BURGEL Robert (Offen­dorf)

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burgel_robert_adeif.jpgBurgel Robert, né et demeu­rant à Offen­dorf

 Robert Burgel

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Robert Burgel­seit vermisst.

 In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Kauen / Kaunas haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

 Nach­name:Burgel

 Vorname:Robert

 Geburts­da­tum:18.11.1922

 Todes-/Vermiss­te­nort:Litauen

Merci pour tout rensei­gne­ment.

 claude.herold@­wa­na­doo.fr

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BISCHOFF Charles

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bischoff_charles_portrait.jpg Charles Bischoff (* Stras­bourg 24.11.1924), rési­dant à Lingol­sheim. Incor­poré de force envoyé sur le front russe, il est porté disparu le 23.1.1944. Pour les détails, voir la fiche ci-jointe trans­mise par la famille.

Bischoff Charles fiche

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* Claude Herold indique qu’il faisait partie, selon le DRK, de la 2e compa­gnie du Div. Btl. 246 (FPN 19226C).
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BERNHARD Louis

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

(* Reich­shof­fen 22.6.1921). Boulan­ger. RAD à Schwe­rin-Pulve­rhof du 8.10.1942 au 2.5.1943 (ce qui lui vaudra d’être reconnu comme « personne contrainte au travail en pays ennemi, en terri­toire étran­ger occupé par l’en­nemi ou en terri­toire français annexé par l’en­nemi » (!) en 1961). Incor­poré de force dans l’ar­mée alle­mande le 22.5.1943 au Pz. Gren. Bat. 64 à Wuper­tal. Blessé le 19.3.1944 en Ukraine (éclats d’obus au cou, à la cuisse et au bras droits), hospi­ta­lisé et opéré à Craco­vie, Pologne, soigné à Wasser­burg/Inn, Bavière. Fait prison­nier des Russes en Tché­co­slo­vaquie le 10.5.1945 et en capti­vité dans les monts Oural. Retour de capti­vité le 14.11.1945. Ses bles­sures seront recon­nues comme « bles­sures de guerre » en… 1975.

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bernhard_louis_wast1.jpgbernhard_louis_wast_2.jpg

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HOLDERBACH Eugène

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jpg_Eugene_Holderbach-2.jpg La dernière affec­ta­tion connue de mon père Eugène Holder­bach (*Alt­kirch, Haut-Rhin, 19.11.1914 – la fiche Wast donne la date du 11.9.1914) est la « 1. Batte­rie/Beobach­tungs-Abtei­lung 50 » où il a été muté en avril 1944. Il est porté disparu le 30.6.1944 dans le secteur d’Ole­chowka.

Son dernier cour­rier daté du 15 juin 1944 (« Osten« ) alors que les précé­dentes lettres étaient (« Im Feld« ), donc en campagne (il y décrit une steppe).

Il a été prison­nier à Wilna, qu’il quitta avec un cama­rade, Etienne Uricher, de Petit-Laudau, qui donna la date de leur trans­fert à Tambow à ma mère :  » J’étais prison­nier avec votre mari à Wilna (Litua­nie) de juillet 1944 à octobre 1944…//…Nous sommes arri­vés au sinistre camp de Tambow le 10 novembre (1944) ».

Mon père est décédé au camp de Tambov le 21.12.1944.

Si je suis parvenu à rassem­bler dans les grandes lignes son parcours,
Il existe une période de 3 à 4 mois où je n’ar­rive pas a trou­ver d’in­for­ma­tion sur le camp de Wilna. Il s’agit de la période de juillet à octobre 1944 où, prison­nier au camp de Wilna en Litua­nie, il aurait tenté de s’éva­der a la nage sur le fleuve « d’Me­mel » d’après les vagues récits dont je me souviens.

Jean-Claude Holder­bach

 Cour­riel : oste­rhass@­free.fr

Claude Herold nous a aima­ble­ment trans­mis la fiche du Volks­bund

 :

 Nach­name: Holder­bach

 Vorname: Eugen Paul

 Dienst­grad: Gefrei­ter

 Geburts­da­tum: 11.09.1914

 Geburt­sort: Altkirch

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 01.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort: Tambow, russ. Kgf.

 Eugen Paul Holder­bach wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt oder konnte im Rahmen unse­rer Umbet­tungs­ar­bei­ten nicht gebor­gen werden. Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Tambow – Rußland

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RICHERT Henri et MEHL Roger, REBMANN Albert

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Richert_Henri_ADEIF.jpg Je recherche des rensei­gne­ments sur mon oncle RICHERT Henri, né le 02.07.1926 et domi­ci­lié à Preu­sch­dorf lors de son incor­po­ra­tion.

Sa dernière adresse connue est la FPN 11421 C dans la Nieder­lau­sitz (ce qui est confirmé par la lettre du DRK- Such­dienst du 02.03.2015 : « letzte eigene Nachricht : ohne Datum­san­gabe aus der Nieder­lau­sitz« ). Si je me suis bien rensei­gné la Nieder­lau­sitz, en 1944, était une région compre­nant une partie de la Pologne et de l’Al­le­magne et située géogra­phique­ment à l´ouest de la région d´Abramy et de Zambrow où mon oncle a été blessé.

En 1957, il est déclaré décédé le 31.8.1944 en Litua­nie et reconnu « mort pour la France ».

Le dossier du BAVCC nous apprend :

Mon oncle a éte incor­poré dans l´ar­mée alle­mande le 23.02.1944. Il est venu à son domi­cile, en permis­sion, au mois de mai 1944 (dernière appa­ri­tion à son domi­cile).
Il a éte muté le 5.8.1944 à la 6e compa­gnie du Gren.-Regt. 428 de la 129e D.I. (SP 43189 C).
Il a été griè­ve­ment bléssé Le 24.08.1944 à Abramy, près de Zambrow, à 50 km de Varso­vie) par un éclat d´obus à la main gauche et évacué au parc sani­taire.
Dans le docu­ment « Demande de régu­la­ri­sa­tion de l´état civil  » du 03.12.1946, il est fait mention d´un paquet que ma famille aurait recu du non-rentré, en septembre 1944, avec la remarque « Verwun­det« .

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Chose curieuse : la WAST indique qu’il a été dirigé sur le Grena­dier-Esatz- Bataillon 116 à la date du 3.11.1944.

Toute infor­ma­tion complé­men­taire qui pour­rait m’être trans­mise serait la bien­ve­nue.

Merci pour toute aide.

Jean-Michel RICHERT

 Jean-Michel.Richert@gmx.de

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* Complé­ments trans­mis par Claude Herold :

 Il n’est pas réper­to­rié au VDK.

 La FPN 11421 C corres­pond à la 6e Kompa­nie du Grena­dier Regi­ment 428 qui était subor­don­née à la 129e Infan­te­rie-Divi­sion. Cette divi­sion est enga­gée sur le front de l’Est en 1943 (Brjansk, Mogi­lew, Witebsk). Après avoir été anéanti à Bobruisk et Bara­no­wit­schi, le régi­ment est à nouveau recom­posé, en même temps que le reste de la divi­sion (fin juillet 1944). La divi­sion combat en Prusse orien­tale en 1945.

* Dans la 6e compa­gnie du Grena­dier-Regi­ment 428 ont égale­ment été portés dispa­rus Roger Mehl (* 20.7.1926) et Albert Rebmann (* 25.5.1926). Sur Albert Rebmann, voir aussi sur ce site : http://www.malgre-nous.eu/spip.php?arti­cle3074

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* Fiches du VDK trans­mises par Claude Herold :

Mehl Roger, né et demeu­rant à Hague­nau

 Roger Mehl

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Roger Mehl seit 01.08.1944 vermisst.

 In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Stare Czar­nowo haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

 Nach­name:Mehl

 Vorname:Roger

 Geburts­da­tum:20.07.1926

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:01.08.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:Polen

Rebmann Albert, né et demeu­rant à Mors­bronn

 Albert Rebmann

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Albert Rebmann­seit vermisst.

 In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Stare Czar­nowo haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

 Nach­name:Rebmann

 Vorname:Albert

 Geburts­da­tum:25.05.1926

 Todes-/Vermiss­te­nort:Polen

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Ques­tion écrite n° 14145 de M. Claude Kern (Bas-Rhin – UDI-UC)

Commentaire (0) Actualité, Questions écrites, législation et jurisprudence

M. Claude Kern attire l’at­ten­tion de M. le secré­taire d’État, auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combat­tants et de la mémoire sur l’iné­ga­lité de trai­te­ment que subissent les orphe­lins de réfrac­taires et de « Malgré-nous ».

Le camp de redres­se­ment de Schir­meck et le camp de concen­tra­tion de Stru­thof-Natz­willer font partie des lieux d’in­ter­ne­ment des Alsa­ciens-Mosel­lans réfrac­taires et des familles des réfrac­taires à l’in­cor­po­ra­tion de force dans l’ar­mée nazie. Ces faits ont été quali­fiés comme un crime contre l’hu­ma­nité par le tribu­nal mili­taire inter­na­tio­nal de Nurem­berg, qui a égale­ment quali­fié l’in­cor­po­ra­tion de force dans une armée étran­gère comme un crime de guerre.

L’Al­sace et la Moselle étaient « annexées de fait » sans aucun accord inter­na­tio­nal dans le IIIe Reich nazi. Au regard du droit inter­na­tio­nal, l’Al­sace-Moselle et sa popu­la­tion étaient ainsi françaises au moment même où ces crimes ont été commis. Et pour­tant, les orphe­lins de ces victimes des crimes de guerre et de crimes contre l’hu­ma­nité sont toujours exclus du dispo­si­tif d’in­dem­ni­sa­tion prévu par le décret n° 2004–751 du 27 juillet 2004 insti­tuant une aide finan­cière en recon­nais­sance des souf­frances endu­rées par les orphe­lins dont les parents ont été victimes d’actes de barba­rie durant la Deuxième Guerre mondiale. En effet, celui-ci vise exclu­si­ve­ment les orphe­lins français ou étran­gers dont les parents ont été victimes de la barba­rie nazie. Cette iniquité est vécue par ces orphe­lins de parents réfrac­taires ou « Malgré-nous » décé­dés ou dispa­rus comme une grave injus­tice. Dans la réponse publiée au Jour­nal offi­ciel du 8 octobre 2013 à la ques­tion n° 31 378 (Assem­blée natio­nale), il était indiqué que ces victimes seraient décé­dées « au cours ou des suites du service », ce qui impli­ci­te­ment suppose que la présence de Français de Moselle et d’Al­sace était légi­ti­me­ment sous uniforme alle­mand ; cette analyse étant un déni de l’His­toire. Ainsi, en plus de l’ex­clu­sion des orphe­lins alsa­ciens-mosel­lans de ce dispo­si­tif, cette réponse est vécue comme un rejet de la part de l’État.

Afin de panser les plaies pour œuvrer à la concorde natio­nale il est néces­saire de revoir ce dossier en donnant, dans un premier temps la recon­nais­sance de la Nation, après la recon­nais­sance du président de la Répu­blique à Colmar en 2010 de l’épreuve atroce des « Malgré-nous », à ces caté­go­ries d’or­phe­lins de guerre et pupilles de la Nation au même titre que les autres caté­go­ries victimes de la barba­rie nazie en géné­ral. Il convien­drait par ailleurs d’ou­vrir le dispo­si­tif d’in­dem­ni­sa­tion aux enfants orphe­lins des victimes réfrac­taires ou enrô­lées de force dans les troupes du III Reich.

Ainsi, il souhaite savoir dans quels délais le Gouver­ne­ment entend élar­gir l’ac­cès à cette indem­ni­sa­tion pour réta­blir l’éga­lité de trai­te­ment entre tous les orphe­lins et pupilles de la Nation.

Réponse du Secré­ta­riat d’État, auprès du minis­tère de la défense, chargé des anciens combat­tants et de la mémoire publiée dans le JO Sénat du 02/04/2015 – page 749

L’an­nexion de fait de l’Al­sace et de la Moselle par le IIIème Reich a comporté notam­ment l’in­cor­po­ra­tion forcée de jeunes Français dans l’ar­mée alle­mande. Le secré­taire d’État chargé des anciens combat­tants et de la mémoire mesure plei­ne­ment l’éten­due du drame vécu par ces mili­taires et leurs familles au cours de la Seconde Guerre mondiale et souhaite rappe­ler que la France a reconnu leur situa­tion. En effet, l’ar­ticle L. 231 du code des pensions mili­taires d’in­va­li­dité et des victimes de la guerre (CPMIVG) dispose que les anciens mili­taires alsa­ciens et lorrains de la guerre 1939–1945, Français, soit par filia­tion, soit par réin­té­gra­tion, en vertu de la loi du 5 août 1914, soit en exécu­tion du traité de Versailles, béné­fi­cient, ainsi que leurs ayants cause, de la légis­la­tion sur les pensions mili­taires d’in­va­li­dité pour les services accom­plis dans les armées de l’Al­le­magne ou de ses alliés. L’ar­ticle L. 232 du même code précise que ces anciens mili­taires, incor­po­rés de force par voie d’ap­pel, ainsi que leurs ayants cause, ont droit à pension dans les condi­tions fixées par le livre Ier du CPMIVG et, éven­tuel­le­ment, à toutes allo­ca­tions, indem­ni­tés, majo­ra­tions et supplé­ments de majo­ra­tions pour infir­mité résul­tant de bles­sures reçues, d’ac­ci­dents surve­nus, de mala­dies contrac­tées ou aggra­vées par le fait ou à l’oc­ca­sion du service.

En tout état de cause, la notion de service, telle qu’elle résulte de ces dispo­si­tions, ne saurait lais­ser suppo­ser, même impli­ci­te­ment, que les Français d’Al­sace et de Moselle ont servi légi­ti­me­ment dans les rangs de l’ar­mée alle­mande, mais ne fait que traduire l’ac­ti­vité mili­taire de ceux d’entre eux ayant été incor­po­rés de force dans cette armée au cours du conflit en cause. Ainsi, les orphe­lins des « Malgré-nous » ont pu prétendre à un droit à répa­ra­tion confor­mé­ment aux dispo­si­tions de l’ar­ticle L. 232 du CPMIVG. Par ailleurs, les ayants cause des Alsa­ciens et Mosel­lans réfrac­taires à l’in­cor­po­ra­tion forcée dans l’ar­mée alle­mande ont égale­ment pu se voir accor­der un droit à pension en appli­ca­tion de l’ar­ticle L. 301 du CPMIVG. Il convient d’ajou­ter que tous les orphe­lins de guerre, quel que soit leur âge, sont ressor­tis­sants de l’Of­fice natio­nal des anciens combat­tants et victimes de guerre et peuvent béné­fi­cier, à ce titre, de l’as­sis­tance de cet établis­se­ment public, dispen­sée notam­ment sous la forme d’aides ou de secours en cas de mala­die, absence de ressources ou diffi­cul­tés momen­ta­nées.

Cepen­dant, le dispo­si­tif d’in­dem­ni­sa­tion mis en place par les décrets n° 2000–657 du 13 juillet 2000 insti­tuant une mesure de répa­ra­tion pour les orphe­lins dont les parents ont été victimes de persé­cu­tions anti­sé­mites et n° 2004–751 du 27 juillet 2004 insti­tuant une aide finan­cière en recon­nais­sance des souf­frances endu­rées par les orphe­lins dont les parents ont été victimes d’actes de barba­rie durant la Deuxième Guerre mondiale, répond à une situa­tion tout à fait spéci­fique. En effet, c’est fonda­men­ta­le­ment l’ex­trême inhu­ma­nité des persé­cu­tions et des crimes nazis, et un trau­ma­tisme, celui de la dépor­ta­tion, dépas­sant le strict cadre d’un conflit entre États, qui sont à l’ori­gine de la créa­tion du dispo­si­tif en cause. Ce dispo­si­tif doit rester fidèle à sa justi­fi­ca­tion essen­tielle qui est de consa­crer solen­nel­le­ment le souve­nir des victimes de la barba­rie nazie, à travers leurs enfants mineurs au moment des faits.

C’est pourquoi le Gouver­ne­ment a décidé de main­te­nir cette spéci­fi­cité pour ne pas porter atteinte à la cohé­rence des deux décrets. Néan­moins l’exa­men de plusieurs dossiers a laissé appa­raître la diffi­culté d’ap­pliquer des critères stricts à des situa­tions extrê­me­ment diverses. La mise en œuvre de ces critères doit donc s’opé­rer de manière éclai­rée, afin de donner aux deux décrets leur pleine portée, dans le respect de leur ambi­tion initiale d’in­dem­ni­ser la souf­france des orphe­lins dont les parents ont été frap­pés par cette barba­rie.

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A propos du docu­men­taire « Das Reich » : Lettre de Philippe Richert, président de la Région Alsace, à Rémy...

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Lettre de Philippe Richert, président de la Région Alsace, à Rémy Pflimlin, président directeur général de France Télévisions

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La libé­ra­tion de C(K)olmar vue par un enfant de choeur

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L'Alsace du 2.2.15

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DURRHAMMER Frédé­ric

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Je tente de recher­cher des infor­ma­tions sur mon grand-père, Frédé­ric DURRHAMMER, né le 02 septembre 1921 à Gamb­sheim (67760), enrolé dans l’ar­mée alle­mande et mort au front en Russie en janvier 1944. Il était marié avec Marie née RIEDINGER et a 1 fils unique, Frédé­ric Robert DURRHAMMER, né le 26.09.1943.

Je vous remer­cie par avance pour toutes les infor­ma­tions que vous pour­rez me trans­mettre.

Véro­nique GOEPP

 verotc@b­box.fr

* D’après Claude Herold, il n’est pas réper­to­rié au Volks­bund.

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BOGNER Alphonse

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bogner_alphonse_adif.jpg Je suis à la recherche de rensei­gne­ments concer­nant mon grand-père, BOGNER Alphonse, né le 23 aout 1908 à Kalten­bourg (Alsace) qui a disparu durant la Seconde Guerre mondiale. Il habi­tait à Leuten­heim et était marié à Hoch­ne­del Augus­tine.

Merci d’avance pour tous rensei­gne­ments.

Régine Busch

 beb-reg@­neuf.fr

* Fiche du VDK trans­mise par Claude Herold :

 Alfons Bogner

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Alfons Bogner­seit 01.11.1944 vermisst.
In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Laurahütte / Siemia­no­wice haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

 Nach­name:
Bogner

 Vorname:
Alfons

 Geburts­da­tum:
23.08.1908

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
01.11.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:
Krakau / Saybusch

FPN 59264 D = 3eme Compa­gnie, Felder­satz Bataillon 371.

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