KRETZ Charles Joseph

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kretz_charles_portrait.jpg Je fais des recherches sur la dispa­ri­tion de mon oncle Charles Kretz. Comme pour tous les dispa­rus, cette « ombre » à fait des ravages dans ma famille (ma grand mère est morte dans l’ago­nie, mon père « malgré-nous » aussi, dans la « culpa­bi­lité » à l’égard d’un ainé qu’il aimait et qui n’a pas eu sa chan­ce…

Merci pour tout rensei­gne­ment.

Anny Kretz

A Richard Klein qui trans­met­tra : malgre-nous@­la­poste.net

Le dossier du BAVCC de Caen indique notam­ment :

KRETZ Charles Joseph

Né à Stotz­heim le 9.7.1925.

Incor­poré le 29.11.43.

Pionier.

SP 18943 : 2./Pz.Pi.Batl. 32.

Porté disparu le 4.11.1944 à Libau, Cour­lande.

Jugé décédé le 31.10 (sic pour 11 ?).44 à Libau, Letto­nie.

Reconnu sur photo par Hermann Müller, de Berlin : il l’a vu au camp de rassem­ble­ment de Mitau (Letto­nie) le 12.5.1945, où Kretz a inté­gré un Eisen­bahn­kom­mando.

Reconnu mort pour la France.

Déporté mili­taire.

kretz_charles_tem.jpgkretz_charles_deporte.jpg

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PAGE DU DRK TRANSMISE PAR CLAUDE HEROLD :

Elle concerne Charles Kretz, Georges Mallo et André Pier­rot.

 

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Réponse au commu­niqué diffusé par l’an­tenne natio­nale de France 3

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Votre commu­niqué diffusé par l’an­tenne natio­nale de France 3 n’est PAS une réponse à notre lettre ouverte adres­sée à Monsieur le Ministre J.-Y. Le Drian (voir http://www.malgre-nous.eu/spip.php?arti­cle3507), mais une adresse collec­tive proba­ble­ment desti­née à la presse (voir http://www.malgre-nous.eu/spip.php?arti­cle3525).

Elle s’ouvre sur le succès de la soirée du 2 mars dernier consa­crée à l’His­toire. Nous ne pouvons que nous réjouir de l’in­té­rêt que portent les télé­spec­ta­teurs à notre passé commun et préci­sons que seul le docu­men­taire consa­cré à la divi­sion alle­mande « Das Reich » a fait l’objet de très nombreux commen­taires néga­tifs, voire hostiles.

Nous regret­tons que ce commu­niqué mini­mise les réac­tions en faisant allu­sion à quelques cour­riels qui auraient été adressé à France 3 Alsace. Il n’évoque pas l’af­flux des commen­taires indi­gnés adres­sés aux respon­sables et médias locaux et n’évoque pas non plus les cent-vingt-neuf signa­taires de la lettre ouverte au nombre desquels on compte un très grand nombre d’his­to­riens.

Par ailleurs, il élude le fond du reproche qui a été fait et se dédouane de toute forme d’in­sulte à la Mémoire en expliquant que la ques­tion de l’in­cor­po­ra­tion de force est résu­mée par cette phrase: « C’était une manière comme une autre de prétendre que j’étais volon­taire, alors que je n’avais rien signé, pas le moindre enga­ge­ment ».
Où parle-t-on d’in­cor­po­ra­tion de force ?

Comment France 3 peut-il passer outre ces termes utili­sés deux fois dans le docu­men­taire : le gros des troupes était consti­tué d’Al­sa­ciens. Seul le chiffre de 6000 Alsa­ciens est consi­déré comme une erreur.
Il était abso­lu­ment néces­saire d’ex­pliquer la présence de moins de 800 Alsa­ciens dans la 2e divi­sion blin­dée « Das Reich ». En quelques phrases, il était possible de rappe­ler le contexte de l’An­nexion de provinces françaises au Reich natio­nal-socia­liste et celui de l’in­cor­po­ra­tion de force, un authen­tique crime de guerre.

Dans sa struc­ture, ce docu­men­taire s’ancre sur deux « person­nages » (terme utilisé par l’au­teur) : une résis­tante et un Waffen-SS. Ce dernier est incarné par un Alsa­cien, Elimar Schnei­der, person­nage ambigu présenté comme le prin­ci­pal témoin de l’his­toire de la « Das Reich ».

– Un incor­poré de force alsa­cien prin­ci­pal témoin de l’his­toire de la « Das Reich » ? Pourquoi ne pas avoir utilisé le témoi­gnage d’un Waffen-SS alle­mand ?

France 3 se dit atta­chée à la rigueur.
Il nous semble qu’un docu­men­taire histo­rique se doit de présen­ter les faits de la façon la plus équi­li­brée et objec­tive possible.
En mettant en place « des person­nages, des rebon­dis­se­ments, un acmé » selon ses propres termes, Michael Prazan propose un roman histo­rique dans lequel le télé­spec­ta­teur est invité à aimer le bon et à détes­ter le méchant, ce dernier étant le nazi incarné par un Alsa­cien.
S’il est possible d’ad­mettre qu’une certaine mise en scène peut être utile pour capter l’at­ten­tion, elle nous semble clai­re­ment préoc­cu­pante quand elle en arrive à conduire une thèse.

Par ailleurs, sur le plan pure­ment histo­rique, ce docu­men­taire présente un grand nombre d’er­reurs, de raccour­cis et d’omis­sions qui ont été rele­vées par de nombreux histo­riens et qui portent à s’in­ter­ro­ger sur les méthodes d’in­ves­ti­ga­tions utili­sées :

  En février 1944, ce ne sont pas 6000 Alsa­ciens qui ont été incor­po­rés de force dans la « Das Reich », mais envi­ron 800, dont une partie sera rapi­de­ment versée dans la divi­sion « Frund­sberg ».

  Cette surre­pré­sen­ta­tion des Alsa­ciens se retrou­vera au procès d’Ora­dour en 1953 : 13 incor­po­rés de force, 1 volon­taire et seule­ment 7 Alle­mands.

  Elimar Schnei­der, même si c’est un authen­tique Malgré-Nous, n’est pas repré­sen­ta­tif de l’en­semble des incor­po­rés de force. D’autres témoi­gnages d’an­ciens de la « Das Reich » existent.

  Seule une partie de cette divi­sion a été mise à dispo­si­tion de la Gestapo et de la Milice dans le cadre de la lutte contre la Résis­tance française.

  Le rôle d’Otto Kahn est passé sous silence. Il est pour­tant le comman­dant de la 3e compa­gnie à Oradour.

  Le rôle du sous-préfet Roche, qui a négo­cié (grâce à son excel­lente connais­sance de la langue alle­mande) avec les Alle­mands lors des événe­ments de Tulle, est égale­ment passé sous silence.

  La « Das Reich » était subor­don­née au Haut-Comman­de­mant de la Wehr­macht.

  Lammer­ding et consorts étaient proté­gés par les Alliés : en échange de leur liberté et de leur tranquillité, les offi­ciers Waffen-SS s’étaient enga­gés à reprendre les armes, aux côtés des Alliés, en cas de guerre avec l’URSS.

Cette divi­sion Waffen-SS, qui a marqué l’an­née 1944 par son passage en France, passionne histo­riens et cher­cheurs depuis des décen­nies. Il suffit de se réfé­rer à l’abon­dante biblio­gra­phie trai­tant, peu ou prou, du sujet, tant en langue anglaise, qu’en alle­mand ou en français. Cette docu­men­ta­tion est faci­le­ment acces­sible.

Le réali­sa­teur ne saurait être tenu pour le seul respon­sable de ce que nous consi­dé­rons comme un naufrage de la Mémoire. En effet, il est l’hé­ri­tier de toute une litté­ra­ture d’après-guerre qui donne au lecteur – ici au télé­spec­ta­teur, 70 ans après les faits ! – une Histoire écrite par le vainqueur et non une Histoire écrite par des histo­riens.

Au total, 2,3 millions de télé­spec­ta­teurs, auxquels s’ajou­te­ront ceux d’Arte et les acqué­reurs du futur DVD, auront appris, en dehors de toute forme de contex­tua­li­sa­tion, que des Alsa­ciens ont commu­nié dans le crime au sein de la Waffen-SS. Est-ce vrai­ment cette image désas­treuse et fausse de la Mémoire « qui doit être parta­gée avec la plus grande rigueur auprès du plus grand nombre » ?

Marie-Laure de Cazotte, écri­vain
Nico­las Mengus, histo­rien

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KEHRWILLER Gervais Aloïse

Commentaire (0) Portraits d'incorporés de force/déportés militaires

kehrwiller_aloise_portrait.jpg Mon père a été incor­poré de force sous le nom de Kehr­willer Aloïse (Aloi­sius en alle­mand). Mais ses prénoms étaient Gervais Aloïse. Gervais n’exis­tant pas en alle­mand, seul a été reconnu son 2° prénom. Il ne nous parlait pas de la guerre. Je sais juste qu’il a été blessé à Belgrade (il ne pouvait pas le cacher, il boitait forte­ment, une jambe plus courte que l’autre). Soigné à Vienne, il a été évacué ensuite à Munich et rapa­trié en 1946. C’est pour cela qu’il figure sur une liste des non-rentrés du Bas-Rhin. Je sais aussi qu’en 1941, il a été détenu, suite à une dénon­cia­tion, au camp de Schir­meck pour actes anti-nazis. Mon père est décédé le 4 septembre 1984.

Jean Claude Kehr­willer

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Photo ci-dessus : Aloïse Kehr­willer à Naklice (Croa­tie) en juin 1944.

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Un « Malgré-Nous » dans l’en­gre­nage nazi.

Commentaire (0) À lire…

pedro.jpg Pedro Cantinho Pereira, Un « Malgré-Nous » dans l’en­gre­nage nazi. Les sacri­fiés de l’His­toire, L’Har­mant­tan, Paris, 2015, 208 p., 21,50 euros.

NB : Ce livre est la traduc­tion du livre de Pedro Cantinho Pereira, A sombra da guerra – A histo­ria de Paul Freund­lich, paru fin 2013 aux éditions Chiado (Portu­gal).

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Docu­men­taire sur la Das Reich: la réac­tion de France 3

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Le docu­men­taire de Michaël Prazan, « Une divi­sion SS en France, Das Reich », diffusé le 2 mars dernier sur France 3 conti­nue de faire polé­mique. A la lettre ouverte adres­sée à Jean-Yves Le Drian la semaine dernière, l’an­tenne natio­nale de France 3 réagit.

Le docu­men­taire évoquait les terribles exac­tions de la divi­sion Das Reich, de juin 1944 à mai 1945 (à Tulle et à Oradour notam­ment).

Or, dans une lettre ouverte adres­sée au ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, une soixan­taine d’his­to­riens, incor­po­rés de force auteurs et cher­cheurs estiment que « ce docu­men­taire présente une vision erro­née et offen­sante pour la mémoire de l’Al­sace ».

« L’amal­game criant fait entre le soldat alle­mand et le soldat alsa­cien, l’af­fir­ma­tion répé­tée de la présence majo­ri­taire des Alsa­ciens dans les divi­sions Waffen-SS, l’ab­sence de préci­sions concer­nant les condi­tions de l’en­rô­le­ment des incor­po­rés de force, abou­tit à une vision de l’His­toire qui met à mal plus de 50 ans de recherches et de publi­ca­tions », écrivent ainsi Lise Pommois, Nico­las Mengus, Simone Morgen­tha­ler, Alphonse Troest­ler, Yves Muller, Bernard Witt­mann, Daniel Hoef­fel ou encore Chris­tiane Roede­rer.

Le député du Bas-Rhin Antoine Herth a égale­ment adressé un cour­rier à Rémy Pflim­lin, Pdg de France Télé­vi­sions, dans lequel il relaie le mécon­ten­te­ment de plusieurs habi­tants de sa circons­crip­tion.

L’an­tenne natio­nale de France 3 a décidé de réagir aujourd’­hui à travers un commu­niqué.

France 3 indique qu’à la suite de la diffu­sion du docu­men­taire, « l’an­tenne de France 3 Alsace a reçu un certain nombre de cour­riels évoquant un film qui « dénie la réalité de l’in­cor­po­ra­tion de force » et donne­rait « à penser que les Alsa­ciens étaient non seule­ment des volon­taires mais d’en­thou­siastes SS ». « Nous compre­nons l’émoi suscité et regret­tons que ce film ait pu heur­ter la sensi­bi­lité de plusieurs télé­spec­ta­teurs alsa­ciens ».

Mais, ajoute France 3, « à aucun moment ce docu­men­taire ne laisse entendre une pareille affir­ma­tion. Bien au contraire, le commen­taire intro­duc­tif dresse par le menu les condi­tions d’in­cor­po­ra­tion d’un Malgré-nous », en l’oc­cur­rence Elimar Schnei­der, aujourd’­hui décédé.

Sur la sures­ti­ma­tion du nombre d’Al­sa­ciens dans la Waffen SS et notam­ment dans la Das Reich, France 3 note que « le chiffre cité évoquant 6000 Alsa­ciens versés dans la Das Reich est visi­ble­ment erroné. Le

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Tribu­nal de guerre du IIIe Reich

Commentaire (0) Revue de presse

DNA du 25.3.15

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Réponse de l’an­tenne natio­nale de France 3 au sujet des critiques formu­lées suite à la diffu­sion du...

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Dans le cadre de Lundi en Histoires le 2 mars dernier, France 3 a programmé 3 docu­men­taires de grande qualité : « Une divi­sion SS en France, Das Reich », « Le combat­tant de la liberté » suivi du « Procès de L’im­pos­sible ». Cette soirée a rencon­tré un large succès (2,3 millions de télé­spec­ta­teurs), notam­ment en Alsace.

Suite à ces diffu­sions, l’an­tenne de France 3 Alsace a reçu d’un certain nombre de cour­riels de télé­spec­ta­teurs évoquant un premier film qui « dénie la réalité de l’in­cor­po­ra­tion de force » et donne­rait« à penser que les Alsa­ciens étaient non seule­ment des volon­taires mais d’en­thou­siastes SS ».

Nous compre­nons l’émoi suscité et regret­tons que ce film ait pu heur­ter la sensi­bi­lité de plusieurs télé­spec­ta­teurs alsa­ciens.

Nous tenons tout d’abord à rappe­ler qu’à aucun moment ce docu­men­taire ne laisse entendre une pareille affir­ma­tion. Bien au contraire, le commen­taire intro­duc­tif dresse par le menu, les condi­tions d’in­cor­po­ra­tion d’un « Malgré nous » :

Schnei­der est l’un d’entre eux. Agé de 17 ans, il a été incor­poré quelques mois aupa­ra­vant dans une Alsace annexée depuis 1940 par le IIIeReich. Il se souvien­dra long­temps de la visite médi­cale qui a fait de lui un Waffen SS :

Voix-off d’après extrait auto­bio­gra­phie : « Au Conseil de révi­sion, un offi­cier Waffen SS, jaugeant mon corps de jeune spor­tif en me regar­dant droit dans les yeux, me demanda si j’avais les pieds plats. Sur ma réponse néga­tive, il sourit et rétorqua: « Toi aussi, tu auras le tampon ». Je ne compris pas tout de suite, mais, après une visite médi­cale très détaillée, je reçus mon livret mili­taire, frappé du fameux tampon portant la mention « Bon pour le service, accepté dans les Waffen SS ». C’était une manière comme une autre de prétendre que j’étais volon­taire, alors que je n’avais rien signé, pas le moindre enga­ge­ment ».

Ce qui signi­fie clai­re­ment qu’il a été incor­poré contre sa volonté.

Par la suite le commen­taire évoque le fait que cet homme ait sauvé de la pendai­son deux civils à Tulle et montre à l’image l’un des certi­fi­cats qui l’at­teste. Enfin Schnei­der n’était pas à Oradour-sur-Glane le jour du massacre.

En revanche le chiffre cité dans le film évoquant 6000 Alsa­ciens versés dans la Das Reich à cette période est visi­ble­ment erro­née. Leur nombre étant sans doute plus proche de 1000 à 2000. Cette erreur a était immé­dia­te­ment corri­gée par le réali­sa­teur Mikael Prazan et la société de produc­tion Nilaya produc­tion et inté­grée dès les prochaines diffu­sions.

Il reste que le sujet des enga­gés de force alsa­ciens n’est pas au cœur du film « Une divi­sion SS en France, Das Reich ». Cette théma­tique l’est bien davan­tage dans le troi­sième docu­men­taire de la soirée du 2 mars inti­tulé « Le procès de l’im­pos­sible ».

Nous rappe­lons par ailleurs que France 3 avait abordé ce sujet histo­rique dans le télé­film « les Malgré Elles » qui a connu un très fort succès auprès des télé­spec­ta­teurs. (4 millions de télé­spec­ta­teurs)et que France 3 diffu­sera à la fin avril le docu­men­taire « Après la guerre, l’Al­sace Moselle c’est la France! » qui revient notam­ment le sort des « Malgré nous » après-guerre.

Pour France Télé­vi­sions, cette ques­tion est un sujet fonda­men­tal de notre histoire contem­po­raine qui doit être partagé avec la plus grande rigueur auprès du plus grand nombre.

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DURRENBERGER Jean, HUMMEL Albert et SPENLE Jean

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Qui peut donner des rensei­gne­ments complé­men­taires sur

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 Jean Durren­ber­ger (* Saverne 26.5.1924 + Orscha 15.4.1944).

 Albert Hummel (* Weiters­willer – mort de ses bles­sures dans un hôpi­tal à Koenig­sberg)

jean_spenle.jpg

 Jean Spenle, de Weiters­willer (+ Russie14.2.1944).

Merci pour tout rensei­gne­ment.

Raymond Piela

 raymond.piela@o­range.fr

* Fiches du Volks­bund trans­mises par Claude Herold :

 Johann Dürren­ber­ger wurde noch nicht auf einen vom Volks­bund errich­te­ten Solda­ten­fried­hof überführt.

 Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen befin­det sich sein Grab derzeit noch an folgen­dem Ort: Wyso­koje / Orscha – Bela­rus

 Nach­name:Dürren­ber­ger

 Vorname:Johann

 Dienst­grad:Grena­dier

 Geburts­da­tum:26.05.1924

 Geburt­sort:Zabern

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:15.04.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:40 km N.O.Orscha

 Albert Hummel konnte im Rahmen unse­rer Umbet­tungs­ar­bei­ten nicht gebor­gen werden. Die vorge­se­hene Überfüh­rung zum Sammel­fried­hof in König­sberg / Kali­nin­grad war somit leider nicht möglich. Sein Name wird im Gedenk­buch des Fried­hofes verzeich­net..

 Nach­name:Hummel

 Vorname:Albert

 Dienst­grad:Gefrei­ter

 Geburts­da­tum:05.10.1914

 Geburt­sort:Weiters­wei­ler

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:27.07.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:Res.Laz.IV König

* Fiche qui devrait corres­pondre à Jean Spenle :

 Hans Spenle ruht auf der Krieg­sgrä­berstätte in Schat­kowo.

 Endgra­blage: Block 7 Reihe 2 Grab 29

 Name und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten sind auch im Gedenk­buch der Krieg­sgrä­berstätte verzeich­net.

 Nach­name:Spenle

 Vorname:Hans

 Dienst­grad:Grena­dier

 Geburts­da­tum:13.12.1921

 Geburt­sort:Mühl­hau­sen

 Todes-/Vermiss­ten­da­tum:15.02.1944

 Todes-/Vermiss­te­nort:Polja­scht­schija b. Gorki

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Eugène Joseph Ring, incor­poré de force dans le Volkss­turm

Commentaire (0) Les incorporés de force

TRANSMIS PAR JEAN-JOSEPH RING

ring_eugene.jpgEugène Joseph Ring, incor­poré de force en novembre 1944, est porté disparu sur le front russe en décembre 1944.

La convo­ca­tion du 8/11/1944 au Volkss­turm, trans­for­mée en ordre d’in­cor­po­ra­tion dans la Wehr­macht par la mention manus­crite rajou­tée : « Hat fest Befehl zur Wehr­macht den 12.11.44. Elle répond aux allé­ga­tions de certains qui prétendent, encore de nos jours, quil n’y pas eu d’in­cor­po­ra­tion au titre du Volkss­turm, alors que les grandes rafles de novembre 1944 ont toutes eu lieu à ce titre, suivies de la dépor­ta­tion massive en Pologne, sur le Front de l’Est.

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1944_11_10_incorporation_de_force_1.jpg

* Fiche du VDK trans­mise par Claude Herold :

Eugen Ring
– Nach den uns vorlie­gen­den Infor­ma­tio­nen ist Eugen Ring seit 01.12.1944 vermisst.

In dem Gedenk­buch des Fried­hofes Stare Czar­nowo haben wir den Namen und die persön­li­chen Daten des Oben­ge­nann­ten verzeich­net.

Nach­name:Ring

Vorname:Eugen

Geburts­da­tum:23.11.1913

Todes-/Vermiss­ten­da­tum:01.12.1944

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Docu­men­taire « Das Reich », le point de vue de Bernard Linder

Commentaire (0) Billet d'humeur

A la fin de l’émis­sion j’étais très mal à l’aise, pensant que déci­dé­ment ça ne s’ar­rê­tera donc jamais ! Quand je vois des gens comme nos amis Jean et Nicole qui se démènent et consacrent leur vie pour faire connaître la vérité sur les Malgré-Nous, et que par ailleurs d’autres démo­lissent allè­gre­ment tous ces efforts, j’en suis écœuré.

Bernard Linder

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