Expo­si­tion « Prison­niers de leurs Alliés, à Tambov et dans d’autres camps »

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Compo­si­tion :


 panneaux expli­ca­tifs sur les condi­tions d’in­ter­ne­ment des Malgré-Nous dans les camps sovié­tiques, améri­cains et anglais.

 Grands dessins sur Tambov réali­sés par d’an­ciens prison­niers

 Vidéos avec des témoi­gnages

 Diapo­rama avec des dessins sur Tambov

 Objets fabriqués dans les camps

 Ouver­ture au public tous les jours de 14h à 18h. Entrée libre.

Anima­tions annexes à la salle des fêtes à côté de la mairie :

 11 novembre à 17 h : confé­rence-diapos de Philippe Wilmouth, président d’As­co­mémo, docto­rant, « Les camps de prison­niers de guerre en Moselle 1940–1948 »

 18 novembre à 17h : théâtre musi­cal par Berga­masque « Les Nuits de Fastov » d’après le livre d’An­dré Weck­mann, poète alsa­cien et ancien incor­poré de force.

 25 novembre 17h : confé­rence de Régis Baty, docteur en Histoire, sur « Tambov »

Pour les scolaires

 Visite commen­tée de 1h-1h30

 Niveau : CM, collège, lycée

 Entrée gratuite.

 Accueil d’une classe par visite.

 Obli­ga­tion de réser­ver, de préfé­rence pour le matin, l’expo étant ouverte à tous l’après-midi. Réponse avant le 11 novembre, SVP. Merci.

 Contacts : Philippe Wilmouth 03 87 72 08 65 ou asco­me­mo@­wa­na­doo.fr
ou Roland Gautier 06 27 00 57 62

Affiche_ASCOMEMO-2.jpg

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STRUBEL René

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Rene_STRUBEL_portrait.jpg Je fais des recherches sur mon parent René Stru­bel, de Niede­rhas­lach. D’abord incor­poré dans la Wehr­macht termina la guerre dans la Waffen-SS. Je n’ai jamais réussi à obte­nir une quel­conque infor­ma­tion sur son histoire. D’après ma grand-mère, il avait été fait prison­nier en Italie, sans en être toute­fois très certaine. Les personnes qui auraient pu savoir quelque chose et m’en dire plus ne sont plus de ce monde.

Son père, Joseph Stru­bel, mate­lot dans la Krieg­sma­rine pendant la Première Guerre Mondiale. Il mourut en dépor­ta­tion le 4 mars 1945 à Bad-Rotens­fels / Gagge­mau (Alle­magne). L’his­toire fami­liale dit que ses cama­rades et lui faisaient partie d’un réseau de résis­tance et pensaient cacher des avia­teurs britan­niques qui se sont avérés être des Alle­mands.

En complé­ment, il semble que René avait été ébranlé par l’ex­pé­rience. Il aurait mis fin à ses jours dans les années 50. Quelle qu’ait été son expé­rience au sein de la Waffen-SS, il n’au­rait pas été inquiété à son retour, d’au­tant plus que son père avait payé le prix de son enga­ge­ment dans la résis­tance en mourant en dépor­ta­tion.

Merci d’avance pour tout rensei­gne­ment.

Michel Gilbert

 Cour­riel : Michel.GILBERT@INVESTINFRANCE.ORG

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La ligne Curzon. Une injus­tice en passe d’être réglée ?

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En PJ, le compte rendu de la séance du 3 octobre 2012 de la Commis­sion de la Défense et des Forces Armées de l’As­sem­blée Natio­nale : le Ministre annonce que des instruc­tions ont été données aux diffé­rents services pour règler les demandes. Si cela est exact, cela règle défi­ni­ti­ve­ment la ques­tion des incor­po­rés de force inter­nés dans les camps sovié­tiques à l’Ouest de la ligne Curzon. Il appar­tient aux Parle­men­taires d’Al­sace et de Moselle de deman­der des préci­sions lors du débat budgé­taire et aux Asso­cia­tions d’an­ciens combat­tants d’aler­ter les personnes concer­nées pour qu’elles prennent contact avec les Services dépar­te­men­taux de l’ONAC :

Commis­sion de la défense natio­nale et des forces armées

Mercredi 3 octobre 2012

Séance de 16 heures 30

Compte rendu n° 4

Prési­dence de Mme Patri­cia Adam, prési­dente

M. Gérard Terrier, rappor­teur spécial de la commis­sion des finances. Un décret a donné à certains combat­tants de la campagne de Russie, incor­po­rés de force et inter­nés dans les camps sovié­tiques, accès à des droits à répa­ra­tion, mais la ligne de Curzon datant de la guerre de 14–18 en excluait certains alors qu’ils avaient subi les mêmes condi­tions de déten­tion. Le précé­dent gouver­ne­ment avait dit qu’il fallait y réflé­chir : enten­dez-vous pour­suivre cette réflexion ? Quelle est votre posi­tion sur ce point ?

M. le ministre délé­gué. Je viens de signer un cour­rier deman­dant aux services de résoudre cette ques­tion : les demandes qui ont été formu­lées ont été prises en compte.

Serge AMORICH
Délé­gué natio­nal de l’As­so­cia­tion des anciens incor­po­rés de force dans le RAD – KHD d’Al­sace et de Moselle

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MATHIEU Jean

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

Portrait (n°15) publié sur le site : http://www.yapla­kal.com/forum2/topic357710.html

Traduc­tion : « Jean Mathieu est né le 7 août 1923 en Alsace. Lorsque les Alle­mands occu­pèrent la région, il fut envoyé dans un camp de travail dans le nord de la Bavière. En janvier 1943, il fut enrôlé dans une divi­sion d’in­fan­te­rie alle­mande, mais Mathieu s’est déli­bé­ré­ment renversé du lait bouillant sur la jambe. Cela lui a permis d’ob­te­nir un délai de 6 mois. Puis il alla servir dans la marine alle­mande en tant que membre de l’équi­page d’un torpilleur en juin 1944, puis il a été trans­féré à la Garde côtière. Après le débarque­ment allié en Norman­die, il était prévu de le trans­fé­rer sur le front de l’Est, mais Mathieu déserta et se cacha dans la ville française jusqu’en décembre 1944, puis rejoi­gnit les Forces françaises libres. »

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Il y a 70 ans …….l’in­cor­po­ra­tion de force » (17–18 et 22 novembre) à Rixheim

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LA SOCIETE D’HISTOIRE DE RIXHEIM
COMMEMORE L’INCORPORATION DE FORCE
LES 17 – 18 et 22 NOVEMBRE

Il y a 70 ans, le 25 août 1942, le Gaulei­ter Wagner décréta l’in­cor­po­ra­tion de force des Alsa­ciens dans l’ar­mée alle­mande.

Après les céré­mo­nies de commé­mo­ra­tion du mois d’août à Ober­nai et à Rich­willer, la Société d’His­toire de Rixheim tient aussi à rendre hommage au sacri­fice des Malgré Nous, à travers une mani­fes­ta­tion du souve­nir, qui se tien­dra fin novembre à la Comman­de­rie:

# SAMEDI 17 NOVEMBRE de 14h00 à 18h00 : EXPOSITION sur les MALGRE NOUS et projec­tion du film « Vermisst, portés dispa­rus », à 15h00 et à 17h00.

# DIMANCHE 18 NOVEMBRE de 10h00 à 18h00 : EXPOSITION sur les MALGRE NOUS et projec­tion du film « Vermisst, portés dispa­rus », à 10h00, 13h00, 15h00 et 17h00.

L’ex­po­si­tion portera sur l’as­pect géné­ral de la ques­tion et sur quelques destins indi­vi­duels d’in­cor­po­rés rixhei­mois, à travers de nombreux panneaux expli­ca­tifs conçus par la Société d’His­toire de Rixheim, et la présen­ta­tion d’objets et de docu­ments origi­naux.

Ce travail de mémoire n’a pu voir le jour que grâce au soutien de la Ville de Rixheim, aux docu­ments prêtés gracieu­se­ment par le Mémo­rial d’Al­sace-Moselle, Schir­meck, et par le Musée des combats de la Poche de Colmar de Turck­heim, et du concours des parti­cu­liers qui ont mis à notre dispo­si­tion leurs docu­ments person­nels.

Dans la troi­sième salle, à 10 h 00 et 13 h 00 (le dimanche 18), à 15 h 00 et à 17 h 00 (les samedi 17 et dimanche 18), sera projeté le film « Vermisst, portés dispa­rus », un docu­men­taire de 53 minutes, réalisé par Monique Seemann et Laurent Lutaud et copro­duit par Seppia et France 3.

# JEUDI 22 NOVEMBRE à 20 h00 : CONFERENCE LES MALGRE NOUS
d’Eu­gène Ried­weg.

A l’is­sue de la confé­rence qui se tien­dra dans les Salons de la Comman­de­rie, il sera possible de se procu­rer et de se faire dédi­ca­cer par Eugène Ried­weg son ouvrage de réfé­rence, Les « Malgré Nous », histoire de l’in­cor­po­ra­tion de force des Alsa­ciens-Mosel­lans dans l’ar­mée alle­mande.

Cette confé­rence sera parrai­née par l’as­so­cia­tion « Les Rencontres de la Comman­de­rie », et un système de vidéo-projec­tion garan­tira un confort d’écoute dans chaque salle desti­née à accueillir le public.

Affiche_exposition_Rixheim.jpg

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BRAUN Louis

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Je recherche un oncle. Il s’ap­pelle BRAUN Louis, né le 27/04/1922 à Borny et rési­dait à Danne et Quatre Vents.
Il a été incor­poré de force pour combattre sur le front de l’est.
Il aurait été aperçu une dernière fois, blessé en Pologne, lors de la retraite des troupes alle­mandes.
Il a d’abord été porté disparu puis déclaré décédé par la Croix-Rouge sans qu’il ne soit possible de nous indiquer ni la date, ni le lieu de son décés. Est-il vrai­ment décédé, où, a-t-il une tombe quelque part ?

Merci pour toute aide.

Paul Schef­fler

 Cour­riel : paul.schef­fler@jus­tice.fr

* Préci­sion de Claude Herold : Il n’est pas réper­to­rié au Volks­bund.

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WILHELM Pierre

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WILHELM_PIerre.jpg Mon oncle incor­poré de force, WILHELM Pierre, est né le 24.10.1921 à Benfeld. Le dernier contact fami­lial date de 1943: un cour­rier venant de Grèce.

Merci pour tout rensei­gne­ment complé­men­taire.

Chris­tiane Loegel

 Cour­riel : cricri.loegel@g­mail.com

* Complé­ments de Claude Herold :

 Il n’est pas réper­to­rié au Volks­bund

 FPN 41636 F = 10e Compa­gnie, Jäger Regi­ment 737

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DECHRISTE Jean

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Mon oncle Jean Dechristé, né le 25.3.1925 à Laba­roche, a été incor­poré de force dans l’ar­mée alle­mande pour faire la campagne de russie.
Après plusieurs recherches tota­le­ment infruc­tueuses, je viens vers vous pour essayer de savoir où il a disparu.

Merci pour tout rensei­gne­ment.

André marchand

 Cour­riel : andre.marchand5@­wa­na­doo.fr

* Fiche du Volks­bund trans­mise par Claude Herold :

Johann Dechriste

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Johann Dechriste seit 01.11.1944 vermisst.

 In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Bartos­sen / Bartosze haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

 Nach­name:
Dechriste

 Vorname:
Johann

 Geburts­da­tum:
25.03.1925

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
01.11.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:
Bischof­swer­der / Freys­tadt Opr.

 NB : OPr = Ostpreus­sen. Actuel­le­ment Pologne.

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Les Malgré-Nous à l’hon­neur à Sarre­bourg

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CAPTIVITE ALLEMANDE EN ALSACE : UN « KG » POLONAIS

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Je recherche un prison­nier polo­nais, Anton LISAKOWSKY (*1920–1921) qui travaillait avec mon père au Garage KROELY à Stras­bourg en 1940–1941. Mon père lui prêtait un bleu de travail et il l’em­me­nait avec lui chez ses parents et ses grands-parents. En retour, Anton lui avait promis qu’il ne s’éva­de­rait pas.
Puis il y a eu l’in­cor­po­ra­tion, Tambov…..et le retour… Et plus rien d’An­ton…..

J’adresse mes remer­cie­ments à toute personne qui me permet­tra de retrou­ver cet homme.

Michèle STORCK-LEISER

 Cour­riel : roger05.leiser@o­range.fr

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