Voir aussi : http://www.malgre-nous.eu/spip.php?article3600
Voir aussi : http://www.malgre-nous.eu/spip.php?article3600
* Sur le site de « Ouest France », on peut lire :
Un an après avoir accueilli la cérémonie internationale du 70e anniversaire, moins d’effervescence à Ouistreham. Mais l’hommage au commando Kieffer a été tout aussi grand.
Après le faste et les yeux du monde entier l’an passé, Ouistreham est revenu à une cérémonie plus intime même si le public était venu nombreux sur la plage de Riva-Bella et autour de la stèle Kieffer.
« Nous n’oublierons jamais », a rappelé Romain Bail, le maire de Ouistreham en conclusion de son discours où il a rendu hommage à tous ceux qui avaient débarqué « en apportant au chevet de la France le goût de la liberté ».
Puis ce fut la cérémonie de tradition de l’école des fusilliers marins de Lorient sur la plage de Riva-Bella. Présentation du drapeau, promotions, remise de fourragères et des fameux bérets verts, dont un remis par Léon Gautier, ont ponctué cette cérémonie.
À noter que les Malgré-Nous, ces incorporés d’office à l’armée allemande d’Alsace-Lorraine, étaient conviés à la cérémonie. Une invitation qui n’a pas été du goût de tout le monde.
Au pont du Rhin, à Strasbourg, le 15 avril 1955. Jean-Jacques Remetter, de retour de captivité, est accueilli par Paul Collowald, journaliste au Nouvel Alsacien, et Robert Bailliard, président de l’ADEIF du Bas-Rhin. (Coll. P. Collowald)
Le récit en PJ est extrait de la thèse de Julia Wilczynska, Le retour de l’Alsace à la France, Sciences Po, Strasbourg, 2012.
Je fais des recherches sur le parcours de mon grand-père que je n’ai pas connu. Il s’appelait Schneider René, né le 16.11.1924, il est mort le 07.03.1977 à Colmar. Il a été incorporé dans le RAD en 1942, puis dans la 14e Panzerdivision. Il a obtenu l’insigne des blessés. Il a été fait prisonnier par les Russes qui l’ont ensuite confié aux Américains.
Merci pour toute aide,
Simon Beltran
s.beltran34@laposte.net
Je recherche deux personnes que je pense pouvoir mettre en relation à travers différentes photographies (cf document joint).
Il me semble avoir réussi à identifier l’une d’elles (flèches vertes) : Fernand Heymes, natif de Wantzenau – Bas-Rhin (photos 1, 2 et 3). Je ne dispose toutefois pas plus d’informations que celles présentes dans l’encart (photo n° 3 – issue de l’album des disparus du Bas-Rhin).
Concernant la photographie n°4, elle a été prise avec certitude devant le café Ignace Bissinger, qui faisait également épicerie, à Staffelfelden (Haut-Rhin).
L’une des deux personnes photographiées devant le café et travaillant, je pense, pour ce café, est certainement la même que celle présente sur la photo n°2 avec Fernand Heymes (celle-ci présentant par ailleurs un train en arrière-plan et la ville de Staffelfelden étant desservie par une gare).
Cette personne pourrait m’aider le cas échéant dans mes recherches sur Fernand Heymes, mais nous ne savons pas de qui il s’agit. Peut-être un membre de la famille Bissinger ?
Je pense ne pas me tromper en affirmant que les photographies ont été prises entre 1940 et 1941.
Je remercie par avance toute personne qui pourra m’aider d’une façon ou d’une autre dans mes recherches.
Nathalie
* D’après Claude Herold, vu la date de décès de Fernand Heymes, il serait mort dans un camp. La FPN 14337 C correspond à la 2e Kompanie (Grenadier Bataillon) du Sturm Regiment 215. La fiche du Volksbund indique :
Ferdinand Heymes
Nach den uns vorliegenden Informationen ist Ferdinand Heymes seit 01.09.1945 vermisst.
In dem Gedenkbuch des Friedhofes Sologubowka haben wir den Namen und die persönlichen Daten des Obengenannten verzeichnet.
Nachname:Heymes
Vorname:Ferdinand
Geburtsdatum:24.09.1920
Todes-/Vermisstendatum:01.09.1945
Todes-/Vermisstenort:Russland
Dans l’un des 2 tomes de l’histoire de la 17. SS Panzer-Division Götz von Berlichingen (par MM. Perrigault & Meister aux éditions Heimdal), j’ai découvert la photo de Louis Wild (de Haguenau) né le 19 mars 1923. Je suis intéressé par tout témoignage familial ou documentaire concernant M. Wild et, au delà, par toutes informations sur la présence d’Alsaciens ou de Lorrains incorporés dans cette division qui a été formée à l’automne 1943, a combattu en Normandie en juin 44 avant de remonter vers l’Est, en septembre.
Ma demande est en lien avec l’Avis de Recherche concernant l’histoire de mon père Georges Reyt, sauvé de l’exécution fin août 1944, par un « Malgré-Nous » à Theil sur Vannes, une commune située 15 km de Sens (89) sur la route menant de Sens à Troyes (10).
Je vous remercie par avance pour votre aide et votre contribution à cette part de mon histoire paternelle.
Daniel Reyt
d.reyt@citeasen.fr
Le vendredi 8 mai 2015, en la Salle des Fêtes de Saint-Hippolyte, la municipalité a organisé une conférence sur les incorporés de force qui sont allés sur le front de Normandie. Cette conférence a été donnée par deux Normands, membres de l’Association SNIFAM (Solidarité Normande aux Incorporés de Force d’Alsace-Moselle). Plus d’une centaine de personnes constituait l’auditoire. Bien évidemment, le sujet, beaucoup trop vaste, n’a pu être traité totalement en deux heures. Sur les quelques 200 évasions connues d’Alsaciens-Mosellans ayant eu lieu en Normandie, près de 150 sont authentifiées. Faute de temps, seulement près de 30 évasions ont été portées à la connaissance du public.
Des incorporés de force étaient présents dans la salle, parmi eux deux étaient venus en Normandie où ils parvinrent à s’évader. L’un n’a pas souhaité être nommé. Nous connaissons son histoire, elle est belle et surtout très audacieuse. Mais Robert (tel est son prénom), débordant de vergogne et, disons le, à l’instar de beaucoup d’autres, habille de modestie, l’héroïsme qui fut le sien. Oui, il a voulu rester anonyme ; nous le regrettons, mais cela est son droit le plus absolu.
Nombre de personnes, en fin de soirée, affichèrent leur méconnaissance sur ces drames et actes de bravoure qui eurent lieu en Normandie. Peu ou pas savaient le comportement patriotique de ces garçons nés pour leur grande majorité en 1926 et mis de force dans la « Das Reich ».
Soulignons que la Normandie était le seul front où les évasions étaient possibles : moins de danger pour les familles, possibilité de passer pour mort, et surtout d’être aidé par une population parlant la même langue et de même nationalité.
L’aide précieuse, donc la large contribution de la Presse d’Alsace, a facilité l’information de la population alsacienne et mosellane, sur tous les faits qui se déroulèrent en Normandie. Nous tenons à remercier vivement les journaux : l’ALSACE, les DNA, l’AMI HEBDO, et le site MALGRE-NOUS.EU. Sans ces journaux, rien ne serait connu aujourd’hui.
La conférence a débuté par une minute de silence en mémoire des victimes du nazisme. Elle s’est achevée par la Marseillaise.
Au cours de la conférence, cet appel a été lancé. Nous le formulons par écrit. Cela dans le but, d’avoir des renseignements aussi précis que possible sur les comportements extraordinairement efficaces, pour la France, des incorporés de force dans la Waffen SS. « SUR LE FRONT DE NORMANDIE, IL EXISTAIT UNE FILIERE DE DESERTION AU SEIN DE LA WAFFEN SS POUR LES FRANÇAIS INCORPORES DE FORCE. » Sur son existence, hélas, nous savons très peu.
De nombreux incorporés de force ont utilisé cette filière. Ils passaient dans une commune du département de la Sarthe : LA CHAPELLE D’ALIGNÉ. Là, des faux papiers leur étaient remis en Mairie. Ainsi, ils pouvaient continuer leur route vers le sud de la France et rejoindre les Forces Françaises Libres. Bien évidemment, nous ne sommes pas en mesure de donner le nombre d’évadés passés à LA CHAPELLE D’ALIGNÉ.
La municipalité actuelle de LA CHAPELLE D’ALIGNÉ, conduite par Christian JARIES, cherche et recherche des renseignements et des précisions. Nous le savons, en 1935 à PRÉCIGNÉ, commune située à 5 km de LA CHAPELLE D’ALIGNÉ, une industrie pyrotechnique fut installée par des Alsaciens. Il s’agit de la Société alsacienne d’explosifs ALSETEX. Elle fut fondée à RICHWILLER près de MULHOUSE en 1920. Les personnels, sauf quelques ouvriers d’origine italienne, étaient tous Alsaciens.
Dans la nuit du 17 au 18 juin 1940 Monsieur LÉVI, Administrateur, et Monsieur MORTREUX, Directeur, laisse l’usine qui est saisie par les nazis. Au lieu de se rendre en Alsace, par prudence, les personnels se réfugient à Capvern les Bains (Htes Pyrénées) et ensuite à Vizille (Isère).
Beaucoup des employés restent à PRÉCIGNÉ et à LA CHAPELLE D’ALIGNÉ (Sarthe). Etaient-ils les organisateurs de la filière de désertion ? de ses ramifications ? dont une passait par ANDOUILLÉ (Mayenne).
Nous ne pouvons le savoir, mais selon le journal L’ALSACE, nous pouvons affirmer que Monsieur Xavier SPINNER et son épouse en 1936 s’installent dans la Sarthe (voir encadré). D’autre part à quelques 20km de LA CHAPELLE D’ALIGNÉ, est la ville « LA FLÊCHE « . Là, existe une cité scolaire. Elle existe, grâce à la volonté de Charles FEHLMANN, son pilier fondateur. Charles FEHLMANN naquit en 1899 à BALDENHEIM dans le Bas-Rhin. En ce temps l’Alsace était allemande. Charles FEHLMANN est incorporé dans l’armée allemande pendant la guerre 1914–1918. Il deviendra malgré-nous au sens premier du terme. Il désertera l’armée allemande. Il devient Français, fait ses études à Toulouse et obtient le poste de Principal au Lycée JOUBERT à ANCENIS (Loire Atlantique). Le 23 Novembre 1941, il arrive à LA FLÊCHE avec son épouse Marcelle et ses deux enfants Colette et Guy. Il est alors Directeur du Collège de garçons et d’une École Supérieure, rue Pape Carpentier. Il a fait beaucoup pour l’enseignement public à LA FLÊCHE. Le Collège devient Lycée national en 1959–1960, après que Charles FEHLMANN ait réussi à faire ouvrir les classes nécessaires à cet établissement.
Nous ne pouvons rien affirmer bien sûr, nos propos ne sont même pas des assertions, loin de là. Mais tout laisse à penser qu’il pourrait y avoir un lien ou simplement un fil conducteur entre Charles FEHLMANN, Xavier et Joséphine SPINNER et bien sûr tous les autres compatriotes alsaciens restés autour de LA CHAPELLE D’ALIGNÉ pendant l’occupation. Si cela était confirmé par des témoignages d’authenticité absolue, nous aurions alors une preuve de plus, de ce que fut la résistance silencieuse et combien efficace de la population alsacienne face au nazisme.
Voilà pourquoi, nous Normands, nous faisons appel à tous nos compatriotes alsaciens et mosellans. Nous leur demandons des témoignages ou indications incontestables. Ainsi, en écartant le voile de leur modestie, ils pourront nous apporter la preuve qu’incorporés de force ou annexés illégalement ils n’ont pas supporté la honte qui leur était imposée.
Nous ne sommes pas en mesure d’apporter plus de précisions, plus de rigueur dans nos informations. Dans cet appel aux lecteurs de la PRESSE D’ALSACE, nous demandons de bien vouloir effectuer auprès de toutes les personnes incorporés de force, dans la WAFFEN SS, dans la Wehrmacht etc.…sur le front de Normandie. Et bien sûr à toutes celles et ceux qui dans leurs familles, sont ou seraient en mesure d’apporter des précisions. Ce que nous savons, nous SNIFAM est très imprécis.
Nous pouvons seulement affirmer que deux incorporés dans la waffen SS : M. NADEL et P. LUTZ le 14/07/1944 furent habillés en civils et dotés d’une faux et d’un râteau par des agriculteurs de la région de SAINT-LO. Ils passèrent par LA CHAPELLE D’ALIGNÉ où de faux papiers leur furent remis. Notre ami, feu le Père Félix LUTZ nous a donné ces informations. Son souhait était que des personnes ayant aidé des incorporés de force, aient eux aussi le titre de « JUSTE »
Cinq Alsaciens s’évadèrent à NOTRE-DAME-DE-CÉNILLY, près de COUTANCES. Un sixième pleura et ne partit pas par peur des représailles sur sa famille. C’était le 17 juillet 1944. Ils furent aidés par Roger HÉBERT, Vice-président de notre association et par feu André LEMARQUIER. Nos évadés dirent vouloir aller dans le département de la Sarthe et demandèrent une carte de France. André LEMARQUIER en préleva une dans son cahier d’écolier. Il ajouta des victuailles dont un demi-jambon.
Deux de ces évadés étaient de MASEVAUX. Nous avons retrouvé leurs enfants. Ils sont venus en Normandie remercier les sauveurs de leur père. Ils nous ont confié des photocopies de fausses pièces d’identité, obtenues à LA CHAPELLE D’ALIGNÉ et à ANDOUILLÉ. Nous pouvons presqu’affirmer que la jeune fille, employée de mairie, sous une identité vraie ou fausse, était la fille d’un très modeste « monsieur ». Il était dit-on « un officier du Général DE GAULLE ». Soyons prudents, dans de tels cas l’imagination gambade parfois.
Cette affaire de filière d’évasion, pour et par des Français au sein de la Waffen SS revêt un caractère d’une exceptionnelle importance. Elle doit être portée à la connaissance de l’ALSACE, de la MOSELLE, de la NORMANDIE, mais aussi du département de la SARTHE où peu de combats eurent lieu.
Ce serait justice, si ces événements de grand patriotisme étaient précisés dans toute la France. Cela prouverait que les Alsaciens, méritent beaucoup mieux que les contre-vérités déversées récemment par la télévision. Cela pourrait peut-être également attirer l’attention de ceux qui souhaitent diluer, disloquer, l’ALSACE-MOSELLE dans des régions OUTRE-VOSGES.
Cette même conférence a eu lieu à Bennwihr le 30 avril. Elle était organisée par la Société d’Histoire locale. Prèe de 80 personnes étaient présentes. Lors des commémorations de l’armistice, les Normands déposèrent à Bennwihr et à Saint-Hippolyte une jardinière remplie de terre normande et fleurie. Dans une classe de CM2 avec l’accord du Maître, les élèves ont appris ces quelques vers:
« En Normandie, belle terre de France
D’où est revenue notre Liberté
Dans le mensonge, dans la cruauté, dans la souffrance
Du sang alsacien a coulé. »
Ce texte dit » APPEL de SAINT-HIPPOLYTE « est daté du 8 mai 2015 . il ne contient en réalité que des réponses à un appel: celui du 18 juin 1940. Pour cette raison, nous aimerions le proposer à la REVUE de LA FONDATION DE LA FRANCE LIBRE.
Géographiquement, nous savons tous qu’une montagne, les VOSGES, séparent l’ALSACE de la FRANCE dite de « l’INTÉRIEUR ». Historiquement, nous saurons tous un jour qu’une montagne de falsifications a été érigée pour séparer l’ALSACE de la FRANCE dite de « l’INTÉRIEUR ».
Ce jour là, sous le soleil radieux de l’EUROPE des NATIONS dans une accolade fraternelle, le sourire sera la langue universelle.
Gloire et honneur à celles et à ceux qui, en perdant la vie, nous conduisent à faire naître la vérité.
Saint-Aubin-sur-Mer, le 25 mai 2015
Jean BÉZARD
Secrétaire de la SNIFAM
6 Bd Maritime
14750 Saint AUBIN sur MER
Je fais des recherches de mon père Joseph Pagura, né le 2 juin 1915 à Kédange s/Canner et résidant à Thionville, qui est tombé en guerre de 39 a 45. Je recherche en particulier sa date de décès et l’endroit de sa mort.
Avec toute ma gratitude pour toute information.
Marie-Louise Zapadka
marie-louise.zapadka@orange.fr
* Fiches du VDK transmises par Richard Klein :
Joseph Pagura
Nach den uns vorliegenden Informationen ist Joseph Pagura seit 01.01.1944 vermisst.
In dem Gedenkbuch des Friedhofes Sologubowka haben wir den Namen und die persönlichen Daten des Obengenannten verzeichnet. Sie können gern einen Auszug bei uns bestellen.
Bitte beachten Sie, dass auf einigen Friedhöfen nicht die aktuelle Version ausliegt, somit kann der Name Ihres Angehörigen darin evtl. noch nicht verzeichnet sein.
Nachname:
Pagura
Vorname:
Joseph
Geburtsdatum:
02.06.1915
Todes-/Vermisstendatum:
01.01.1944
Todes-/Vermisstenort:
Leningrad Gebiet
ou
Joseph Pagura
Joseph Pagura ist als gefallener Angehöriger der Marine namentlich entweder in dem U-Boot-Ehrenmal Möltenort bei Kiel an einer der Wandtafeln oder im Marineehrenmal in Laboe in einem dort ausliegenden Gedenkbuch verzeichnet. Nur in wenigen Einzelfällen konnten die Gebeine der auf See gefallenen Soldaten geborgen und auf einem Friedhof bestattet werden. In diesen Fällen ist der Name des Betreffenden mit Hinweis auf seine Grablage ebenfalls in unserer Datenbank erfasst.
Nähere Informationen zu diesem Friedhof erhalten sie hier.
Name und die persönlichen Daten des Obengenannten sind auch im Gedenkbuch der Kriegsgräberstätte verzeichnet. Sie können gern einen Auszug bei uns bestellen.
Bitte beachten Sie, dass auf einigen Friedhöfen nicht die aktuelle Version ausliegt, somit kann der Name Ihres Angehörigen darin evtl. noch nicht verzeichnet sein.
Nachname:
Pagura
Vorname:
Joseph
Dienstgrad:
Matrose
Geburtsdatum:
02.06.1915
Todes-/Vermisstendatum:
01.1944
* D’après Gérard Schutz, Joseph Pagura était incorporé dans la Marine Artillerie Abteilung 531 et serait porté disparu en Estonie.
* Claude Herold indique que cette unité a été engagée au nord-ouest de Mitau en juillet 1944 et participe aux durs combats entre le 30 juillet et le 7 août. En novembre, elle combat à Sworbe/Oesel.