– FEHR Paul, né le 18.12.1923 à Knuttange et demeurant à Fameck.
PETER Victor, né le 16.6.1922 à Paris et demeurant à Wattwiller.
RUBERT Léon, né le 27.1.1928 à Antibes.
NB : Ces trois hommes ne sont pas répertoriés au Volksbund.
– FEHR Paul, né le 18.12.1923 à Knuttange et demeurant à Fameck.
PETER Victor, né le 16.6.1922 à Paris et demeurant à Wattwiller.
RUBERT Léon, né le 27.1.1928 à Antibes.
NB : Ces trois hommes ne sont pas répertoriés au Volksbund.
– Fischer Edouard, né et demeurant à Rosheim
Jordan Joseph, né et demeurant à Mulhouse
Martz Eugène, né et demeurant à Meistratzheim
Schlienger Bernard, né et demeurant à Uberkumen
Nachname: Schlienger
Vorname: Bernhard
Dienstgrad:
Geburtsdatum: 05.10.1922
Geburtsort:
Todes-/Vermisstendatum: 01.09.1944
Todes-/Vermisstenort: Russland
Schubnel Pierre, né et demeurant à Kingersheim
Wiedemann Lucien, né à Huningue et demeurant à Village-Neuf
* NB : Tous ont disparu dans le Grand Nord. Le régiment était engagé en Laponie entre 1941 et 1944.
– Haffner Ernest, né et demeurant à Roderen
– Hugel Robert, né et demeurant à Allenwiller
Willig Paul, né et demeurant à Mulhouse
Nachname: Willig
Vorname: Paul
Dienstgrad:
Geburtsdatum: 03.09.1923
Geburtsort: Mülhausen/Elsaß
Todes-/Vermisstendatum: 10.04.1945
Todes-/Vermisstenort:
Paul Willig ruht auf der Kriegsgräberstätte in Ingelfingen-Bühlhof (Bundesrepublik Deutschland). Endgrablage: Einzelgrab.
NB: La Croix-Rouge allemande a enregistré un VILLIG Paul né le 9.9.1923. S’agit-il d’un homonyme ou d’une erreur de transcription ?
– Blank Charles, né et demeurant à Huningue
Nachname: Blank
Vorname: Karl
Dienstgrad:
Geburtsdatum: 12.02.1922
Geburtsort:
Todes-/Vermisstendatum: 01.04.1943
Todes-/Vermisstenort: Russland
– Bronner René et demeurant à Rossfeld
Muller Albert, né et demeurant à Gottesheim
Schmerber Aimé, né Mulhouse et demeurant à Illzach
Nachname: Schmerber
Vorname: Amandus
Dienstgrad: Gefreiter
Geburtsdatum: 03.11.1924
Geburtsort: Mülhausen
Todes-/Vermisstendatum: 11.03.1945
Todes-/Vermisstenort: i.Nagybajom
Je fais des recherches pour un ami qui a perdu son oncle sur le front de l’Est.
Il s’agit de Georges Schaeffer, né le 3.1.1924 à Obersoultzbach (Bas-Rhin) et dont la dernière adresse connue est SP 05805 B à Cracovie. Il avait été incorporé comme grenadier dans la 2e compagnie du Panzer-Grenadier Ausbildungs-Bataillon 40.
Merci pour toute information !
JC Malischewsky
Courriel : malischewskyjean@free.fr
* Fiche du Volksbund et de la Croix Rouge allemande transmises par Claude Herold :
Nachname: Schäffer
Vorname: Georg
Dienstgrad:
Geburtsdatum: 03.01.1924
Geburtsort:
Todes-/Vermisstendatum: 01.07.1944
Todes-/Vermisstenort: Krakau / Saybusch
NB : La Feldpostnummer 05805B correspond à la 9e Compagnie du Panzergrenadier-Regiment 40, mais était attribué avant à la 1ere Compagnie du Panzergrenadier-Regiment 63.
S’appuyant sur les archives de « l’Ami du Peuple » / ‘Der Volksfreund” et de l’ADEIF, complétées par plusieurs dizaines d’entretiens et de documents privés, sa présentation veut permettre à chacun de mieux « Comprendre l’incorporation de force », trop souvent ignorée dans sa réalité. Parce que le drame des Malgré-Nous ne peut être compris sans qu’il soit replacé dans son contexte historique, le dossier rappelle les débuts de la guerre et la manière dont l’Alsace et la Moselle furent annexées illégalement par l’Allemagne nazie. Il revient également sur l’après-guerre des Malgré-Nous avec le procès de Bordeaux (1953) et les longues années de négociations qui ont amené à la reconnaissance de cette catégorie particulière d’anciens combattants.
Le 29 août 2010 a été inaugurée une stèle en mémoire des incorporés de force tués ou disparus pendant la Deuxième Guerre mondiale au cimetière de l’Est à Metz. Elle porte une croix de Lorraine et l’inscription : » 1942–1945 / A la mémoire des Malgré-Nous victimes de l’incorporation de force / La ville de Metz reconnaissante ».
Schwartz Emile, né et demeurant à Bischheim, ne figure pas dans les fichiers du Volksbund.
A la suite de recherche genealogique j’ai retrouvé la trace de mon oncle Joseph JACHMICH, né le 11.8.1920 à Moyeuvre Grande (Moselle). La dernière trace que nous avons de lui se situe vers le 11.08.1944 à Stepes en Lettonie. Il faisait partie de la 13e compagnie du Grenadier-Regiment 31.
Je recherche des renseignements sur ce régiment et aimerais savoir si des personnes qui étaient dans le même régiment sont toujours de ce monde.
J’ai décidé de faire cette recherche, car ma grand-mère à toute sa vie
attendu le retour de son fils et n’a jamais pu savoir ce qu’il était
devenu. Je dois à sa mémoire de faire ce travail.
Merci beaucoup pour tout renseignement.
Christine BISSON
Courriel : christinebisson@yahoo.fr
* Fiche du Volksbund transmise par Claude Herold :
Nachname: Jachmich
Vorname: Joseph
Dienstgrad:
Geburtsdatum: 11.08.1920
Geburtsort:
Todes-/Vermisstendatum: 01.08.1944
Todes-/Vermisstenort: Lettland
* Fiche du site MemorialGenWeb transmise par Gérard Schutz :
Nom : JACHMICH
Prénoms : Joseph
Date de naissance : 11/08/1920
Commune de naissance : Moyeuvre-Grande
Département ou pays : 57 – Moselle
Date du décès : 1945
Autres informations : Porté disparu.
– Kurtz Antoine, né et demeurant à Morschwiller
Arbogast Marcel, né à Avolsheim et demeurant à Molsheim
Nachname: Arbogast
Vorname: Marcel
Dienstgrad:
Geburtsdatum: 11.12.1918
Geburtsort:
Todes-/Vermisstendatum: 01.01.1945
Todes-/Vermisstenort: Warschau / Narew Brückenkopf
* Incarcérés dans une prison de la Wehrmacht, ils en ont été libérés pour être versés au front.
Renseignements d’Arlette Troester – courriel : troestera@yahoo.fr : Antoine François Kurtz a été condamné à la prison pour attitude antinationale. Incarcéré à la prison de Köln (Cologne)-Mülheim, il est décédé à Villingen-Schwenningen.
Après avoir été soldat français en 39–40 – il appartenait à la Compagnie de l’Air 6/138 à Pont-les-Bains en août 1940. Ayant la possibilité d’avoir un emploi à Rodez, il hésite à retourner en Alsace une fois démobilisé.
Son frère, Aloïse, est mort le 1.1.1944 dans le secteur de Schitomir. Ses deux autres frères, Joseph et Michel, eux aussi incorporés de force, sont revenus blessés de la guerre.
Antoine et Aloïse se sont rendus avec d’autres appelés, dont ceux d’Ohlungen, au conseil de révision à Haguenau revêtu de leurs costumes de conscrits français accompagné d’un attelage sur lequel ils avaient marqué : « zum Schlachthaus » (« pour l’abattoir »). Les SS les y ont « soigné » pendant plusieurs jours et ont porté sur les livrets militaires : « politiquement non sûr ». Les deux autres frères, plus âgés et plus matures, avaient prudemment évité de participer à cette manifestation pro-française. Les deux plus jeunes ont ensuite été placés dans des régiments plus surveillés que les autres.
Antoine a d’abord été en Pologne où il a été employé à la chasse aux partisans. Puis il s’est retrouvé en Hollande, notamment à Nimègue. Puis, pour une raison que l’on ignore, il a été interrogé. On lui a notamment demandé s’il préférait l’armée française ou l’armée allemande. Sa réponse, l’armée française, lui a valu d’être condamné et envoyé à la prison de Köln-Mülheim.
Aloïse a tenté de se rendre en Ukraine, lors d’un bombardement des lignes allemandes. Lorsqu’il a levé les mains, un soldat russe lui a tiré dessus et l’a touché à la main. Renonçant à s’évader, il rejoint ses camarades. Là, ses supérieurs l’accusent de mutilation volontaire. Mais, comme il subsistait un doute, Aloïse n’a pas été condamné à mort, mais envoyée dans une compagnie disciplinaire où les chances de survie étaient très faibles.
Michel a tenté de déserter, ce qui a motivé une perquisition de la Gestapo chez sa femme. Heureusement, cette dernière a pu montrer une carte postale envoyée par son mari et dont le contenu l’a disculpé. Entretemps, Michel avait dû renoncer, car il en voyait pas comment s’en sortir seul en Pologne. Il a été blessé au ventre lors des combats de Berlin. Le médecin militaire allemand qui l’a opéré lui dit : « Je t’ai choisi toi, car je n’ai plus assez de médicaments pour tous et parce que tu es français : j’ai eu l’impression de réparer un peu ce que Hitler a fait ». C’est ainsi que Michel a pu rentrer de la guerre.
Si quelqu’un avait des renseignements complémentaires sur ces hommes, merci de nous contacter : info@malgre-nous.eu.
Photo prise en 1934 ; de gauche à droite : Antoine Kurtz (+1945), Antoine Kappfer (+1944), Phine Kappfer, Aloïse Kurtz (+ 1.44) et, à l’accordéon, Franz, de Uberach (+1944).