LEONARD Emile Pierre

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Je fais des recherches sur le parcours de mon père, Emile Léonard (* Amné­ville 6.9.1921, aujourd’­hui décédé). Les papiers le concer­nant m’ayant été volés en 1983, je ne sais presque rien sur son vécu, sinon qu’il a déserté de la Krieg­sma­rine.

* Les archives WAST indiquent :

Iden­tité : LEONARD EMIL Né le 6 septembre 1921 à Stahl­heim (Amnevlle)

 plaque d’iden­tité n° O.55309/43 D

 dernier grade connu : Matrose (Boots­manns­lau­bahn)

 affec­ta­tions: incor­poré dans la « Wehmacht »et affecté à la « Krieg­sma­rine » Ausbil­dung­ss­tamm­kom­pa­nie Leba 28/11/1943

 01/01/1944 muté le 21. Schiff­ss­tam­mab­tei­lung, Leba

 25/02/1944 1.Mari­neer­sat­zab­tei­lung, Athen

 24/03/1944 31.Mari­ne­bord­fla­kab­tei­lung, Piraüs

 selon la liste du 25/01/1945 déserté (n’est pas retour­néà son unité après permis­sion)

 aucun autre rensei­gne­ment n’a pu être recueilli

Avec tous mes remer­cie­ments pour les rensei­gne­ments qui pour­ront m’être appor­tés.

Jean-Pierre Léonard

 chris­tiane.sourd-leonard@­wa­na­doo.fr

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SUTTER Fernand

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Je fais des recherches sur Fernand Sutter, né à Kinger­sheim (Haut-Rhin) le 11.6.1918 et porté disparu. Sa soeur, âgée de 90 ans, espère toujours encore donner une sépul­ture à son frêre sur sa terre natale. Elle pense qu’il est tombé en Ukraine (date incer­taine ?). Elle a vu récem­ment un docu­men­taire d’une chaine TV alle­mande sur un paysan ukrai­nien qui a retrouvé le casque alle­mand percé d’un éclat d’obus en labou­rant son champs.

Je vous remer­cie pour toute aide.

Stéphane Bren­garth

 s.bren­gar­th@ch-rouf­fach.fr

* Fiche du VDK trans­mise par Claude Herold  :

 Ferdi­nand Sutter

 Ferdi­nand Sutter ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Vazec./ Slowa­kische Repu­blik

 Endgra­blage: Block 1 Reihe 17 Grab 661

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:
Sutter

 Vorname:
Ferdi­nand

 Dienst­grad:
Grena­dier

 Geburts­da­tum:
11.06.1918

 Geburt­sort:
Thaon

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
19.02.1945

 Todes-/Vermiss­te­nort:
Nemet-Szögyen

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ERHART Albert

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Erhart_Albert_portrait.jpg Je fais des recherches sur mon grand-père Albert Erhart (* Oberhas­lach 28.8.1914), marié à José­phine Sander. Démo­bi­lisé de l’ar­mée française le 17.8.1940. Habi­tant à Maizières-lès-Metz, il est incor­poré de force dans l’ar­mée alle­mande le 26.6.1943 dans la 13. (Inf.-Gesch.) Ers.-Kompa­nie – I.R. 217,

 Ersatz­trup­pen­teil :

 I. G. Ers. Kp. 217 (Allen­heim)

 I. G. Marsch Kp. 1 (Brauns­berg)

 Gren. Ers. Btl. 1 (König­sberg)

 Gen. Komp. Gren. Ers.-Btl. 1

 Marsch-Komp. Gren. Ers. Btl. 1.Le Grena­dier-Ersatz-Bataillon 1 se trou­vait à Inster­burg.

 Feld­trup­pen­teil :

 13. (I. G.) Res. gren. Rgt. 217

 Kampf-M. Btl. 1018

 Gren. Rgt. 1

 5. Komp. du Gren. Regt. 1

 4e compa­gnie du Feld-Ersatz-Bat. 1

 1ère compa­gnie du Gren.-Regt. 43

 3e compa­gnie du Gren.-Rgt. 911.

Il est nommé Gefrei­ter (capo­ral) le 1.10.1944. Il appar­tient alors à la 1./G. R. 43.

Hospi­ta­lisé à trois reprises entre le 26.5.1944 et le 1.12.1944, il est encore admis au centre de soins (Kran­ken­sam­mel­stelle) de Copen­hague le 18.3.1945. Sa dernière solde est perçue le 1.5.1945 (30 couronnes).

Prison­nier de guerre le 9.5.1945, il est rapa­trié le 16.6.1945.

Je cherche à en savoir plus sur son parcours. Merci infi­ni­ment pour tout rensei­gne­ment complé­men­taire.

Emma­nuelle Erhart

 manue­rhart@­hot­mail.com

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KELBEL Jean-Pierre

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Kelbel_Jean-Pierre.jpg Qui peut nous trans­mettre des rensei­gne­ments complé­men­taires sur le parcours de Jean-Pierre Kelbel ?

 Né à Metze­ral (Haut-Rhin) le 8.7.1926.

 apprenti maçon en 1943 chez son père Louis André Kelbel à Stras­bourg-Neudorf. Il avait égale­ment fréquenté la Rudolf-Schwan­der-Schule à Stras­bourg.

 Dans une lettre du 6.12.1948, la Délé­ga­tion des Anciens Combat­tants et Victimes de Guerre en Hongrie, basée à Buda­pest, deman­dait à la famille des rensei­gne­ments complé­men­taires, ceux en sa posses­sion étant alors insuf­fi­sants pour abou­tir à un résul­tat sérieux.

Dans des docu­ments de la DRK (juillet 1972), on apprend :

 qu’il était Funker dans la SS-Nachrich­ten-Abtei­lung 509.

 qu’il est déclaré disparu depuis février 1945.

 qu’il est proba­ble­ment mort lors des combats de Buda­pest entre le 24.12.1944 et le 15.2.1945.

 qu’il figure dans la Bild­liste de la DRK, Bd. WA, p.120.

 qu’il est égale­ment recher­ché par sa tante, Marga­rethe Weiden­mul­ler (*6.2.1899), de Düssel­dorf.

On conserve deux lettres de lui :

 celle datée du 23.7.1944 indique la FPN 31344 E (il dit avoir appris que Stras­bourg aurait été bombar­dée).

 celle datée du 10.9.1944 indique la FPN 41 696 D.

Le 7.10.1946, l’as­so­cia­tion « Alsace et Lorraine libres », à Londres, informe les parents qu’ils font suivre la demande de recherche auprès de la Mission Mili­taire de Récu­pé­ra­tion à Berlin.

Au 28.4.1947, la WASt ne possé­dait pas de fiche concer­nant Jean-Pierre Kelbel.

Au 20.6.1947, le 5e Bureau confirme que Jean-Pierre Kelbel figure bien au Fichier Natio­nal, mais qu’au­cune infor­ma­tion n’est « suscep­tible d’orien­ter les recherches en un lieu déter­miné ».

Une lettre de Marthe Kelbel, du 15.5.1947, indique notam­ment qu’elle a écrit « direc­te­ment au Maré­chal Stah­lin par l’am­bas­sade qui m’a laissé répondre que mon fils était introu­vable ».

En 1948, le Groupe Français du Conseil de Contrôle recon­naît son impos­si­bi­lité à trou­ver une trace de Jean-Pierre Kelbel.

L’acte de dispa­ri­tion (qui date de 1951) mentionne qu’il a été incor­poré dans l’ar­mée alle­mande le 14.10.1944 et que ses dernières nouvelles remontent au 31.10.1944 et proviennent de Hongrie.

Une lettre de l’ADEIF du Bas-Rhin, datée du 7.11.1953, fait état du témoi­gnage de l’Al­le­mand Konrad Kimmer, de Kosching, Kreis Ingol­stadt/Donau, qui a reconnu Jean-Pierre Kelbel sur une photo comme appar­te­nant à la 3e compa­gnie de SS-Korps Nachrich­ten Abtei­lung 109, FPN 41 696, et qu’il l’a vu pour la dernière fois en janvier 1945 dans le Kessel de Buda­pest.

D’après une demande de juge­ment décla­ra­tif de décès par son frère André (6.2.56), on apprend que :

 il était tech­ni­cien en bâti­ment

 il a été enrôlé de force le 6 juin 1944

 la dernière lettre de Jean-Pierre date du 31.10.1944 et a été envoyée de Hongrie.

Merci pour tout complé­ment qui pourra nous être apporté.

Nico­las Mengus

 info@­malgre-nous.eu

Patrick Kautz­mann

 patrick.kautz­mann@­wa­na­doo.fr

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LUCIEN MEYER au 70e anni­ver­saire du Débarque­ment

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Jean-Louis Meyer indique que son père, Lucien Meyer, a été invité, en tant qu’in­cor­poré de force, au 70e anni­ver­saire du D-Day par le président de la Répu­blique.

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GRESSEL Philippe

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Je recherche toute infor­ma­tion sur le frère de ma grand-mère qui n’est jamais revenu, comme bien d’autres. Il s’agit de GRESSEL Philippe, né le 30/12/1915 à Lorent­zen. Il était marié et vivait à Bassing, en Moselle au moment de son départ.

Merci pour toute aide.

Natha­lie Wilhelm

 natha­lie.wilhelm@ac-stras­bourg.fr

* Fiche du VDK et préci­sion de Claude Herold :

 Philipp Gres­sel

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Philipp Gres­sel­seit 01.11.1944 vermisst.

 In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Stare Czar­nowo haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

 Nach­name:
Gres­sel

 Vorname:
Philipp

 Geburts­da­tum:
30.12.1915

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
01.11.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:
Kolberg / Belgard b. Kolberg /
Trep­tow

Il ne figure pas sur le MAM de Bassing

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Appel à témoins de l’époque de l’éva­cua­tion de la « Zone Rouge » en septembre 1939

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Dans le cadre d’un projet de recherche bina­tio­nal entre l’Uni­ver­sité Paris-Sorbonne, l’Uni­ver­sité de la Sarre et la Ruhr-Univer­sität Bochum, les évacua­tions orga­ni­sées dans les régions fron­ta­lières lors du début de la Seconde Guerre mondiale font l’objet d’études appro­fon­dies sous diffé­rents angles.

L’équipe de cher­cheurs franco-alle­mande est à la recherche de témoins de l’époque nés avant 1930 qui se souviennent encore de leur expé­rience en tant qu’é­va­cués et/ou qui conservent encore des objets témoi­gnant de cette expé­rience (par exemple photo­gra­phies, films, jour­naux intimes ou lettres).
Si vous vous sentez concer­nés, n’hé­si­tez pas à nous contac­ter jusqu’au 1er juillet en indiquant égale­ment votre date de nais­sance, le nom de la commune évacuée et votre domi­cile actuel par voie postale (adresse : Histo­risches Insti­tut, „For­schung­projekt Evakuie­run­gen“, Bau B 3.1 Raum 309, Univer­sität des Saar­landes, Post­fach 15 11 50, D-66041 Saar­brü­cken, Alle­magne) ou cour­riel (evakuie­run­gen@uni-saar­land.de).

Nous nous excu­sons d’avance des délais éven­tuels de réponse.

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Emotion et recueille­ment

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Lettre ouverte de Bernard Roden­stein au Président de la Répu­blique – 11.6.2014

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FISCHER Robert

Commentaires (5) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

Fischer_Robert_portrait.jpgRobert Fischer est né à Delme le 05/07/1923. Il était déco­ra­teur de profes­sion. Suite à sa période à l’Arbeit­dienst (l’Of­fice natio­nal des Anciens combat­tants et victimes de guerre indique en date du 8.4.1963, qu’il a été reconnu en tant que  » personne contrainte au travail en pays ennemi, en terri­toire étran­ger occupé par l’en­nemi ou en terri­toire français annexé par l’en­nemi  » du 17.4.1942 au 25.9.1942), il a été incor­poré de force (avec menaces de repré­sailles sur sa famille) à Metz et dirigé sur le front russe. A l’ap­pel des Sovié­tiques inci­tant par haut-parleur les Alsa­ciens-Lorrains et Luxem­bour­geois à la déser­tion, il a rejoint leurs lignes pour être direc­te­ment interné à Tambow puis, malade et affai­bli par la faim, il a été trans­féré à l’hô­pi­tal de Kirsa­nov où il est décédé le 08/06/1945.

Sur la photo de gauche ci-dessous, Robert Fischer est en uniforme des chars. Les insignes du calot, des pattes de col et de la vareuse ont été effa­cées par retouches (mais restent néan­moins visibles) par l’une de ses soeurs qui travaillait chez un photo­graphe. Cette démarche a été dictée par une honte qui n’au­rait pas eu lieu d’être, mais cela fait partie des souf­frances endu­rées par les Alsa­ciens-Mosel­lans. Au recto de la photo de droite, non retou­chée, se trouve un texte au crayon diffi­ci­le­ment lisible excepté le début :  » Fischer Robert gestor­ben in Kirsa­nov 8 Juni 1945 « .

Robert_Fischer.jpg
Dossier réalisé par Denis Fischer, neveu de Robert Fischer.

* Fiche du Volks­bund trans­mise par Claude Herold :

Nach­name: Fischer

Vorname: Robert

Dienst­grad:

Geburts­da­tum: 05.07.1923

Geburt­sort: Dehne

Todes-/Vermiss­ten­da­tum: 28.07.1945

Todes-/Vermiss­te­nort: Kirsa­now, Kgf.Lg. 7338/11 Kirsa­now – Rußland


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