LEININGER Jean Charles

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Je recherche mon grand-oncle, LEININGER Jean Charles, né le 17–8–1925 à Joeuf. Il est décédé le 30–11–1944 à Pulawy, en Pologne.

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Malgré toutes mes recherches, je n’ai pas trouvé de rensei­gne­ments sur son parcours.

Merci pour toute aide.

Eric Lhuillier

 eric.lhuillier@sfr.fr

* Claude Herold nous trans­mets une fiche du VDK qui pour­rait corres­pondre :

 Hans Leinin­ger

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Hans Leinin­ger­seit 01.08.1944 vermisst.

 In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Pulawy haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

 Nach­name:Leinin­ger

 Vorname:Hans

 Geburts­da­tum:17.08.1925

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:01.08.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:Warka Brücken­kopf / Weich­sel­bo­gen
/ Weich­sel­brü­cken­kopf

* D’après le DRK, il appar­te­nait à la 8e compa­gnie du Grena­dier-Regi­ment 367. Avec lui se trou­vait Robert Pister.

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KUHN Edouard Paul

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Edouard Paul Kuhn, né le 10/11/1921 à Metz (Moselle). Il est décédé le 13/08/1944 à Würz­burg (Alle­magne).

Son Wehr­pass indique :

 Kuhn Paul Edouard

 Né à Metz le 10.11.21

 Natio­na­lité : « Deutsches Reich »

 Catho­lique.

 Marié à Pauline (Paula dans le livret). Le nom de jeune fille n’est pas précisé, mais figure dans l’acte de décès.

 Langue étran­gère : le français.

 Groupe sanguin : B

 Livret mili­taire établi le 10.1.43 à Metz.

 A effec­tué le Reich­sar­beits­dienst.

 Affecté à la compa­gnie d’état-major du Grena­dier-Ersatz-Bataillon II/133 (18.1.43), Steyr, Autriche.

 Pres­ta­tion du serment : 30.1.43.

 2.2.43 : versé dans la 1ère Grena­dier-Ausbil­dung­skom­pa­nie du Grena­dier Ausbil­dung-Bataillon I/132.

 Sa dernière unité est la Gene­sen­den­kom­pa­nie (compa­gnie de conva­les­cence) du Grena­dier Ersatz und Ausbil­dung Bataillon I/482 (21.6.44–13.8.44).

 Formé à l’uti­li­sa­tion du fusil Mauser 98 et de la mitrailleuse MG 34.

 Nommé Ober­gre­na­dier le 1.12.43.

 1.6.44 Blessé en Italie. Appar­te­nait à la 4e compa­gnie de mitrailleuses du Grena­dier-Regi­ment 1059 (du 12.2.44 au 20.6.44).

 Un télé­gramme de l’hô­pi­tal mili­taire de Würz­burg a annoncé qu’il est décédé à la date du 13.8.1944.

 Un cour­rier du BAVCC de Caen m’a permis de retrou­ver la trace de sa tombe.
Appa­rem­ment après son décès à l’hô­pi­tal de Würz­burg , le corps a été rapa­trié à Metz, et inhumé à l’hô­pi­tal mili­taire de Cham­bières. Par la suite, les restes ont été exumés et enter­rés dans la partie civile de ce cime­tière avec le reste de sa famille

* Selon Claude Herold, il n’est pas réper­to­rié au VDK.

kuhn_edouard_groupe.jpg Edouard Kuhn est celui qui fume la pipe, le 2e du 2e rang depuis la gauche.

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kuhn_edourard_wehrpass_1.jpgkuhn_edourard_wehrpass_2.jpg

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Charles MUNCH

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Source : http://hirsingue.patri­moine.free.fr/Charles_Munch.html

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MATHERN Joseph Albert

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Je suis à la recherche d’in­for­ma­tions sur le parcours de mon père, MATHERN Joseph Albert Henri, ancien Malgré-Nous mosel­lan.
Il est né le 24.04.1924 à Metz et il est décédé le16.12.2010.

D’après ce que je sais, il a fait le Reich­sar­beits­dienst, puis il a été incor­poré de force dans la Wehr­macht avant d’être envoyé sur le front russe où, à la suite d’une bataille, il a eu une permis­sion excep­tion­nelle pour aller voir ses parents à Metz.

Son incor­po­ra­tion n’a duré qu’en­vi­ron 6 mois puisque, à l’oc­ca­sion de cette permis­sion, il a déserté (avec deux Lorrains : Paul Albert et Jean Marchal) et, après avoir fran­chi clan­des­ti­ne­ment la ligne de démar­ca­tion, il a rejoint Saint-Étienne pour finir comme ouvrier agri­cole dans une ferme.

Ensuite, à l’oc­ca­sion de son retour à Metz, il a été fait prison­nier par les Améri­cains qui l’avait trouvé en posses­sion d’une photo où il était en uniforme alle­mand. Il a fini la guerre à Sainte-Mère-Église avant d’être libéré.

J’au­rais parti­cu­liè­re­ment aimé connaître son parcours après Rawitsch.

Merci pour tout rensei­gne­ment complé­men­taire.

Gérard Mathern

 

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PFEFFERKORN Edgar

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pfefferkorn_edgar_portrait.jpg Mon oncle, Edgar Pfef­fer­korn (* Mont­bronn, Moselle, 6 février 1924 + près de Lintz, Alle­magne, 10 février 1945 selon la mention margi­nale du livret de famille), figure dans la liste des non rentrés de Mont­bronn. D’après un cama­rade rencon­tré par son père après guerre, il aurait été blessé ou tué d’un éclat d’obus dans le front entre Thorn et Brom­berg lors de l’avan­cée des troupes russes.

La fiche du Volks­bund, publiée sur ce site www.malgrés-nous.eu/spip.php?arti­cle1533 (article consa­cré aux non-rentrés de Mont­bronn) indique :

 Nach­name : Pfef­fer­korn

 Vorname : Edgar

 Dienst­grad :

 Geburts­da­tum : 06.02.1924

 Geburt­sort :

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum : 01.01.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort : Thorn

Sur ce même docu­ment on trouve la Feld­post­num­mer 42739 et qu’il se trou­vait le 04.01.1945 entre Thorn et Brom­berg : Festungs-Pak-Kompa­nie 8 / V.

Ma mère est la sœur d’Ed­gar. Elle se souvient qu’il a été incor­poré de force pour avoir refusé de faire le salut hitlé­rien devant le maire alle­mand du village. Avant sa mort, mon grand-père a brûlé tous les docu­ments rela­tifs à la dispa­ri­tion de son fils. En parti­cu­lier une lettre du cama­rade alle­mand de mon oncle qui conte­nait beau­coup de détails sur sa dispa­ri­tion. Mon oncle était rentré chez ses parents quelques semaines avant le Débarque­ment en fausse permis­sion pour ravi­tailler ses supé­rieurs en lard et eau de vie ! Son père l’avait conjuré de ne pas repar­tir au front, mais il a refusé à cause des terribles consé­quences encou­rues par sa famille.

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Grâce au dossier du BAVCC de Caen, il a été établi que :

 Il faisait partie du Gren. Rgt. 81 / 74. Inf. Div. – FPN 42739.

 Il était rentré chez lui le 02.06.1944, quelques jours avant le débarque­ment.

 Les dernières nouvelles de lui reçues par sa famille datent de novembre 1944.

 D’août 1944 au 31.01.1945, il était stationné entre Thorn et Brom­berg (Prusse orien­tale).

 Début février 1945, son régi­ment se trou­vait près de Linz. Il était avec son cama­rade Hubert Nievel­stein, d’Aa­chen, témoin de sa mort.

 Il est mort d’un éclat de grenade dans la tête au lieu­dit la Tuchler Heide, près de Linz, le 10.02.1945. Son cama­rade a dû battre en retraite suite à l’avan­cée des Russes, après lui avoir enlevé son livret mili­taire et sa montre, qu’il a remis à son supé­rieur.

 On ignore toujours où il a éven­tuel­le­ment été enterré.

 Il est déclaré mort pour la France (1952).

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Ci-dessus : Edgar Pfef­fer­korn en uniforme du RAD.

* Fiche du DRK trans­mise par Claude Herold :
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De la céré­mo­nie de Ouis­tre­ham au docu­men­taire de la « Das Reich »

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DNA du 09.07.15

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Les ADEIF en appel

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Chers Amis et défen­seurs de la Mémoire alsa­cienne,

En 1947, le géné­ral De Gaulle décla­rait : « Parce qu’ils ont le plus souf­fert, parce qu’ils ont été pour la France à la pointe du combat, les Alsa­ciens et les Lorrains n’ont jamais été plus près du cœur de la Nation ».

En 2010, le président de la Répu­blique décla­rait : « Les « Malgré-Nous » ne furent pas des traitres. Les menaces de repré­sailles qui pesaient sur leurs familles ne leur lais­saient pas le choix. Ce furent des victimes. Des victimes du nazisme. Des victimes du pire régime d’op­pres­sion que l’his­toire ait connu ».

Malgré cette recon­nais­sance offi­cielle de la Répu­blique, les ADEIF du Haut-Rhin et du Bas-Rhin ont dû une nouvelle fois mener le combat judi­ciaire pour faire respec­ter la vérité histo­rique face à un docu­men­taire parti­san et portant atteinte aux incor­po­rés de force.

Les ADEIF ont cepen­dant été débou­tées, non pas parce que leurs reven­di­ca­tions contre le docu­men­taire « Das Reich » sont infon­dées, mais parce que leur plainte a été jugée irre­ce­vable !

Devons-nous en rester là ? Pouvons-nous lais­ser dire n’im­porte quoi ?

Nous avons décidé d’al­ler en appel et avons besoin de votre soutien. Nous vous sommes recon­nais­sants d’en­voyer vos chèques à l’ordre de l’ADEIF du Bas-Rhin, 12 rue Kuhn, 67000 Stras­bourg. Sachez qu’a­vec les 2/3 déduc­tibles des impôts, il vous en coûtera seule­ment un tiers de la somme envoyée, soit envi­ron 33 euros pour un don de 100 euros (le certi­fi­cat est fourni).

Avec nos remer­cie­ments frater­nels,

Monsieur René Gall,
président de l’ADEIF du Bas-Rhin

Maître Yves Muller,
président de l’ADEIF du Haut-Rhin

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Plaque d’iden­ti­té… à iden­ti­fier

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erkennungsmarke.jpg

Cette plaque a été décou­verte auprès de la dépouille d’un Gebirg­sjä­ger tombé entre Jebsheim et Ried­wihr entre le 26 et 27 janvier 1944.

Il est sûre­ment tombé sous les balles de la compa­gnie I du 254th Infan­try Regi­ment :
http://www.63rdinf­div.com/254thin­fregt­pa­ge6.html

D’après notre liste de dispa­rus du 136e Gebirg­sjä­ger-Regi­ment, il pour­rait s’agir du haut-rhinois Joseph Hoff­stet­ter : http://www.malgre-nous.eu/spip.php?arti­cle1554

Merci pour tout rensei­gne­ment.

 info@­malgre-nous.eu

* Fiche du DRK trans­mise par Claude Herold (Gebirg­sjä­ger-Regi­ment 136, 3e bataillon, FPN 31666).

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Cette année-là : 1953

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SIPP Emile

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SIPP_Emile.jpg Je suis à la recherche de mon grand-père, Emile SIPP, incor­poré de force le 5 octobre 1944 et porté disparu le 16 novembre 1944 à Augsbourg dans la Geschütz-Batte­rie de la 27e Artille­rie Ersatz und Ausbil­dungs Abtei­lung près de Land­sberg. Au moment de sa dispa­ri­tion, il faisait partie de la 10e Batte­rie du régi­ment d’ar­tille­rie 1541 (voir docu­ments en PJ).

Merci pour toute aide.

Jacques Wurtz

 Cour­riel : jacques.wurtz@ya­hoo.fr

D’après Claude Herold, qui nous trans­met sa fiche du DRK, il n’est pas enre­gis­tré au VDK.

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