeberle ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Dionys­sos-Rapen­doza.

 Endgra­blage: Gruft 3 Reihe 14 Platte 11

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:
Koeberle

 Vorname:
Franz

 Dienst­grad:
Gefrei­ter

 Geburts­da­tum:
12.08.1921

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
27.03.1945

Merci pour toute aide.

Claude Herold

 claude.herold@­wa­na­doo.fr

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Assem­blée géné­rale du 15 juin 2013

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Marcel SPISSER, président de l’AMAM, ouvre la séance à 10h en rappe­lant la dispa­ri­tion récente du Gal Jean-Paul Baillard, membre fonda­teur de l’as­so­cia­tion: « Ceci est la première AG que nous commençons sans lui…Nous avons toujours appré­cie ses conseils avisés. Nous avons tous aussi appré­cié les paroles pronon­cées par Nico­las Sarkozy il y a deux ans à Colmar. Or c’était mot pour mot les termes de la lettre que le Gal Baillard lui avait adres­sée. » Une minute de silence est obser­vée en mémoire de celui qui était jusqu’à sa mort l’un des vice-prési­dents de l’AMAM.

Frédé­ric BIERRY, maire de Schir­meck, conseiller géné­ral du Bas-Rhin, évoque égale­ment le souve­nir du disparu : « C’est un moment émou­vant. Le Gal Baillard s’est beau­coup investi pour le Mémo­rial et on ne l’ima­gine pas sans lui…Il appor­tait ici un regard sur le monde, un esprit de bien­veillance et des touches d’hu­mour. Son dernier combat fut de faire recon­naitre le sort tragique des Alsa­ciens-Mosel­lans incor­po­rés de force. Au Mémo­rial, c’était l’ami de tous. » Frédé­ric Bierry a signalé que « depuis 2007, il n’y avait pas eu une aussi bonne fréquen­ta­tion du site, avec + 4% sur la période 2012–2013, + 35% au mois de mars et + 2% en avril ». Une bonne nouvelle même si l’élu a reconnu que « le mauvais temps nous a aidé ! ».
Jean-Paul GULLY, secré­taire géné­ral de l’AMAM, a rappelé de son côté que lors de l’AG 2010, le Gal Baillard avait confié lors de son inter­ven­tion que désor­mais il pouvait quit­ter ce monde car « depuis le 8 mai 2010, les incor­po­rés de force avaient été réta­blis dans leur honneur et leur dignité de citoyen. » Pour cette AG 2013, 60 maires ont envoyé une procu­ra­tion, montrant ainsi leur inté­rêt pour l’as­so­cia­tion. En effet, en 2013, un dossier de l’AMAM a été envoyé à 480 communes et 55 ont nouvel­le­ment adhéré. La même opéra­tion devrait être faite vers les maires du Haut-Rhin et de la Moselle.

Alphonse TROESTLER, délé­gué à la Mémoire pour la Région Alsace, a égale­ment évoqué la person­na­lité du Gal Baillard, « atten­tif à n’ou­blier aucune des caté­go­ries de victimes. » Il a informé l’as­sis­tance de la « nouvelle étape » qui devrait s’ou­vrir pour le Mémo­rial dans le domaine de la construc­tion euro­péenne grâce à l’im­pli­ca­tion de Joseph Daul, l’Al­sa­cien qui est président du groupe du Parti Popu­laire Euro­péen. Suite à la visite de ce député euro­péen, l’idée d’ajou­ter une ouver­ture sur l’Eu­rope plus marquée dans le Mémo­rial tout en présen­tant le témoi­gnage histo­rique de l’Al­sace pour termi­ner le circuit, a fait du chemin. Un projet complet, avec notam­ment une salle d’ex­po­si­tion tempo­raire et l’ajout de séquences oubliées ou insuf­fi­sam­ment trai­tées (comme la Résis­tance), a été présenté aux instance euro­péenne dont on attend la réponse. Le Mémo­rial a en effet déjà 8 ans et « pour assoir sa péren­nité future », un gros chan­tier doit s’ou­vrir. Concer­nant la prochaine Rencontre des Mémoires, en novembre 2014, on sait déjà qu’elle aura « un écho très fort par rapport au cente­naire du Premier conflit mondial » dont on commé­mo­rera le cente­naire. Suite à une ques­tion de Gérard Michel (OPMNAM), Alphonse Troest­ler a évoqué le travail de recen­se­ment des Incor­po­rés de force, actuel­le­ment validé par les 900 communes alsa­ciennes. La démarche, pilo­tée par Chris­tophe Heitz, concerne toutes les caté­go­ries de victimes alsa­ciennes du nazisme. La Moselle de son côté a opéré un recen­se­ment de ses victimes mili­taires de 1870 à 1945 sur un Mur des Noms à Grave­lotte. Pour le Mur des Noms, un appel à projets sera lancé. M. Troest­ler s’est demandé « s’il devait s’agir d’un mur gravé ou ou pas gravé… mais souple, avec des images… » Il a affirmé que « le président Richert est en tout état de cause inté­ressé. Faut-il le faire par caté­go­rie de victimes ? Le débat mémo­riel est très impor­tant… Le droit des familles à accep­ter ou non de rendre public un nom de proche doit être respecté. Nous atten­dons d’éven­tuelles réac­tions suite à la liste de noms déjà consul­table sur Inter­net. » Par ailleurs, Alphonse Troest­ler a regretté le manque de cher­cheurs prêts à étudier les archives de Tambov mais a salué un mémoire de maîtrise en cours sur les Malgré-Elles, le premier travail univer­si­taire sur le sujet qui devrait aussi béné­fi­cier d’un ouvrage à venir de Liliane Hoff­mann. Un histo­rien doit faire des recherches sur les lettres de Malgré-Nous.

Marcel SPISSER, président de l’AMAM, a remer­cié le trio (Alphonse Troest­ler, Jean Paul Gully et Claude Morant), « ces trois mousque­taires sans lesquels je ne pour­rais pas faire grand chose ». Or il y a du travail car « plus je viens au Mémo­rial avec des groupes, plus je constate qu’on ne connaît pas l’his­toire de l’Al­sace. Le message que nous voulons trans­mettre à nos enfants, c’est que l’Al­sace a souf­fert plus que d’autres régions et qu’elle a été calom­niée. Au lende­main d’une catas­trophe, il faut trou­ver un coupable et ce furent les incor­po­rés de force » a-t-il ajouté, évoquant le drame d’Ora­dour sur Glane. « Or on n’a pas parlé des mili­ciens qui ont aidé les nazis, des colla­bos comme ceux qui dans la divi­sion Char­le­magne furent les derniers fana­tiques à soute­nir Hitler à Berlin… ». Jean-Jacques Meysem­bourg demanda la parole pour déplo­rer que l’ex­po­si­tion au Mémo­rial « n’ex­pli­cite pas assez le rôle du maré­chal Pétain dans la trahi­son des Alsa­ciens Mosel­lans dés juillet 1940 ».

Remettre des pages d’his­toire contem­po­raine dans leur pers­pec­tive totale, « c’est la raison d’être du Mémo­rial, lieu d’his­toire et de mémoire. » Mais pour remplir cette mission, il faut des moyens. « Si nous avions à hauteur de ceux du Mémo­rial de Caen dont je me souviens des innom­brables affiches dans le métro à Paris lors de l’ou­ver­ture, on ferait pareil. » Malgré ce problème de budget, le Mémo­rial attire beau­coup de scolaires dont une école des Nantes et c’est passion­nant. Les contacts avec la Norman­die ont été fruc­tueux à travers les nombreuses visites de Jean Bézard. En 2012, l’agenda fut fourni avec 18 Café d’his­toire, une formule qui va bien­tôt atteindre son 100e rendez vous et qui a bien trouvé sa place puisqu’il y a actuel­le­ment une liste d’at­tente pour les confé­ren­ciers. Le Gal Baillard y avait d’ailleurs présenté sa biogra­phie l’an dernier. Par contre, il y a encore beau­coup d’ef­forts à faire vers le Haut-Rhin… Nous avons connu une décep­tion car malgré le lieu central qu’est le buffet de la gare de Mulhouse et la noto­riété du sujet (Pierre Bockel, aumô­nier de la Brigade Alsace Lorraine), le public était peu nombreux au Café d’his­toire qui lui fut consa­cré.

Le Cour­rier du Mémo­rial est une revue de plus en plus appré­ciée, notam­ment ses articles de fond et ses pages péda­go­giques. Les Actes des Rencontres devraient elles être publiées par le CRDP avant Noël. L’AMAM a égale­ment parti­cipé à l’édi­tion des lettres de Malgré Nous, reçues en quan­tité bien plus impor­tante que ce qui était estimé au départ, et qui peuvent être utili­sées par les ensei­gnants d’his­toire voire d’al­le­mand.
Marcel Spis­ser a égale­ment cité les excel­lentes rela­tions de l’as­so­cia­tion et du Mémo­rial avec les Japo­nais, « fasci­nés par l’his­toire de l’Al­sace déchi­rée par des guerres entre la France et l’Al­le­magne. Ainsi savez vous qu’il y a une chaire de l’his­toire de l’Al­sace à Tokyo et non une chaire d’his­toire de France? » Un groupe de 46 étudiants s’est rendu au Mémo­rial et leur profes­seur y venait pour la 7e fois. Le thème de la récon­ci­lia­tion avec l’Al­le­magne les inté­resse beau­coup, eux qui ont connu des conflits avec la Chine et la Corée. Une équipe de la TV japo­naise est venue en décembre et le 1er janvier, le repor­tage sur le Mémo­rial a été diffusé.

Suite à l’ex­posé du tréso­rier Claude MORANT dont les bilans ont été approu­vés par les révi­seurs aux comptes, le président de l’AMAM a proposé de porter la coti­sa­tion de 20 à 25€, notam­ment pour suivre l’aug­men­ta­tion des frais postaux. L’as­sem­blée procéda ensuite à l’élec­tion de 8 conseillers au Comité direc­teur, soit un de plus que précé­dem­ment:.. Il s’agit de MM Etienne Adloff, Jean-Jacques Meysem­bourg, Gérard Michel, Claude Morant, Charles Quirin, Gérard Zippert, Jacques Cornec et Mme Marie Goerg-Lieby.

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JANZ Jean

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Jean Janz né à Gusen­burg et demeu­rant à Vallieres-les-Metz d’après la liste des non-rentrés de Moselle de 1946.

 Johann Janz ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Ahtme./Estland

 Endgra­blage: auf diesem Fried­hof

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:
Janz

 Vorname:
Johann

 Dienst­grad:
Ober­ge­frei­ter

 Geburts­da­tum:
24.02.1920

 Geburt­sort:
Gusen­berg

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
27.12.1947

 Todes-/Vermiss­te­nort:
Achtme/Estn.S.S.R., i.d.Kgf.

Merci pour tout rensei­gne­ment sur son parcours.

Claude Herold

 claude.herold@­wa­na­doo.fr

image001-8.jpgPhoto Volks­bund

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GEORGES Charles, GILLE Armand, GILLOT Jean

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Je recherche des infor­ma­tions sur le parcours des incor­po­rés de force suivants :

 Charles Georges, Né à Gavisse et demeu­rant à Maizieres-les-Metz d’après la liste des non-rentrés de Moselle de 1946

 Karl Georges

 Karl Georges ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Nieder­bronn-les-Bains.

 Endgra­blage: Block 9 Reihe 13 Grab 270

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:
Georges

 Vorname:
Karl

 Dienst­grad:
Gefrei­ter

 Geburts­da­tum:
29.08.1924

 Geburt­sort:
Gavis­sen

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
18.09.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:
Saar­burg

 Armand Gille, né et demeu­rant à Algrange d’après la liste des non-rentrés de Moselle de 1946.

 Hermann Gille

 Hermann Gille ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Solers.

 Endgra­blage: Kame­ra­den­grab

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:
Gille

 Vorname:
Hermann

 Dienst­grad:
Kano­nier

 Geburts­da­tum:
08.10.1926

 Geburt­sort:
Algrin­gen

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
25.08.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:
Troyes

 Jean Gillot, né et demeu­rant à Villing d’après la liste des non-rentrés de Moselle de 1946.

 Johann Gillot

 Johann Gillot ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Dionys­sos-Rapen­doza (GR).

 Grablage: Endgra­blage: Gruft 2 Platte 3 – Unter den Unbe­kann­ten

 Bei den Umbet­tungs­ar­bei­ten in seinem ursprün­gli­chen Grabla­geort konnte er nicht zwei­fels­frei iden­ti­fi­ziert werden, so dass er als  »unbe­kann­ter Soldat » auf dem Fried­hof Dionys­sos-Rapen­doza bestat­tet worden ist.

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:
Gillot

 Vorname:
Johann

 Dienst­grad:
Matrose

 Geburts­da­tum:
24.09.1921

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
15.09.1944

 Théo­dore Gorus, né et demeu­rant à Rode­mack d’après la liste des non-rentrés de Moselle de 1946

 Theo­dor Gorus

 Theo­dor Gorus ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Dionys­sos-Rapen­doza.

 Endgra­blage: Gruft 2 Reihe 13 Platte 10

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:
Gorus

 Vorname:
Theo­dor

 Dienst­grad:
Ober­ge­frei­ter

 Geburts­da­tum:
20.02.1914

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
14.09.1943

Merci pour toute infor­ma­tion.

Claude Herold

 Cour­riel :claude.herold@­wa­na­doo.fr

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WEBER Louis

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WEBER_Louis.jpg En 1957, aucun rensei­gne­ment sur Louis Weber (* Falck, Moselle, 13.8.1927) n’avait pu être recueilli auprès des rapa­triés.

Merci pour toute infor­ma­tion.

 info@­malgre-nous.eu

* Fiche du Volks­bund trans­mise par Claude Herold :

 Ludwig Weber

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Ludwig Weber vermisst.
Fast 65 Jahre nach dem Ende der erbit­ter­ten Kämpfe um Stalin­grad haben Tausende Fami­lien in Deut­schland noch immer keinen Hinweis über den Verbleib ihrer Angehö­ri­gen, deren Spuren sich 1942/43 zwischen Don und Wolga verlo­ren haben. Um diesen dennoch einen Ort des persön­li­chen Geden­kens zu schaf­fen, hat der Volks­bund Deutsche Krieg­sgrä­berfür­sorge die Perso­na­lien der Stalin­grad – Vermiss­ten auf dem deut­schen Solda­ten­fried­hof in Rosso­schka bei Wolgo­grad doku­men­tiert. Auf 107 Granitwür­feln mit einer Kantenlänge von 1,50 Metern und einer Höhe von 1,35 Metern sind in alpha­be­ti­scher Reihen­folge 103 234 Namen eingra­viert.
Der Name des Oben­ge­nann­ten ist auf dem Würfel 99, Platte 1 verzeich­net.

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:
Weber

 Vorname:
Ludwig

 Geburts­da­tum:
13.08.1927

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
01.01.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort:
Gebiet Stalin­grad

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LISTE DES MORTS DE TAMBOV et KIRSANOV

Commentaires (2) Les incorporés de force

La liste de 347 Français inhu­més à Kirsa­nov a été publiée dans L’Al­sace du 20.4.1985 et les Dernières Nouvelles d’Al­sace du 20.4.1985.

Une deuxième liste de 206 noms est parue dans les DNA du 8.8.1985.

A noter qu’une liste complé­men­taire de prison­niers de Tambov a été publiée dans les DNA du 22.3.1986.

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