Mani­feste envoyé au Gouver­ne­ment et à tous les Parle­men­taires

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Nous sommes plusieurs milliers d’or­phe­lins de guerre, adop­tés es qualité de pupilles, par la Nation française.

Nous vivons diffi­ci­le­ment les déci­sions prises par diffé­rents gouver­ne­ments, en 2000, en 2004 et en 2005, tendant à la répa­ra­tion des préju­dices de certaines caté­go­ries spéci­fiques d’or­phe­lins de guerre.

Le Président de la Répu­blique, peu après son élec­tion en 2007, a promis de réta­blir l’éga­lité entre tous.

Rien n’est fait.

Merci de prendre connais­sance du Mani­feste ci-dessous et de protes­ter avec nous contre ce déni de justice.

Bernard Roden­stein, président de la Fédé­ra­tion des Pupilles de la nation

 http://fede­ra­tion.pupilles.free.fr

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Liste de dispa­rus : Voltz-Walger

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– Voltz Charles, né le 25.1.1921

 Volt­zen­lo­gel Edouard, né le 3.9.1914

 Volt­zen­lo­gel Henri, né le 26.7.1921

 Vonarb Hermann, né le 5.6.1922

 Vonarb Henri, né le 18.8.1924

 Wacker­mann Jean, né le 24.10.1920

 Wagner Jacques, né le 4.2.1923

 Wagner Emile, né le 25.3.1921

 Wagner Raymond, né le 17.12.1918 à Metz

 Walch Jean, né le 5.11.1923

 Waldeck Marcel, né le 7.7.1916

 Walger Eugène, né le 17.12.1909

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RHEIN Joseph

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Rhein_Joseph.jpgJe fais des recherches pour un voisin de Bisch­willer qui n’a jamais connu son père qui a disparu sur le front de l’Est, incor­poré de force dans l’ar­mée alle­mande.
Il s’agit de Joseph Rhein, né le 14.2.1925 à Vitry-sur-Orme. Il était dans une Panzer-Divi­sion et il a disparu au mois de novembre 1944.

Merci pour toute aide ou rensei­gne­ment.

J.-C. Mali­schewsky

 Cour­riel : mali­schews­kyjean@­free.fr

* Fiche du Volks­bund et du DRK trans­mises par Claude Herold :

 Nach­name: Rhein

 Vorname: Josef

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 14.02.1925

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.11.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort: Ost Beski­den

Rhein.jpg– Feld­post­num­mer 34532 E = 4e compa­gnie du Grena­dier Regi­ment 464 de la 253. Infan­te­rie-Divi­sion. Cette divi­sion se trouve dans le secteur de Kowel d’avril à juin 1944, puis dans le secteur de Cholm. Elle se retire ensuite jusque sur la Weich­sel et combat au Sud de Pulawy jusqu’en octobre 1944, puis dans les Beskides, chaîne de montagne des Carpates à cheval sur la Pologne, l’Ukraine, la Répu­blique Tchèque et la Slovaquie. Elle est en Silé­sie en février 1945, à Mähren en avril 1945 et elle entre en capti­vité chez les Russes à Deutsch-Brod.

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Liste de dispa­rus : Geiller-Gey

Commentaire (0) Les incorporés de force

– Geiller Joseph Auguste, né le 20.3.1915

 Geist Auguste, né le 4.4.1919

 Gentz­bit­tel Jules, né à Mulhouse le 15.8.1921

 Georg Pierre, né le 7.2.1921

 Geor­ger Raymond, né le 11.10.1924

 Gérard Hermann, né le 1.1.1926

 Gerber Marcel, né le 4.9.1922

 Gerbert Kurt, né le 14.9.1916

 Gerst Xavier, né le 13.2.1913

 Gessier Oscar, né le 10.4.1920

 Gewin­ner Edmond, né 18.11.1922

 Gey Michel, né le 7.7.1917

 Merci à toute personne pouvant appor­ter des préci­sions sur le destin de ces hommes : info@­malgre-nous.eu

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BIENVENOT Jean : Un rescapé de Tambow

Commentaire (0) Les incorporés de force face à leur destin

« Mille jours d’une vie »

Jean Bien­ve­not, né en 1923, est incor­poré dans l’ar­mée alle­mande en octobre 1942. Il connaît la capti­vité en URSS et revient du camp de Tambow en octobre 1945. Sous le titre Mille jours d’une vie, il a rédigé ses mémoires de Malgré-Nous qui nous ont été aima­ble­ment trans­mises par son fils, Marc Bien­ve­not.

 

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THOLLON Louis Marius

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Je cherche des infor­ma­tions sur l’en­voi au STO de mon grand-père
pater­nel Louis Marius Thol­lon, né le 24 mars 1911 à la Boisse (01). Les récits fami­liaux font état de son évasion d’un train. Il n’au­rait donc pas été jusqu’en Alle­magne , mais je n’ai pas d’autres rensei­gne­ments.
Merci pour toute aide.

Corinne THOLLON

 Cour­riel : c.thol­lon@­free.fr

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FAESSEL-BOEHE Claude et ses cama­rades MARING Roger, FAUDI Georges et LIROT Jean

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

FAESSEL-BOEHE_Claude.jpg D’après les archives de Caen, Claude Faes­sel-Boehé est incor­poré en octobre 1943. Il est incor­poré sein du Flak-Abtei­lung 25 ( avec René Herold ?) d’après la WAST. Ses dernières nouvelles datent du 1.8.1944 (dernier cour­rier posté de Belgrade).

Il est porté disparu au 15 octobre 1944 près de Belgrade, d’après les sources alle­mandes que son père a trouvé.

Il est amené vrai­sem­bla­ble­ment au camp de Velika Plana (au sud de Belgrade). Il conti­nue sa capti­vité par Vidin, en Bulga­rie, puis serait passé par Cala­fat (entre la fron­tière yougo­slave et bulgare) pour termi­ner à Reni (ville roumaine jusqu’en 1947, puis cédée à l’Ukraine).

Il est mort au camp de Reni de dysen­te­rie pendant l’hi­ver 44/45. Mr Jean Lirot, de Steige, écrit aux parents de Claude en 1948, puis il est audi­tionné par un gendarme chargé de dres­ser un PV en 1951. Il atteste d’une part qu’il y avait d’autres Alsa­ciens à Reni et qu’il a vu le corps de Claude Faes­sel-Boehé à la morgue de l’hô­pi­tal du camp.

Jean Lirot figure dans la liste des dispa­rus du Bas-Rhin non rentrés en 1945 ; il est rentré fin 1946 (voir son témoi­gnage sur ce site).

Il faut encore noter qu’il existe un cime­tière alle­mand à Reni : « Reni, Gebiet Odessa, Lager NNr. 38 (mit Fried­hof, 1715 Graber, darun­ter 984 deutsche), 159. » Voir aussi :
http://www.welt­krieg­sop­fer.de/Infor­ma­tion-Anzeige-Krieg­sge­fan­ge­nen­fried­hof-Reni_Fried­hof­de­tails_0_13058.html

La fiche WAST indique peu de choses :

 

Clau­dius Faes­sel Boehe, gebo­ren am 7 juli 1925

Erken­nung­smarke : 2970 – Flaker­sat­zab­tei­lung 25.

Laut Liste ohne Datum (vermut­lich Novem­ber 1943) zur Flaker­sat­zab­tei­lung 25 einbe­ru­fen.

MARING_Roger.jpgIl était avec trois cama­rades (dont un non iden­ti­fié) incor­po­rés de force eux aussi : Roger Maring, « mort pour la France » le 27.8.1943 (ses parents reçurent ses effets person­nels tâchés de sang), et Georges Faudi, ce dernier étant devenu phar­ma­cien après la guerre.

* Infor­ma­tions trans­mises par Richard Klein et Philippe Faes­sel-Boehé

Fiche du Volks­bund trans­mise par Claude Herold :

Nach­name: Faes­sel-Boehe

Vorname: Clau­dius

Dienst­grad:

Geburts­da­tum: 07.07.1925

Geburt­sort: Strass­bourg

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.1945 – 02.1945

Todes-/Vermiss­te­nort:

Clau­dius Faes­sel-Boehe wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt oder konnte im Rahmen unse­rer Umbet­tungs­ar­bei­ten nicht gebor­gen werden.

La Feld­post­num­mer 43996 = 3e Batte­rie de la schweere Flak-Abtei­lung 549. Créée en avril 1943, elle se compo­sait de quatre batte­ries. Elle faisait partie de la 20e Flak-Divi­sion en Yougo­sla­vie. Elle se trou­vait à Belgrade en octobre 1944.

* Portraits de Claude Faes­sel-Boehé au RAD (à gauche sur la photo – septembre 43), en tenue de travail de la Wehr­macht, en uniforme de la Wehr­macht et en tenue d’été à côté d’une pièce de DCA.

RAD. Claude Faessel-Boehé (septembre 1943) Claude Faessel-Boehé en uniforme de travail Claude Faessel-Boehé en uniforme de la Wehrmacht Claude_Faessel-Boehe_2.jpg

* Fiche du Volks­bund remise à jour et trans­mise par Richard Klein :

Claude Faes­sel-Boehe wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt.

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Reni – Ukraine

Der Volks­bund ist bemüht, auf der Grund­lage von Krieg­sgrä­be­rab­kom­men die Gräber der deut­schen Solda­ten zu finden und ihnen auf Dauer gesi­cherte Ruhestät­ten zu geben. Wir hoffen, in nicht allzu ferner Zukunft auch das Grab von Claude Faes­sel-Boehe zu finden und die Gebeine auf einen Solda­ten­fried­hof überfüh­ren zu können.

Nach­name:
Faes­sel-Boehe

Vorname:
Claude

Geburts­da­tum:
07.07.1925

Geburt­sort:
Stras­bourg

Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
1944

Todes-/Vermiss­te­nort:
Reni, Krieg­sge­fan­ge­nen­la­ger

reni2.jpg Monu­ment à la mémoire des morts du camp 38 de Reni sur son empla­ce­ment : « Aux citoyens étran­gers mili­taires / Prison­niers au camp de Tran­sit № 38 morts en 1944–1947 / De la part des rési­dents de Reni / Que la paix soit sur vous / Créé en mai 2008. » Photo extraite d’un site inter­net inac­ces­sible entre­temps : http://reni-rda.gov.ua/2011–04–28–07–35–51/cate­gory/2-monu­ments

* Témoi­gnage d’un ancien prison­nier italien du camp de Reni : « Armando Gaiba a décrit la vie dans le camp de concen­tra­tion russe à Reni en Rouma­nie – où il fut trans­féré le 9 octobre 1944 et y resta jusqu’au 23 novembre 1945 – comme un véri­table enfer.

En effet, malgré leur contrôle, les Russes se montrèrent indif­fé­rents à tout ce qui se passait dans le camp ; para­doxa­le­ment, c’étaient les prison­niers alle­mands (présents en grande majo­rité) qui géraient le camp. Ils déci­daient, par exemple, comment devait être distri­bué la nour­ri­ture, les bois­sons et l’ha­bille­ment.
Ils passèrent donc leur haine et leur colère en tour­men­tant les Italiens prison­niers. Gaiba dit que, là-bas, la civi­li­sa­tion humaine avait disparu en lais­sant la place à la plus brutale cruauté et féro­cité humaine.

Le 9 mai 1945, il devina que la guerre était finie en voyant les mili­taires russes lancer en l’air leurs fusils, mais cet enfer dura encore sept longs mois jusqu’au jour où un émis­saire du gouver­ne­ment italien informa les prison­niers de leur prochain retour. » Voir : http://www.anmi­monza.it/doc/Arman­doGaiba.pdf, page 9

RENI_Monument.jpg
Ci-dessus : Le monu­ment de Reni sur lequel sont visibles une photo de Claude Faes­sel-Boehe, une bougie et un bouquet de fleurs aima­ble­ment dépo­sés par le profes­seur Felice Tagliente, de Turin. (Photo F. Tagliente)

 

 

 Monu­ment à Reni.

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SCHOEPF André

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Nous faisons des recherches sur mon oncle, André Schoepf, né à Eber­sheim, incor­poré de force qui n’est jamais revenu du front de Russie. Il figure sur la liste de 1948, mais ne se trouve pas dans le recueil des dispa­rus de l’ADEIF.

Par avance, merci pour toute aide.

Caro­line Postif

 Cour­riel : caro­li­ne@­pos­tif.info

 Rensei­gne­ments de Claude Herold : Schoepf André né le 23.03.1922 à Eber­sheim, n’est pas réper­to­rié par le Volks­bund.

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HIEN Robert

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HIEN_Robert.jpg Qui peut donner des rensei­gne­ments complé­men­taires sur le parcours de Robert Hien ?

 Nom : HIEN

 Prénoms : Robert

 Conflit : 1939–1945

 Grade, unité : Malgré-Nous

 Date de nais­sance : 06/01/1920

 Commune de nais­sance : Stras­bourg

 Dépar­te­ment ou pays : 67 – Bas-Rhin

 Autres infor­ma­tions : Porté disparu

 Voir aussi : http://www.memo­rial-genweb.org/~memo­rial2/html/fr/result­com­mune.php?idsource=53098&table=bp08&dpt=57&insee=57019&pays=France

 Complé­ment et fiche du DRK de Claude Herold : La Feld­post­num­mer 57710 B corres­pon­dait à la 4e Batte­rie du Panzer Artille­rie Regi­ment 4 de la 14e Panzer-Divi­sion qui, en 1944, est enga­gée à Tscher­kassy, sur le Pruth et à Jassy, puis en Cour­lande (à partir d’août 1944).
Au DRK, il figure parmi les dispa­rus de la II. Abtei­lung du Panzer-Artille­rie-Regi­ment 4 (FPN 57710).

Hien_Robert.jpg

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UTTER Marcel

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Marcel_UTTER.jpg Merci pour toute aide dans mes recherches sur un cousin à ma mère non rentré, porté disparu : Marcel Utter, de Basse-Yutz (Moselle), né le 04/10/1925 à Vieux-Lixheim (Moselle).
Je n’ai que très peu de rensei­gne­ments. Ma mère m’a dit que Marcel a rejoint son régi­ment (dont nous igno­rons tout) après sa conva­les­cence, alors que les Améri­cains étaient déjà en Meurthe-et-Moselle. Mon grand-père voulait le cacher, mais Marcel avait peur de la dépor­ta­tion de ses parents dont il était le fils unique.

Martine Metz­ger

 Cour­riel : metz­ger­mar­ti­ne@aol.com

 D’après Claude Herold, Marcel Utter n’est pas réper­to­rié au Volks­bund.

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