RIEHL Charles

Commentaire (0) Liste des avis de recherche

riehl_charles.jpg Au moment de sa dispa­ri­tion en Rouma­nie, il appar­te­nait à la 2. SS Vete­rinär Kompa­nie de la 8e SS-Divi­sion (FPN 36850).

Merci pour tout rensei­gne­ment complé­men­taire sur son parcours.

 info@­malgre-nous.eu

Lire l’article

ESCHRICH Alphonse & KEMPF Paul

Commentaire (0) Liste des avis de recherche

eschrich_alphonse.jpgkempf_paul.jpg

Ils appar­te­naient tous les deux à la SS Sanitär-Abtei­lung 8 au moment de leur dispa­ri­tion.

Merci pour tout rensei­gne­ment.

 info@­malgre-nous.eu

Lire l’article

FISCHER Nico­las & MEYER Aloïse

Commentaire (0) Liste des avis de recherche

fischer_nicolas_drk.jpgmeyer_aloise.jpg

Ils appar­te­naient tous les deux aux 1,3, 7 et 8 Fahr­kol. de la SS Nach­schub Trupp 8 lorsqu’ils ont disparu en Hongrie.

Merci pour tout rensei­gne­ment !

 info@­malgre-nous.eu

Lire l’article

Charles SICK, Rein­hard SCHNABEL, Erwin KLEBER, Théo­dore HOPF

Commentaire (0) Liste des avis de recherche

J’ai plusieurs victimes trou­vées sur le cime­tière de Plou­da­niel-Lesne­ven (Finis­tère) qui me posent problème. A noter que ces infos me parviennent de Monsieur Alain Floch, cher­cheur en ce qui concerne les évene­ments de la libé­ra­tion de la Bretagne.

Je voudrais savoir si ces victimes sont incor­po­rés en tant qu’Al­sa­ciens-Mosel­lans ou s’il s’agit de personnes nées en Alsace-Moselle, mais de souche alle­mande et, par consé­quent, expul­sées en 1919 quand l’Al­sace-Moselle a été ratta­chée à la France ?

Pour le premier il s’agis­sait d’un camion du parc auto de la Marine, conduit par un marin, et trans­por­tant 4 para­chu­tistes de la 2e Divi­sion Ramcke. Tous les 5 ont été attaqués et tués par la Résis­tance. Je ne sais pas lequel d’entre eux était le marin. Charles Sick était origi­naire de L’Ho­pi­tal.

 Karl Sick ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Plou­da­niel-Lesne­ven.

 Endgra­blage: Block 7 Reihe 8 Grab 200

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:Sick

 Vorname:Karl

 Dienst­grad:Ober­ge­frei­ter

 Geburts­da­tum:31.10.1918

 Geburt­sort:Spit­tel

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:14.07.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:Carhaix

Pour le 2e, Rein­hard Schna­bel,tombé le 02.11.1943 devant la pointe Saint-Matthieu près du Conquet, était Marine-Gefrei­ter à bord du Vorpos­ten-Boot 719 (7 morts en tout).

 Rein­hard Schna­bel ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Plou­da­niel-Lesne­ven.

 Endgra­blage: Block 8 Reihe 2 Grab 54

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:Schna­bel

 Vorname:Rein­hard

 Dienst­grad:Ober­ge­frei­ter

 Geburts­da­tum:26.02.1910

 Geburt­sort:Metz

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:02.11.1943

 Todes-/Vermiss­te­nort:Brest – St. Mathieu

Pour le 3e, Erwin Kleber, il est mort en octobre 1944 peut-être en tant que prison­nier, car Brest était libéré depuis septembre.

 Erwin Kleber ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Plou­da­niel-Lesne­ven.

 Endgra­blage: Block 8 Reihe 11 Grab 326

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:Kleber

 Vorname:Erwin

 Geburts­da­tum:03.11.1917

 Geburt­sort:Metz

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:10.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:Brest

Le 4e se nomme Théo­dore Hopf.

 Theo­dor Hopf ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Plou­da­niel-Lesne­ven.

 Endgra­blage: Block 8 Reihe 11 Grab 324

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:Hopf

 Vorname:Theo­dor

 Dienst­grad:Ober­ge­frei­ter

 Geburts­da­tum:03.12.1903

 Geburt­sort:Strass­burg

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:27.08.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:Brest

Merci pour tout rensei­gne­ment,

Claude Herold

 claude.herold@­wa­na­doo.fr

Lire l’article

KRETZ Charles Joseph

Commentaire (0) Liste des avis de recherche

kretz_charles_portrait.jpg Je fais des recherches sur la dispa­ri­tion de mon oncle Charles Kretz. Comme pour tous les dispa­rus, cette « ombre » à fait des ravages dans ma famille (ma grand mère est morte dans l’ago­nie, mon père « malgré-nous » aussi, dans la « culpa­bi­lité » à l’égard d’un ainé qu’il aimait et qui n’a pas eu sa chan­ce…

Merci pour tout rensei­gne­ment.

Anny Kretz

A Richard Klein qui trans­met­tra : malgre-nous@­la­poste.net

Le dossier du BAVCC de Caen indique notam­ment :

KRETZ Charles Joseph

Né à Stotz­heim le 9.7.1925.

Incor­poré le 29.11.43.

Pionier.

SP 18943 : 2./Pz.Pi.Batl. 32.

Porté disparu le 4.11.1944 à Libau, Cour­lande.

Jugé décédé le 31.10 (sic pour 11 ?).44 à Libau, Letto­nie.

Reconnu sur photo par Hermann Müller, de Berlin : il l’a vu au camp de rassem­ble­ment de Mitau (Letto­nie) le 12.5.1945, où Kretz a inté­gré un Eisen­bahn­kom­mando.

Reconnu mort pour la France.

Déporté mili­taire.

kretz_charles_tem.jpgkretz_charles_deporte.jpg

kretz_charles_adeif.jpg

 

PAGE DU DRK TRANSMISE PAR CLAUDE HEROLD :

Elle concerne Charles Kretz, Georges Mallo et André Pier­rot.

 

Lire l’article

Réponse au commu­niqué diffusé par l’an­tenne natio­nale de France 3

Commentaire (0) Actualité

Votre commu­niqué diffusé par l’an­tenne natio­nale de France 3 n’est PAS une réponse à notre lettre ouverte adres­sée à Monsieur le Ministre J.-Y. Le Drian (voir http://www.malgre-nous.eu/spip.php?arti­cle3507), mais une adresse collec­tive proba­ble­ment desti­née à la presse (voir http://www.malgre-nous.eu/spip.php?arti­cle3525).

Elle s’ouvre sur le succès de la soirée du 2 mars dernier consa­crée à l’His­toire. Nous ne pouvons que nous réjouir de l’in­té­rêt que portent les télé­spec­ta­teurs à notre passé commun et préci­sons que seul le docu­men­taire consa­cré à la divi­sion alle­mande « Das Reich » a fait l’objet de très nombreux commen­taires néga­tifs, voire hostiles.

Nous regret­tons que ce commu­niqué mini­mise les réac­tions en faisant allu­sion à quelques cour­riels qui auraient été adressé à France 3 Alsace. Il n’évoque pas l’af­flux des commen­taires indi­gnés adres­sés aux respon­sables et médias locaux et n’évoque pas non plus les cent-vingt-neuf signa­taires de la lettre ouverte au nombre desquels on compte un très grand nombre d’his­to­riens.

Par ailleurs, il élude le fond du reproche qui a été fait et se dédouane de toute forme d’in­sulte à la Mémoire en expliquant que la ques­tion de l’in­cor­po­ra­tion de force est résu­mée par cette phrase: « C’était une manière comme une autre de prétendre que j’étais volon­taire, alors que je n’avais rien signé, pas le moindre enga­ge­ment ».
Où parle-t-on d’in­cor­po­ra­tion de force ?

Comment France 3 peut-il passer outre ces termes utili­sés deux fois dans le docu­men­taire : le gros des troupes était consti­tué d’Al­sa­ciens. Seul le chiffre de 6000 Alsa­ciens est consi­déré comme une erreur.
Il était abso­lu­ment néces­saire d’ex­pliquer la présence de moins de 800 Alsa­ciens dans la 2e divi­sion blin­dée « Das Reich ». En quelques phrases, il était possible de rappe­ler le contexte de l’An­nexion de provinces françaises au Reich natio­nal-socia­liste et celui de l’in­cor­po­ra­tion de force, un authen­tique crime de guerre.

Dans sa struc­ture, ce docu­men­taire s’ancre sur deux « person­nages » (terme utilisé par l’au­teur) : une résis­tante et un Waffen-SS. Ce dernier est incarné par un Alsa­cien, Elimar Schnei­der, person­nage ambigu présenté comme le prin­ci­pal témoin de l’his­toire de la « Das Reich ».

– Un incor­poré de force alsa­cien prin­ci­pal témoin de l’his­toire de la « Das Reich » ? Pourquoi ne pas avoir utilisé le témoi­gnage d’un Waffen-SS alle­mand ?

France 3 se dit atta­chée à la rigueur.
Il nous semble qu’un docu­men­taire histo­rique se doit de présen­ter les faits de la façon la plus équi­li­brée et objec­tive possible.
En mettant en place « des person­nages, des rebon­dis­se­ments, un acmé » selon ses propres termes, Michael Prazan propose un roman histo­rique dans lequel le télé­spec­ta­teur est invité à aimer le bon et à détes­ter le méchant, ce dernier étant le nazi incarné par un Alsa­cien.
S’il est possible d’ad­mettre qu’une certaine mise en scène peut être utile pour capter l’at­ten­tion, elle nous semble clai­re­ment préoc­cu­pante quand elle en arrive à conduire une thèse.

Par ailleurs, sur le plan pure­ment histo­rique, ce docu­men­taire présente un grand nombre d’er­reurs, de raccour­cis et d’omis­sions qui ont été rele­vées par de nombreux histo­riens et qui portent à s’in­ter­ro­ger sur les méthodes d’in­ves­ti­ga­tions utili­sées :

  En février 1944, ce ne sont pas 6000 Alsa­ciens qui ont été incor­po­rés de force dans la « Das Reich », mais envi­ron 800, dont une partie sera rapi­de­ment versée dans la divi­sion « Frund­sberg ».

  Cette surre­pré­sen­ta­tion des Alsa­ciens se retrou­vera au procès d’Ora­dour en 1953 : 13 incor­po­rés de force, 1 volon­taire et seule­ment 7 Alle­mands.

  Elimar Schnei­der, même si c’est un authen­tique Malgré-Nous, n’est pas repré­sen­ta­tif de l’en­semble des incor­po­rés de force. D’autres témoi­gnages d’an­ciens de la « Das Reich » existent.

  Seule une partie de cette divi­sion a été mise à dispo­si­tion de la Gestapo et de la Milice dans le cadre de la lutte contre la Résis­tance française.

  Le rôle d’Otto Kahn est passé sous silence. Il est pour­tant le comman­dant de la 3e compa­gnie à Oradour.

  Le rôle du sous-préfet Roche, qui a négo­cié (grâce à son excel­lente connais­sance de la langue alle­mande) avec les Alle­mands lors des événe­ments de Tulle, est égale­ment passé sous silence.

  La « Das Reich » était subor­don­née au Haut-Comman­de­mant de la Wehr­macht.

  Lammer­ding et consorts étaient proté­gés par les Alliés : en échange de leur liberté et de leur tranquillité, les offi­ciers Waffen-SS s’étaient enga­gés à reprendre les armes, aux côtés des Alliés, en cas de guerre avec l’URSS.

Cette divi­sion Waffen-SS, qui a marqué l’an­née 1944 par son passage en France, passionne histo­riens et cher­cheurs depuis des décen­nies. Il suffit de se réfé­rer à l’abon­dante biblio­gra­phie trai­tant, peu ou prou, du sujet, tant en langue anglaise, qu’en alle­mand ou en français. Cette docu­men­ta­tion est faci­le­ment acces­sible.

Le réali­sa­teur ne saurait être tenu pour le seul respon­sable de ce que nous consi­dé­rons comme un naufrage de la Mémoire. En effet, il est l’hé­ri­tier de toute une litté­ra­ture d’après-guerre qui donne au lecteur – ici au télé­spec­ta­teur, 70 ans après les faits ! – une Histoire écrite par le vainqueur et non une Histoire écrite par des histo­riens.

Au total, 2,3 millions de télé­spec­ta­teurs, auxquels s’ajou­te­ront ceux d’Arte et les acqué­reurs du futur DVD, auront appris, en dehors de toute forme de contex­tua­li­sa­tion, que des Alsa­ciens ont commu­nié dans le crime au sein de la Waffen-SS. Est-ce vrai­ment cette image désas­treuse et fausse de la Mémoire « qui doit être parta­gée avec la plus grande rigueur auprès du plus grand nombre » ?

Marie-Laure de Cazotte, écri­vain
Nico­las Mengus, histo­rien

Lire l’article

KEHRWILLER Gervais Aloïse

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

kehrwiller_aloise_portrait.jpg Mon père a été incor­poré de force sous le nom de Kehr­willer Aloïse (Aloi­sius en alle­mand). Mais ses prénoms étaient Gervais Aloïse. Gervais n’exis­tant pas en alle­mand, seul a été reconnu son 2° prénom. Il ne nous parlait pas de la guerre. Je sais juste qu’il a été blessé à Belgrade (il ne pouvait pas le cacher, il boitait forte­ment, une jambe plus courte que l’autre). Soigné à Vienne, il a été évacué ensuite à Munich et rapa­trié en 1946. C’est pour cela qu’il figure sur une liste des non-rentrés du Bas-Rhin. Je sais aussi qu’en 1941, il a été détenu, suite à une dénon­cia­tion, au camp de Schir­meck pour actes anti-nazis. Mon père est décédé le 4 septembre 1984.

Jean Claude Kehr­willer

kehrwiller_aloise_naklice_juin_1994.jpg

Photo ci-dessus : Aloïse Kehr­willer à Naklice (Croa­tie) en juin 1944.

Lire l’article

Un « Malgré-Nous » dans l’en­gre­nage nazi.

Commentaire (0) À lire…

pedro.jpg Pedro Cantinho Pereira, Un « Malgré-Nous » dans l’en­gre­nage nazi. Les sacri­fiés de l’His­toire, L’Har­mant­tan, Paris, 2015, 208 p., 21,50 euros.

NB : Ce livre est la traduc­tion du livre de Pedro Cantinho Pereira, A sombra da guerra – A histo­ria de Paul Freund­lich, paru fin 2013 aux éditions Chiado (Portu­gal).

Lire l’article

Docu­men­taire sur la Das Reich: la réac­tion de France 3

Commentaire (0) Revue de presse

Le docu­men­taire de Michaël Prazan, « Une divi­sion SS en France, Das Reich », diffusé le 2 mars dernier sur France 3 conti­nue de faire polé­mique. A la lettre ouverte adres­sée à Jean-Yves Le Drian la semaine dernière, l’an­tenne natio­nale de France 3 réagit.

Le docu­men­taire évoquait les terribles exac­tions de la divi­sion Das Reich, de juin 1944 à mai 1945 (à Tulle et à Oradour notam­ment).

Or, dans une lettre ouverte adres­sée au ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, une soixan­taine d’his­to­riens, incor­po­rés de force auteurs et cher­cheurs estiment que « ce docu­men­taire présente une vision erro­née et offen­sante pour la mémoire de l’Al­sace ».

« L’amal­game criant fait entre le soldat alle­mand et le soldat alsa­cien, l’af­fir­ma­tion répé­tée de la présence majo­ri­taire des Alsa­ciens dans les divi­sions Waffen-SS, l’ab­sence de préci­sions concer­nant les condi­tions de l’en­rô­le­ment des incor­po­rés de force, abou­tit à une vision de l’His­toire qui met à mal plus de 50 ans de recherches et de publi­ca­tions », écrivent ainsi Lise Pommois, Nico­las Mengus, Simone Morgen­tha­ler, Alphonse Troest­ler, Yves Muller, Bernard Witt­mann, Daniel Hoef­fel ou encore Chris­tiane Roede­rer.

Le député du Bas-Rhin Antoine Herth a égale­ment adressé un cour­rier à Rémy Pflim­lin, Pdg de France Télé­vi­sions, dans lequel il relaie le mécon­ten­te­ment de plusieurs habi­tants de sa circons­crip­tion.

L’an­tenne natio­nale de France 3 a décidé de réagir aujourd’­hui à travers un commu­niqué.

France 3 indique qu’à la suite de la diffu­sion du docu­men­taire, « l’an­tenne de France 3 Alsace a reçu un certain nombre de cour­riels évoquant un film qui « dénie la réalité de l’in­cor­po­ra­tion de force » et donne­rait « à penser que les Alsa­ciens étaient non seule­ment des volon­taires mais d’en­thou­siastes SS ». « Nous compre­nons l’émoi suscité et regret­tons que ce film ait pu heur­ter la sensi­bi­lité de plusieurs télé­spec­ta­teurs alsa­ciens ».

Mais, ajoute France 3, « à aucun moment ce docu­men­taire ne laisse entendre une pareille affir­ma­tion. Bien au contraire, le commen­taire intro­duc­tif dresse par le menu les condi­tions d’in­cor­po­ra­tion d’un Malgré-nous », en l’oc­cur­rence Elimar Schnei­der, aujourd’­hui décédé.

Sur la sures­ti­ma­tion du nombre d’Al­sa­ciens dans la Waffen SS et notam­ment dans la Das Reich, France 3 note que « le chiffre cité évoquant 6000 Alsa­ciens versés dans la Das Reich est visi­ble­ment erroné. Le

Lire l’article

Tribu­nal de guerre du IIIe Reich

Commentaire (0) Revue de presse

DNA du 25.3.15

Lire l’article