KIEFFER Paul

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jpg_Kieffer_Paul.jpgJe suis la fille de Kief­fer Paul, né à Hochs­tatt (Haut-Rhin) le 16.4.1915. Dessi­na­teur de profes­sion, mon père a effec­tué son service mili­taire au 21e RI en octobre 1936. Renvoyé dans ses foyers en octobre 1938. Rappelé au 21e RI en mars 1939, il est démo­bi­lisé à Rodez en septembre 1940.

Il habi­tait à Gueb­willer (Haut-Rhin) lorsqu’il a été incor­poré de force dans la Wehr­macht en 1943 et envoyé immé­dia­te­ment sur le front de l’Est (Russie, Pologne). Il a été porté disparu en janvier 1945 et vrai­sem­bla­ble­ment tué lors de l’of­fen­sive russe sur la Vistule (d’après le DRK).

Voici ce que je sais de son parcours dans la Wehr­macht :

 29.6.1943: Ersatz Kompa­nie Maschi­nen­ge­wehr Btl 9

 9.7.1943: Reserve Kompa­nie Maschi­nen­ge­wehr

 29.7.1943 : 4e Maschi­nen­ge­wehr Kompa­nie – Reserve Fusillier Bataillon – 169e Grena­dier Regi­ment – 68e Infan­te­rie Divi­sion.

jpg_Paul-Kieffer.jpg A partir du 12 janvier 1945, il se trou­vait à Sando­mir, sur la Vistuel, dans le Sud-Est de la Pologne. D’après la Croix-Rouge alle­mande (DRK), mon père a disparu dans l’es­pace Kielce-Krakau lors de la grande offen­sive de l’Ar­mée rouge sur la Vistule pendant la bataille « Bara­now gros­ser Weich­sel­bo­gen Schlacht« .

Marié à Berna­dette Jeanne Kief­fer, Paul Kief­fer est le père de deux filles : Marlyse et Paulette, décla­rées pupilles de la Nation suivant la déci­sion du Tribu­nal de Colmar le 17 juin 1952. A la même date, sur requête de son épouse et par juge­ment de ce même tribu­nal, mon père a été déclaré « mort pour la France » à la date du 20 décembre 1944.

Nous avons tout essayé auprès des orga­ni­sa­tions et asso­cia­tions alle­mandes pour trou­ver une trace, un indice afin de pouvoir loca­li­ser sa tombe mais sans succès. Aujourd’­hui nous bais­sons les bras nous n’avons plus d’es­poir.

Quelqu’un peut-il nous aider ?

MISSLIN Marlyse
Cour­riel : miss­lin.roland@­wa­na­doo.fr

* Fiche du Volks­bund aima­ble­ment commu­niquée par Claude Herold :

 Nach­name: Kief­fer

 Vorname: Paul Ernst

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 16.04.1915

 Geburt­sort: Hochs­tatt

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 12.01.1945 – 31.01.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort: Krakau / Saybusch

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 12.01.1945 – 31.01.1945 vermißt.

* Lien trans­mis par Gérard Schutz : [http://www.memo­rial-genweb.org/~memo­rial2/html/fr/comple­ment­ter.php?table=bp&id=2021015&largeur=1600&hauteur=900

 >http://www.memo­rial-genweb.org/~memo­rial2/html/fr/comple­ment­ter.php?table=bp&id=2021015&largeur=1600&hauteur=900
]

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Les orphe­lins de Malgré-Nous à Paris

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Les Orphe­lins de Pères  » Malgré-Nous  » à la mani­fes­ta­tion du jeudi 29 novembre 2007 à Paris.

Les Orphe­lins de Pères Malgré-Nous d’Al­sace Moselle (OPMNAM) se sont acco­ciés à la mani­fes­ta­tion orga­ni­sée par l’ANPNOGD (Asso­cia­tion Natio­nale des Pupilles de la Nation Orphe­lins de Guerre et du Devoir) ce jeudi 29 novembre 2007 à Paris en vue d’ob­te­nir la recon­nais­sance des trau­ma­tismes à l’iden­tique pour tous les Orphe­lins de Guerre, afin que chacune et chacun béné­fi­cie de la même solli­ci­tude et des mêmes mesures de répa­ra­tions, une dette impres­cri­tible pour l’Etat, qui porte une part de respon­sa­bi­lité dans leur situa­tion.

En Alsace-Moselle, pour para­phra­ser M. Chirac , « En 1940, en 1942 jusqu’en 1955 , avec la libé­ra­tion des derniers prison­niers des horribles camps russes, ces enfants que la France n’avait pas su proté­ger, portaient aussi le nom, Alsa­ciens et Mosel­lans ».

Trois auto­cars ont été affrê­tés pour 150 personnes, au départ de la Moselle par Mme M.-L. LORENZON, prési­dente de la délé­ga­tion mosel­lane de l’ANPNOGD, certains utili­sant d’autres moyens de trans­ports.

La mani­fes­ta­tion a débuté place Vauban pour se rendre devant l’As­sem­blée Natio­nale où une délé­ga­tion a été reçue.

Plus de 3000 Orphe­lins de Guerre de tout le terri­toire ont répondu présent à l’ap­pel Me André LEFEBVRE, président natio­nal de l’ANPNOGD, pour la prise en compte de la légi­time impa­tience de tous, par un mouve­ment d’en­ver­gure, qui s’est déroulé dans la dignité avec pour objec­tif de mettre fin dans un ETAT de DROIT, à la doulou­reuse discri­mi­na­tion faite à certaines caté­go­ries d’Or­phe­lins depuis plus de 7 ans, par les décrets de 2000, puis de 2004, et qui ne saurait perdu­rer plus long­temps.

Le président de la Répu­blique a reconnu par deux fois que « les « Malgré-Nous » ont été des victimes  »… mais de qui ?
« Victimes du natio­nal socia­lisme ? » à ce jour, statut jamais reconnu offi­ciel­le­ment comme tel, une exigence récu­rente et légi­time pour ceux et celles qui ont direc­te­ment vécu cette tragé­die, les anciens Malgré-Nous et Malgré Elles, mais aussi les Veuves et les Orphe­lins.

Pour être tout à fait clair, nous ne récla­mons pas un régime spéci­fique, source de nouvelles discri­mi­na­tions, mais l’éga­lité de trai­te­ment.

De nombreuses voix s’élèvent aujourd’­hui pour recon­naître la respon­sa­bi­lité de la France dans l’aban­don par la mère Patrie, des Alsa­ciens et Mosel­lans, livrés pieds et mains liés aux Nazis, sans protes­ta­tion bien audible.

Sur un effec­tif de 130.000 incor­po­rés de force dans les armées hitlé­riennes, comme chair à canon, le plus souvent sur toute l’éten­due des fronts à l’ Est., la propor­tion des victimes est consi­dé­rable, une héca­tombe, soit 30 %, dix fois plus que les Améri­cains (360.000 tués sur 12 millions de soldats), le Géno­cide d’une Géné­ra­tion.

D’au­cuns peuvent aussi se deman­der et avec raison, pourquoi nous n’évoquons pas la respon­sa­bi­lité de l’Al­le­magne, qui a fait de nous des Orphe­lins ? Ques­tion judi­cieuse qui rece­vra prochai­ne­ment une réponse.

L’OPMNAM milite depuis de longues années pour que l’hon­neur soit rendu à nos pères et à leurs cama­rades dispa­rus dans la fleur de l’âge, à l’aube d’une vie pleine d’es­pé­rances, par l’édi­fi­ca­tion d’un « Mur des Noms » que nous espé­rons pour 2010, pour toutes les victimes civiles et mili­taires dont les 40 000 incor­po­rés(es) de force de la Seconde Guerre mondiale.

Dès novembre 2006 à Hanschu­heim, les trois dépar­te­ments d’Al­sace-Moselle et la Région Alsace se sont enga­gés pour un recen­se­ment des victimes de la Seconde Guerre mondiale commun dont les moda­li­tés seront annon­cées très prochai­ne­ment, par le président du Conseil Géné­ral du Bas-Rhin, M. Philippe RICHERT et ses collègues.

La Moselle a été lancé le 20 octobre dernier par le président du Conseil Géné­ral, M. Philippe LEROY, devant 600 à 700 Personnes dont 220 porte-drapeaux, un grand chan­tier pour la Mémoire patrio­tique spéci­fique mosel­lane, qui verr la construc­tion d’un musée et d’un « Mur des Noms » des victimes mili­taires des trois conflits sur le plateau de Grave­lotte, près de Metz, à l’ho­ri­zon 2010 et s’as­so­ciera à l’Al­sace pour celui prévu sur le site du Mémo­rial de Schir­meck que toutes les familles attendent avec impa­tience.

Autre projet de l’OPMNAM : encou­ra­ger chaque muni­ci­pa­lité d’Al­sace-Moselle à rempla­cer les laco­niques plaques , « A nos morts de 1939–45 » ou « de 1914/18 » , souvent placées au fond d’un cime­tière, par un Mur des Noms.
Ces morts civils ou mili­taires, tombés en 1939 et par la suite dans les armées françaises et alliées ou sous l’uni­forme alle­mand, sous les bombes, fusillés comme résis­tants ou morts en dépor­ta­tion, ont un tous un NOM et un PRENOM.

Edifions-leur un MUR de NOMS au plus près des familles, dans chaque commune (si ce n’est pas déjà fait), pour recueillir et immor­ta­li­ser leurs iden­ti­tés, en témoi­gnage de leurs exis­tences et en mémoire de leurs sacri­fices.

Bernard ERNEWEIN et Fernand FOEGLE, président et vice-président de l’OPMNAM
(Tel : 08 77 56 08 87 – cour­riel : orphe­lins­peres.malgre-nous@­wa­na­doo.fr)

Photos Gérard MICHEL et Jean HUEBER

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Fédé­ra­tion Natio­nale André Magi­not

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Fédé­ra­tion Natio­nale André Magi­not

24bis boule­vard Saint-Germain, 75005 Paris
Tél : 01.40.46.71.40 – Fax : 01.40.46.71.41

Cour­riel : FNAM@­ma­gi­not.asso.fr

Site : http://www.fede­ra­tion-magi­not.com

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KRATZ Jacques

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Jacques KRATZ était mon grand-père. Aujourd’­hui décédé, personne
dans la famile ne sait ce qui s’est passé pour lui pendant la
guerre. J’ai déjà fait quelques recherches mais sans grand succès, alors
par l’in­ter­mé­diaire de ce site j’es­père pouvoir en apprendre plus sur lui
lors de la guerre.

Voilà quelques infor­ma­tions :

 Né le 25 juillet 1922 à Keskas­tel (67).

 Un docu­ment des assu­rances sociales mention­nants un employeur en Charente à Saint-Michel-sur-Charente daté de 1940.

 Landes­ver­si­che­rung­sans­talt : West­mark.

 Sold­buch daté de 1942 Geb. Jg. Pi. Erf. Kp. 137 mention­nant égale­ment Gren. Rgt. 404 et Gren Ers. Btl. 72.

 Une carte de rapa­trié de la Répu­blique Française mention­nant que le dernier lieu de déten­tion ou de travail en Alle­magne était Aix-la-Chapelle.

 Une fiche de congé illi­mité datée de 1945 où il est noté qu’il a
servi dans la Wehr­macht et reçu une somme « y compris la prime
d’éva­sion ».

Dans ces docu­ments j’ai quelques diffi­cul­tés à faire les traduc­tions et
à tout remettre en ordre. Malgrè tout, je souhai­te­rais savoir si des
personnes l’ont rencon­tré, étaient dans les mêmes compa­gnies que lui,
savent ce qui s’est passé pour les soldats des mêmes régi­ments ou tout
autre infor­ma­tions.

Y a-t-il une adresse ou rencon­trer des gens pour se mettre sur la bonne
voie pour effec­tuer de telles recherches ?

Je vous remer­cie.

Made­leine KRATZ
madsquid@­wa­na­doo.fr

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BOHNERT Charles

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

Charles Bohnert Cuisi­nier (* Stras­bourg, Bas-Rhin, 26.5.1923 + Château­neuf-les-Martigues 26.11.1994). Cuisi­nier dans l’es­ta­mi­net fami­lial Schloe­gel, 19 rue de la Krute­nau à Stras­bourg, il est incor­poré au RAD du 17.4.1942 au 29.9.1942 (matri­cule 18526). Il est enrôlé de force dans la Wehr­macht (à droite sur la photo ci-contre avec son père) le 17.10.1942 dans la Stamm-Kompa­nie-Pionier-Ersatz-Bat. 46 à Regens­burg. Il part pour le front 23.3.1943. Il fait partie du Pion­nier-Btl. 27/2 Komp Bat. 157 du 29.3.1943 au 8.8.1943. Il est engagé sur le front de l’Est à Kras­no­polte (entre Orel et Kurks-Suny), du 29.10.1943 au 27.1.1944 à Miro­nowka Tcher­kassy, du 18.4.1944 au 25.6.1944 à Smaki Mogi­lew. Il a été blessé le 5.8.1943. Fait prison­nier le 25.6.1944, il est conduit au camp n°185 de Gorki, puis au camp n°188 à Tambow. Il est libéré le 25.10.1945 par l’am­bas­sade de France à Varso­vie.

Rensei­gne­ments commu­niqués par son fils, Charles Bohnert.

Cour­riel : chboh­nert@­te­le2.fr

Charles Bohnert recherche égale­ment les cama­rades de son père qui étaient incar­cé­rés avec lui dans le camp de Tambow. Il a trans­crit la liste telle qu’elle a été établie par son père:

  •  GILLIOX JOSEPH CHEMIN LONG HAGENEAU

    DRESSLER MARTIN 4 BOURGGONIER ST MARIE LES MINES

    ANDRE JULES 3 RUS LA BLEUCH ERSTEIN

    PETER RENE 5 RUS DE HOP STRASBOURG

    RENEE CHARLES ROPPENHEIM

    EULER RENE 22 RUE DES SUISSES SARRE VURAU

    JOURDAN ALPHONSE WESTWILLER

    BILLISIGER CLAUDE 5 AV PASTEUR HAGONDANGE

    SIMON AIME NEUF RISSACH

    TRICHEL JULES

    ROOS ERMEL RUE DE ZURICH STRASBOURG

    LECHINEU 9 RUE DE LAUSANNE OU LAURAINE ?

    GRAF ALFRED DISTILLERIE 126 GUNSBARCH

    MUNCH JEAN RUE DES CERISES STRASBOURG

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HELMSTETTER Emile & KURTZ Georges

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jpg_Helmstetter_Emile.jpgEmile HELMSTETTER, né le 21/03/1908 à Dieme­rin­gen (Bas-Rhin), a été incor­poré de force le 12/11/1944. Il faisait partie du Grena­dier Ersatz-und
Ausbil­dungs-Bataillon 4
. Il aurait disparu le 18/01/1945 près de
Pfeil­stett (135 km de Bres­lau, en Pologne). Son épouse Eugé­nie est
toujours en vie ; son fils Roger, né en 1938, et ses trois petits-enfants
seraient recon­nais­sants d’ob­te­nir des témoi­gnages ou des rensei­gne­ments
sur ce bataillon et un lieu d’in­hu­ma­tion pour éven­tuel­le­ment se rendre
là-bas.

Georges KURTZ, né le 16/03/1913, a aussi été incor­poré de force, fait
prison­nier, mais a pu rentrer et retrou­ver sa famille.

Merci pour tout rensei­gne­ment à leur sujet.

Mon adresse : natha­lie.siegrist@­la­poste.net

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SPACH René

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Je recherche des infor­ma­tions sur mon oncle, René SPACH, né le
17/05/1923 à Uhrwiller (Bas-Rhin).

Il a été enrôlé dans l’Armé alle­mande, sans autre préci­sion, la
famille reste muette sur cette personne. La seule chose que j’ai
pu obte­nir, c’est qu’ il aurait disparu en 1943 en Russie.

Toutes les demandes d’in­for­ma­tion que j’ai faites à ce jour sont restées
sans réponse ou sans suite…

Je viens donc vers vous pour me donner un conseil pour obte­nir un mini­mum
d’in­for­ma­tion concer­nant cet oncle.

Avec mes remer­cie­ments,

Michel Spach

Cour­riel : MichelS­pa­ch@aol.com

Fiche du Volks­bund aima­ble­ment commu­niquée par Claude Herold :

 Nach­name: Spach

 Vorname: Rene

 Dienst­grad:

 Geburts­da­tum: 17.05.1923

 Geburt­sort:

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.11.1943

 Todes-/Vermiss­te­nort: Iwan­kowka ohne nähere Angabe

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist die o. g. Person seit 01.11.1943 vermißt.

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WURTZ Xavier

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jpg_Wurtz_X.jpg(* Rohr­willer, Bas-Rhin, 24.08.1911). Marié à Margue­rite Schmitt; 2 enfants : Adrien et Erwin. Il habi­tait Gries au moment de son incor­po­ra­tion de force. Il dispa­raît sur le front de l’Est au cours de l’hi­ver 1944–1945. Sa dernière adresse connue est Varso­vie.

Il est le n°6143 du Recueil photo­gra­phique des dispa­rus du Bas-Rhin (1948).

D’après des rensei­gne­ments four­nis par Romain Graf.
jpg_Wurtz_Xavier.jpg

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SPITZ Henri

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Je suis à la recherche d’in­for­ma­tions sur mon grand-père, Henri Spitz,
origi­naire d’Ep­fig (Bas-Rhin) et décédé en 1984. Je ne sais quasi­ment rien sur lui,
si ce n’est qu’il a été enrôlé dans la Wehr­macht et qu’il aurait été
prison­nier à Tambow.

Pouvez-vous m’in­diquer où je pour­rai trou­ver des infor­ma­tions ? D’avance, je vous en remer­cie vive­ment.

Mon adresse : celine.spitz@­free.fr

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SENG Charles

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Je suis le neveu de SENG Charles, né le 16 novembre 1919 à Mulhouse (Haut-Rhin), incor­poré de force, ancien prison­nier au camp de Schir­meck, et tombé en Alle­magne en octobre 1944 à Badfreien­walde, près de la fron­tière polo­naise.

M’étant rendu sur place en 1994 afin de recher­cher une éven­tuelle
sépul­ture, puisqu’il aurait été enterré au « Helden­fried­hof » au dire des
auto­ri­tés de l’époque… je me suis adressé à la WAST afin de de leur
deman­der la mise en place d’une sépul­ture digne ou au moins une croix avec
son nom.

La réponse de la WAST a été plus que laco­nique et en tout état de
cause une réponse d’at­tente. Que dois je faire? Je m’adresse à vous, peut-être pouvez vous m’ai­der? D’avance, je vous en remer­cie.

Chris­tian Seng

Je vous donne mon E-mail : chris­tian­se@­voila.fr et aussi mon télé­phone portable : 06–03–13–96–66

Fiche du Volks­bund aima­ble­ment commu­niquée par Claude Herold :

 Nach­name: Seng

 Vorname: Karl

 Dienst­grad: Gefrei­ter

 Geburts­da­tum: 16.11.1919

 Geburt­sort: Mülhau­sen

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 23.10.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:

Karl Seng ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Bad Freien­walde (Bundes­re­pu­blik Deut­schland) .
Endgra­blage: Block 1 Reihe 2 Grab 28

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