MENGUS Alphonse, Alfred, Joseph, Marcel, René

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Je souhaite en savoir plus sur les parcours respec­tifs de ces hommes :

Alphonse Mengus

Alfons Mengus konnte im Rahmen unse­rer Umbet­tungs­ar­bei­ten nicht gebor­gen werden. Die vorge­se­hene Überfüh­rung zum Sammel­fried­hof in Pulawy war somit leider nicht möglich. Sein Name wird im Gedenk­buch des Fried­hofes verzeich­net..

Nach­name:
Mengus

Vorname:
Alfons

Dienst­grad:
Gefrei­ter

Geburts­da­tum:
17.04.1916

Geburt­sort:
Grafens­ta­den

Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
18.08.1944

Todes-/Vermiss­te­nort:
Slupcza

Alfred Mengus

Alfred Mengus wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt.

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Tambow – Rußland

Nach­name:
Mengus

Vorname:
Alfred

Geburts­da­tum:
27.09.1912

Geburt­sort:
Rohr

Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
13.05.1944

Todes-/Vermiss­te­nort:
I.d.Kgf.in Tambow

Joseph Mengus

Josef Mengus wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt.

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Garbas – Polen

Nach­name:
Mengus

Vorname:
Josef

Dienst­grad:
Gefrei­ter

Geburts­da­tum:
10.02.1913

Geburt­sort:
Aven­heim

Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
10.10.1944

Todes-/Vermiss­te­nort:
i.Sanko1/299,FpNr.35075

Marcel Mengus

Marzel­lus Mengus ist vermut­lich als unbe­kann­ter Soldat auf die Krieg­sgrä­berstätte Schat­kowo / Bela­rus überführt worden.

Grablage: wahr­schein­lich unter den Unbe­kann­ten

Leider konn­ten bei den Umbet­tun­gen aus seinem ursprün­gli­chen Grabla­geort zum Fried­hof Schat­kowo nicht alle deut­schen Gefal­le­nen gebor­gen werden. Es besteht jedoch die Mögli­ch­keit, dass Marzel­lus Mengus einer der deut­schen Solda­ten ist, dessen Gebeine gebor­gen wurden, die aber trotz aller Bemü­hun­gen nicht iden­ti­fi­ziert werden konn­ten.

Nach­name:
Mengus

Vorname:
Marzel­lus

Dienst­grad:
Gefrei­ter

Geburts­da­tum:
20.05.1923

Geburt­sort:
Aven­heim

Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
27.02.1944

Todes-/Vermiss­te­nort:
Bei Molt­scha

René Mengus

Rena­tus Mengus wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt.

Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Biedr­zyce Stara Wies – Polen

Der Volks­bund ist bemüht, auf der Grund­lage von Krieg­sgrä­be­rab­kom­men die Gräber der deut­schen Solda­ten zu finden und ihnen auf Dauer gesi­cherte Ruhestät­ten zu geben. Wir hoffen, in nicht allzu ferner Zukunft auch das Grab von Rena­tus Mengus zu finden und die Gebeine auf einen Solda­ten­fried­hof überfüh­ren zu können.

Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

Nach­name:
Mengus

Vorname:
Rena­tus

Dienst­grad:
Grena­dier

Geburts­da­tum:
07.02.1926

Geburt­sort:
Brumat

Todes-/Vermiss­ten­da­tum:
22.10.1944

Todes-/Vermiss­te­nort:
Guty-Duze

Merci pour tout rensei­gne­ment complé­men­taire.

Nico­las Mengus

Cour­riel : info@­malgre-nous.eu

 

 

* Données du BAVCC trans­mises par Jean Bézard et Nicole Aubert

Mengus Alfred Joseph

* Rohr 27.9.1912

Fils d’Eu­gène Mengus et de José­phine Zehna­cker.

Soldat

Mort le 14.10.1944 pendant son trans­fert de l’Ou­ral au camp de Tambov. Témoi­gnage d’Aloyse Lien­hart, né le 22.6.1915 à Hohen­goeft qui déclare, sous la foi du serment, l’avoir vu mourir dans la nuit du 13 au 14.10.1944 « durant le trans­port de l’Ou­ral à Tambov ».

Fina­le­ment déclaré mort à Tambov le 14.10.1944 !

Mort pour la France (1957).

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MENGUS Alphonse (* Illkirch-Graf­fens­ta­den 17.4.1916 + au combat et inhumé à Slupeza, Pologne, 18.8.1944). Marié le 27 mai 1943 à Marie-Thérèse Hassel­mann. Incor­poré de force le 29.10.1943. FPN 08 600 d’après une lettre du chef de compagne (FPN 44 392E).

Mort pour la France.

Son frère, Laurent (* 16.9.1917), engagé volon­taire, est mort sur le cuiras­sier Bretagne le 3.7.1940 à Mers-El-Kébir.

 

Mengus Alphonse

* Wilwi­sheim 12.4.1924

Fils d’Al­phonse Mengus et de Marie Schnei­der.

Culti­va­teur à Wilwi­sheim.

Marié à Marie Françoise Schnei­der, née à Wilwi­sheim le 10.12.1928 + 10.5.1948

Incor­poré de force le 29.10.1943.

FPN 28 315D.

Porté disparu à Sahharjewa, Esto­nie, 5.8.1944.

Mort pour la France (1962).

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MENGUS Joseph (* Aven­heim 19.2.1913 + Garbas­sen, Prusse orien­tale, 10.10.1944 où il a été inhumé).

Mort pour la France.

MENGUS Joseph (* Rottel­sheim 24.7.1915 d. Visneck, Hongrie, 24.11.1944). Dernières nouvelles : fin octobre, à Vienne. Déporté mili­taire.

 

René Joseph MENGUS (* Brumath, rési­dant à Venden­heim, 7.2.1926 + Guty-Duce 22.10.1944; inhumé à Biedr­zyce Stara Wies). Grena­dier. FPN 24 027B.

Mort pour la France.

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SCHMITT Edouard

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schmitt_edouard_drk.jpg Je fais des recherches sur le parcours d’Edouard Schmitt, né à Algrange et demeu­rant à Hettange-Grande.

Au moment de sa dispa­ri­tion dans le secteur de Danzig, en mars 1945, il appar­te­nait à la Feld­gen­dar­me­rie-Ersatz-Abtei­lung Danzig et Neus­tadt/Prusse orien­tale.

Merci pour tout rensei­gne­ment complé­men­taire.

Claude Herold

 claude.herold@­wa­na­doo.fr

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La grande débâcle

Commentaire (0) 1985

grande_debacle.jpgJacques de Launay, 1944–1945. La grande débâcle. Sept millions de civils fuient devant l’Ar­mée rouge, Paris, 1985.

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Un « Malgré-Nous » dans l’en­gre­nage nazi

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pedro-2.jpg Paul Freund­lich est un de ces Alsa­ciens qui ont été enrô­lés sous la contrainte par les nazis à partir de 1942. Son parcours l’a mené, comme beau­coup d’autres, au Reich­sar­beits­dienst, où il n’a pu que consta­ter les horreurs provoquées par les bombes au phos­phore larguées sur la ville de Cologne. Il est ensuite envoyé dans la Wehr­macht, direc­tion l’Est. Serbie, Rouma­nie, Hongrie, le front au sud de Buda­pest… Il est toujours hanté par l’hor­reur des combats, l’ago­nie des bles­sés démem­brés, les femmes alle­mandes violées par les Sovié­tiques, la capti­vité.… «  Il y a des choses que l’on tient abso­lu­ment à oublier, même si c’est impos­sible », dit-il.

Ce récit a pour origi­na­lité d’avoir d’abord été publié au Portu­gal et en portu­gais. Son auteur, Pedro Cantinho Pereira, natif de Lisbonne, a étudié, entre 1975 et 1993, à Stras­bourg et à Paris où il est devenu docteur en Histoire. De la rencontre des deux hommes est née une amitié, mais aussi une prise de conscience du narra­teur qui avait, dans ses jeunes années, échappé de peu à son incor­po­ra­tion dans l’ar­mée portu­gaise et à sa parti­ci­pa­tion aux guerres colo­niales menées par le Portu­gal, en Afrique, jusqu’en 1974. Ce livre offre donc une approche diffé­rente de l’en­rô­le­ment forcé dans l’ar­mée alle­mande, avec cette ques­tion lanci­nante, fina­le­ment commune au Français et au Portu­gais : « Quelle vie aurait-il eu si…? ».

Nico­las Mengus

Pedro Cantinho Pereira, Un « Malgré-Nous » dans l’en­gre­nage nazi. Les sacri­fiés de l’His­toire, L’Har­mat­tan, Paris, 2015, 208 pages, 21,50 €

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Eté 1944. Les combats de la Libé­ra­tion en Baza­dais

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ete_44_bazas_red.jpg L’été 1944 dans le Baza­dais a été riche en émotions et en drames. Les combats de la Libé­ra­tion ont vu s’af­fron­ter résis­tants, mili­ciens et soldats de l’ar­mée alle­mande. Parmi les troupes présentes, la 2e divi­sion blin­dée Waffen-SS « Das Reich » et, bien sûr, parmi les hommes de cette unité, des Alsa­ciens incor­po­rés de force. Les auteurs leur ont consa­cré plusieurs pages, avec le soutien de notre site www.malgre-nous.eu, notam­ment pour expliquer leur présence dans cette troupe d’élite à comp­ter du début de l’an­née 1944. Ils reviennent aussi sur le parcours de certains d’entre eux qui ont déserté pour rejoindre les rangs de la Résis­tance : Raymond Dittlo et Charles Deger­mann, Martin Rohrer et Louis Olry (que nous avions évoqués dans notre ouvrage « Entre deux fronts », t.2, p.207–212) ou encore Jean Léon Folt­zer. Des tenta­tives, qui se sont soldées par un échec, sont égale­ment mention­nées, y compris le cas d’un suicide. Ceci montre que tous les soldats de la Waffen-SS n’étaient pas forcé­ment des assas­sins et que, parmi eux, de nombreux Alsa­ciens ont risqué leur vie pour s’éva­der, lorsqu’ils en avaient l’op­por­tu­nité, et rejoindre leurs compa­triotes dans la lutte contre les nazis.

Nico­las Mengus

Eté 1944. Les combats de la Libé­ra­tion en Baza­dais, édité par les Amis de la Cité de Bazas, 2015, 87 pages, 15 € + 5€ de frais de port. Contact : Medica Services – Joël Meillon, Les Tilleuls, 33430 Bazas, tél : 05 56 25 99 88. Site : www.lesa­mis­de­la­cite-bazas.org.

 

Quelques préci­sions aima­ble­ment trans­mises par Serge Folt­zer sur le parcours de son père Léon Folt­zer qui n’a pas été un « Malgré-Nous » :

 

  • Lettre d’Eu­gène Lopez (13.12.1944) :

 

  • Témoi­gnage de Jacques Bornet (2003) :

 

Sur Ernest Beyer cité ici :

  • Fiche de la Région Alsace :
Nom FOLTZER
Incor­poré dans l’ar­mée française
Unité 6ème RIC
Date de dispa­ri­tion 20/01/1945
Lieu de dispa­ri­tion Illzach (Haut-Rhin) – France
Circons­tances de décès Inconnu
  • CAENAF – Fichier des soldats morts sous uniforme français (BAVCC -Caen)
  • COM – Commune

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« Verluere Joëren »

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trossen.jpg
C’est une somme que nous offre ici Marc Tros­sen. Une somme d’in­for­ma­tions sur les enrô­lés de force luxem­bour­geois. Le lecteur alsa­cien ou mosel­lan, plongé dans cet ouvrage, ne sera certes pas dépaysé tant les points communs avec les dépor­tés mili­taires français sont nombreux, mais pour­tant… Sur 1240 pages, l’au­teur aborde de nombreuses théma­tiques, sur la base de témoi­gnages et de plus de 750 illus­tra­tions, pour faire le point sur ce que fut réel­le­ment ce crime de guerre au Luxem­bourg. Parmi les ques­tions évoquées, citons celle la présence de déser­teurs au sein de la Résis­tance française, dans l’Ar­mée Rouge, celle de Patton, la Royal Air Force, les Forces Françaises Libres ou la Légion Etran­gère. Autre ques­tion abor­dée : pour quelle raison n’y a-t-il eu aucun Luxem­bour­geois libé­rés au moment de la libé­ra­tion des « 1500 » du camp de Tambov-Rada ?

L’ou­vrage s’in­té­resse aussi aux enga­gés volon­taires et aux colla­bo­ra­teurs, sujets déli­cats et à polé­mique. Certains histo­riens avancent, par exemple, le total de 2000 volon­taires luxem­bour­geois en se fondant sur les chiffres offi­ciels nazis. Mais qu’en est-il en vérité ? Et peut-on vrai­ment affir­mer que tous les Luxem­bour­geois enrô­lés dans la SS étaient des volon­taires ?

Marc Tros­sen brosse un tableau nuancé de l’in­cor­po­ra­tion forcée et de l’en­ga­ge­ment volon­taire, mettant à mal plusieurs clichés bien ancrés dans certains esprits. Il montre aussi que l’in­cor­po­ra­tion de force est un crime de guerre à l’échelle euro­péenne. Pour termi­ner, il convient de souli­gner la richesse de l’ico­no­gra­phie et la présence, ô combien précieuse, d’in­dex (noms de lieux, de personnes et théma­tique).

Nico­las Mengus

Marc Tros­sen, « Verluere Joëren ». Zwang­sre­kru­tierte, Refraktäre, Deser­teure, Resis­tenz­ler, aber auch Kolla­bo­ra­teure, Krieg­sfrei­willi­ge… 85 Luxem­bur­ger Zeit­zeu­gen des Zwei­ten Welt­kriegs berich­ten, 2 volumes, 592 et 656 pages, Luxem­bourg, 2015, 98€. Pour contac­ter l’édi­teur Jean-Claude Muller : j-c.muller@ial.be ou par fax (00352)23 62 05 47.

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ENGLER Emile

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engler_emile.jpg Emile Engler (* Hombourg-Haut 2.2.26) a été incor­poré dans la Felgen­dar­me­rie-Tr. 87 (FPN 57147, 12368). Il est porté disparu à Lodz (Litz­manns­tadt) en 1945.

Sa fiche du VDK indique :

 Emil Engler

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Emil Engler seit 01.01.1945 vermisst.
In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Laurahütte / Siemia­no­wice haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

 Nach­name:Engler

 Vorname:Emil

 Geburts­da­tum:02.02.1926

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:01.01.1945

Todes-/Vermiss­te­nort: Litz­manns­tadt

Merci pour tout complé­ment sur son parcours.

Claude Herold

 claude.herold@­wa­na­doo.fr

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FLUHR Alphonse

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alphonse_fluhr.jpg Je recherche le parcours mili­taire et l’état des services de mon grand-père Alphonse Georges Fluhr, né en 1924 à Sentheim (68) et décédé à Thann en 1992. Il était incor­poré de force et envoyé sur le front russe ; prison­nier de guerre en Sibé­rie, il a été libéré par la Croix Rouge en 1945. Mon grand-père est revenu de la guerre avec une cuisse trouée par une balle et un éclat d’obus dans la tête. Ce sont les seules infor­ma­tions dont nous dispo­sons.

Merci pour nous aider à retrou­ver son dossier et son parcours.

Laurent Fluhr

 el.fluhr@g­mail.com

* Claude Herold signale qu’Al­phonse Fluhr appar­te­nait au Grena­dier-Regi­ment 84 qui était subor­donné à la 102e Infan­te­rie-Divi­sion.

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LEININGER Jean Charles

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Je recherche mon grand-oncle, LEININGER Jean Charles, né le 17–8–1925 à Joeuf. Il est décédé le 30–11–1944 à Pulawy, en Pologne.

leininger_jean_charles_wast.jpg

Malgré toutes mes recherches, je n’ai pas trouvé de rensei­gne­ments sur son parcours.

Merci pour toute aide.

Eric Lhuillier

 eric.lhuillier@sfr.fr

* Claude Herold nous trans­mets une fiche du VDK qui pour­rait corres­pondre :

 Hans Leinin­ger

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Hans Leinin­ger­seit 01.08.1944 vermisst.

 In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Pulawy haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

 Nach­name:Leinin­ger

 Vorname:Hans

 Geburts­da­tum:17.08.1925

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:01.08.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:Warka Brücken­kopf / Weich­sel­bo­gen
/ Weich­sel­brü­cken­kopf

* D’après le DRK, il appar­te­nait à la 8e compa­gnie du Grena­dier-Regi­ment 367. Avec lui se trou­vait Robert Pister.

leininger_jean_drk.jpgpister_robert.jpg

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KUHN Edouard Paul

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

kuhn_edouard_portrait.jpg

Edouard Paul Kuhn, né le 10/11/1921 à Metz (Moselle). Il est décédé le 13/08/1944 à Würz­burg (Alle­magne).

Son Wehr­pass indique :

 Kuhn Paul Edouard

 Né à Metz le 10.11.21

 Natio­na­lité : « Deutsches Reich »

 Catho­lique.

 Marié à Pauline (Paula dans le livret). Le nom de jeune fille n’est pas précisé, mais figure dans l’acte de décès.

 Langue étran­gère : le français.

 Groupe sanguin : B

 Livret mili­taire établi le 10.1.43 à Metz.

 A effec­tué le Reich­sar­beits­dienst.

 Affecté à la compa­gnie d’état-major du Grena­dier-Ersatz-Bataillon II/133 (18.1.43), Steyr, Autriche.

 Pres­ta­tion du serment : 30.1.43.

 2.2.43 : versé dans la 1ère Grena­dier-Ausbil­dung­skom­pa­nie du Grena­dier Ausbil­dung-Bataillon I/132.

 Sa dernière unité est la Gene­sen­den­kom­pa­nie (compa­gnie de conva­les­cence) du Grena­dier Ersatz und Ausbil­dung Bataillon I/482 (21.6.44–13.8.44).

 Formé à l’uti­li­sa­tion du fusil Mauser 98 et de la mitrailleuse MG 34.

 Nommé Ober­gre­na­dier le 1.12.43.

 1.6.44 Blessé en Italie. Appar­te­nait à la 4e compa­gnie de mitrailleuses du Grena­dier-Regi­ment 1059 (du 12.2.44 au 20.6.44).

 Un télé­gramme de l’hô­pi­tal mili­taire de Würz­burg a annoncé qu’il est décédé à la date du 13.8.1944.

 Un cour­rier du BAVCC de Caen m’a permis de retrou­ver la trace de sa tombe.
Appa­rem­ment après son décès à l’hô­pi­tal de Würz­burg , le corps a été rapa­trié à Metz, et inhumé à l’hô­pi­tal mili­taire de Cham­bières. Par la suite, les restes ont été exumés et enter­rés dans la partie civile de ce cime­tière avec le reste de sa famille

* Selon Claude Herold, il n’est pas réper­to­rié au VDK.

kuhn_edouard_groupe.jpg Edouard Kuhn est celui qui fume la pipe, le 2e du 2e rang depuis la gauche.

kuhn_edouard_hopital.jpg

kuhn_edouard_uniforme.jpg

kuhn_edourard_wehrpass_1.jpgkuhn_edourard_wehrpass_2.jpg

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